Salam Aleykoum !⚠️A LIRE POUR ÉVITER DE ME REPOSER DIX MILES FOIS LES MÊMES QUESTIONS⚠️
Comme vous avez pu le voir et le comprendre, j'ai réécris l'histoire d'Aya parce qu'elle me saoule. C'était hyper mal écrit, je n'aime pas comment j'ai décrit Aya, son caractère, certains actes ou paroles dites. C'est un tout. Malgré tout vos compliments certaines choses sont vraiment à revoir sérieux...
(Je bloque les comptes qui spoile).
L'histoire sera la même dans le fond mais pas dans la forme.
Je resterais fidèle à moi même, j'ai ma façon d'écrire, elle peut plaire comme déplaire donc si elle vous déplaît vous pouvez quittez là-bas.
Je n'aime pas lire, j'ai un vocabulaire restraint, donc ne vous attendez sûrement pas à c'que cette histoire sois un « After ». Ça sera à ma sauce.Si certaines personnes sont déçus du changement, désolé hein, mais ma conscience est plus importante.
Je vais prendre mon temps et bien écrire, cette chronique je ne pensais vraiment pas qu'elle allait atteindre presque les 9M sincèrement mais je savais qu'elle allait bien marcher parce qu'à cette époque il n'y avait pas beaucoup de chronique type policière et bandit, y'en avait à peine 3. Après 10M c'est énorme je ne pensais pas les atteindre. Mais merci énormément pour tout.
On a grandit avec cette chronique, moi la première et celles qui sont là depuis le début. Ça fait plaisir de voir que vous êtes toujours là.
Bonne lecture, je compte sur vous pour commenter, voter, et surtout me dire ce que vous en pensez, critique etc.
- Histoire publiée en 2016
- Réécriture le 21 septembre 2020
Chapitre 1
Je suis dans la voiture de patrouille, avec mes trois camarades. On vadrouille dans les rues à la recherche d'un délit ou d'un danger quelconque. Non pas que j'ai faim d'illégalité, je n'aime juste pas être inutile, ne rien faire. Après quelques minutes un de mes camarades nous interpelle.
- Yvon: Le batard là-bas.
J'étais derrière le siège conducteur. J'ai posé mon regard sur Yvon qui était coté passager. Il a pointé son doigt vers le parking à notre droite.
- Kelyn: Ouais ?
- Yvon: On vas le fouiller pour voir s'il n'a pas quelque chose sur lui.