Chapitre 33 :... heu... lemon !!

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JE PRÉVIENS : CE PASSAGE C'EST QUE DU PLAISIR SEXUEL PARFOIS TRES HARD ALORS AME SENSIBLE S'ABSTENIR, CE N'EST PAS UN LEMON TOUT BEAU TOUT BIEN AVEC PLEIN DE SENTIMENTS, VOUS ÊTES PRÉVENUS !!

Je jette un œil alors sur toi. Tu ne sais pas vraiment quoi faire on dirait. Tu es cette fois assis contre la grille au plus profond de ta cellule, les yeux rivés sur nous comme si tu n'arrivais pas arrêter de nous fixer... oui comme si on t'empêchait de détourner ta tête...

-Itachi ?

-Oui, il ne peut pas détourner le regard, c'est ce que tu voulais,non ? me fit-il alors qu'il s'éloigne de moi, ramassant le bandeau qui lui cachait les yeux quelques minutes plus tôt.

Il a fait ça... je n'arrive pas à le croire. Je souris, oui c'est ce que je veux, c'est même plus que ce que j'avais espéré. Mais je sors bien vite de ma jubilation : ton frère n'a pas l'air de vouloir perdre une minute de son laps de temps imparti. Doucement il s'approche de moi, faisant tourner le morceau de tissu dans ses mains. D'un geste rapide, il m'emmène au centre de la cellule se positionnant derrière moi. Il m'attache alors le bandeau sur les yeux, me susurrant :

-Je veux que tu résistes, que tu me supplies d'arrêter jusqu'à ce que tu n'en puisses plus mon petit Naruto...

Il me bloque alors ventre au mur près des chaines où je m'attache volontairement. Je sens ses mains se poser sur mes hanches, remontant sur mon torse, passant sous mon haut, rapprochant son corps du mien.

-Non... pitié... ne me faites pas ça...

Ses doigts pincent alors mes deux tétons en même temps alors qu'un gémissement sort de ma bouche. C'est que je bande toujours moi. Je sens sa virilité de nouveau en action sur mes fesses, ce qui m'excite encore plus.

-Arrêtez... s'il vous plait... je ferai tous ce que vous voudrez mais arrêtez...

D'un geste brutal il m'arrache mon haut. Je suis nu et le contact gelé de la paroi sur mon torse et sur mon sexe contraste avec cette chaleur qui me parcourt le corps. Je frotte sans vraiment n'en rendre compte mon fessier sur son entre jambe. Je le sens se défaire de façon précipité de son pantalon et de son sous vêtement. La sensation de nos deux peaux nues m'électrise le corps.

-Pitié...

-Ça c'est un « pitié, pénètre-moi » non ?

Puis il me retourne, défaisant les liens pour mieux les rattacher quand je suis face à lui. Ses mains se baladent sur ma peau qui frissonne de plaisir.

-Pitié... arrêtez... je... je...

Sa bouche a capturé la mienne alors qu'obéissant à son ordre je lui en interdis l'accès, faisant tout pour le repousser. Je le sens trembler de satisfaction. Il prend alors nos deux sexes l'un contre l'autre en main, effectuant les mouvements adéquats. Je ne peux m'empêcher de gémir sous cette sensation, ouvrant malencontreusement mes lèvres. Sa langue pénètre ma bouche mais jouant mon rôle à la perfection, je me fais plaisir en la lui mordant jusqu'au sang. Cela ne le gène pourtant pas du tout. Il mord à son tour ma lèvre alors que nos sang se mélangent. Un gout acide se répand dans ma cavité buccale alors que son éteinte se fait plus forte, me forçant à ne pas ne plus bouger. Il finit par rompre le baiser, léchant les traces de sang restantes sur mes lèvres.

-Tu es vraiment doué pour jouer la comédie mon petit Kit, me dit-il assez fort pour que tu entendes.

Puis il reprend possession de mes lèvres, mélangeant à nouveau notre sang, notre salive, notre sueur. Ses mouvements sur nos sexes se font plus rapides alors que j'essaie toujours de le repousser ; s'il continue à ce rythme là, je ne vais pas tenir longtemps. Je sens d'un coup quelque chose pénétrer mon intimité, me faisant hurler de douleur, séparant par ce mouvement nos bouches. Je l'avais oublié cette main... trois doigts d'un coup... putain, il aime vraiment l'amour violent lui.

Sous le masqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant