Love Has Not Color. { Terminée }

24.

Ça fait maintenant deux semaines qu'elle ne s'est pas encore réveillé, le médecin dit que c'est dût au choc des balles, cela fait qu'elle est plongée dans un coma temporaire enfin, il paraît être une éternité.
Lola est sortie de l'hôpital et avec elle nous venons la voir tous les jours. Angela a été mit en prison et je compte bien tout faire pour qu'elle y reste.
Nadia et Mohamed, sont plus heureux que jamais, même s'ils sont triste de voir Jana branché à tellement de files. Mes parents s'inquiètent autant pour moi que pour elle, apparemment j'ai trop perdu du poids et il faudrait que je me reprenne, comment quand la femme qu'on n'aime ouvre pas les yeux ?
Les parents de Jana sont toujours aussi inquiets, vous verrez sa mère, elle a tellement maigris, ce n'est plus la belle femme bien en chair que j'avais connu. Sa soeur elle aussi ne dort pas.
En ce moment, je finis de mettre les chaussures de Lola puis l'emmène à l'école...
Je la pose à l'école avant de me rendre à l'hôpital.

Je vois les médecins courir partout, ils sont tous rassemblés dans la chambre de Jana.

- Dépêchez vous ! Elle s'étouffe.

Je vois qu'elle bouge dans tous les sens, je vois les médecins lui enlever tous les files.

- Qu'est-ce qui se passe demandai-je aux infirmières.

- Elle s'étouffe, c'est bon signe.

- Quoi !? Pourquoi ?

- Ça veut dire qu'elle est sortie du coma monsieur.

Je sentis peu à peu la nouvelle arrivée dans mon cerveau, elle est réveillée, elle est enfin réveillée, je décide d'appeler tout le monde qu'elle bonheur enfin.

...

Quelques semaines plutard.

J'ai les yeux rivés vers la fenêtre de l'hôpital, les enfants s'amusent, les voitures se garent, je ne sens plus mes jambes. Le docteur m'a apprit que lorsqu'ils ont retirés les balles, il y'a eu des complications, donc j'ai perdu l'usage des jambes temporairement.

Une infirmière arrive, m'aide à me mettre sur mon fauteuil pour me faire sortie.

Je suis contente de partir de cet endroit, même si Sady l'infirmièrie va me manquer, elle était si agréable.

- Merci pour tout Sady, tu es réellement devenu une amie.

Sady - Oh je t'aime aussi poulette allez ! Bonne chance ai confiance tu remarchera.

- On verra !

Elle m'offre un tendre sourire puis me prend dans ses bras.

Mon frère vient me soulever ensuite avant de me faire assoir à l'arrière des fauteuils.

Je regarde la silhouette de Sady s'éloigner ainsi que l'hôpital, tout ça s'est derrière moi. Oui, loin.

De retour chez moi, je vais me laver avec beaucoup de difficulté et remettre mon postérieure sur ma chaise roulante, lorsqu'on sonne ...