Partie 17

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La table était fait. J'ai confié la cuisine à Maria, pour aller au WC. Entre temps Jeremy et c'est amis sont partie à table. D'abord Jeremy fus étonné de voir tout sur la table, mais c'est amis était plutôt enthousiasmé et ils trouvaient que sa sentais bon. Une fois assise Jeremy fus frappé par quelque chose, avant qu'il ne parle, un de ces amis l'interrompre.

Un amis : dit dont, JeJe ( diminutif de Jeremy. Ces amis l'appel comme ça) ont étaient pas sensé mangé de la dinde ? Pourquoi c'est du petit pois au viande ? Même si c'est bon.

Jeremy : (petit pois au viande) ? Qu'est ce que tu viens de dire ? Du petit pois au viande ?

Lui : oui! Regarde le bol tu verras.

Il regarda, puis il se leva de table et tira la nappe, ainsi tout les plats ce sont renversés par terre. Et il commença à crier mon prénom sous le regard étonné de ses amis.

Jeremy : MARIAM!! MARIAM!! VIENS IMMEDIATEMENT, SINON J'IRAI MOI MÊME TE CHERCHÉ DE FORCE. MARIAM!!!

Maria arriva à ce moment avec tout les autres employés de la Maison. Tous effrayer.

Maria : monsieur ?

Il stoppa d'une main la parole de Maria.

Jeremy : OU EST-ELLE ?

Maria : dans sa chambre au wc. Je vais la chercher si vous permettez.

Jeremy : NON! J'IRAI MOI MÊME!

Il monta dans ma chambre suivie de ses Amis et des employés. Il ouvrit la porte de ma chambre il y'a personne, puis ce dirigea au WC, la porte était ouvert personne non plus, seulement la fenêtre qui était grandement ouvert.

Une amie : ne me dite pas qu'elle c'est sauvé ?

Il y'a eu silence, et tout le monde regarda Jeremy qui fixais la fenêtre ouvert, et tout à coup il ce mis à éclater de rire comme un fous. Ce qui rendu tout le monde confus sauf Roger qui le connaissait très bien, qui avait leur inquiet.

Maria : comme ça, Mariam tu avais tout calculé ? Mais pensée que tu t'enfuirai ? Tu as du courage, où au contraire tu ne sais rien encore ? 

Pendant ce temps, j'étais déjà loin de la maison et je marchais dans le froid, avec pour seul habit une robe à manche courte qui me venait au genoux avec le tablier de la cuisine plus pour seul chaussures des sandales. Il était minuit, avec pour température, 3degré et on était en hiver. J'ai marché pendant 3h puis un monsieur m'a abordé. Je n'arrivais plus à bien marché mais jambe était gelée de froid et mes lèvres était sèche, j'avais froid de par tout.

Le monsieur : mademoiselle, vous aller mourir si vous resté comme ça. Viens avec moi je vais t'acheter des habits.

Moi : non, merci!

Le monsieur : aller, venez! n'est pas peur. C'est mon travail, je suis du resto du cœur, regarde ma carte.

Moi : resto du cœur ?

Lui : voilà tu as vus ? Tu connais cette association ?

Moi : j'ai entendu parlé. Où sont les autres ? Et la voiture ?

Lui : venez avec moi, vous verrez la voiture. Quand au autres ils cherchent les sans abris comme toi. ainsi les ramener à la voiture comme je le fais avec vous.

Moi : oui, mais je vous connais pas.

Lui : mais tu as vus ma carte, tu veut que je te la remontre encore ?

Moi : non! Ce bon !

Lui : alors, venez vite sinon, tu va attrapé un pneumolie.

Pendant que je réfléchissais si je le suis où pas, le monsieur est venus me prendre par l'épaule et me traina avec lui sans me laisse aucune façon de réflexion. On traversa les rue sombres les l'une après les autres. C'était pas normal il m'avait dit que c'était à côté, mais on a traversé au moin 5 rue et je ne voyais toujours pas de voiture et je ne connaissais pas les coins, je commençais sérieusement à m'inquiéter.

Moi : où est ce que vous m'emmenez ?

Lui : je te les dit à la voiture? c'est ici tout près.

Moi : je ne vois pas de voiture, laissez-moi partir.

Lui : regardé ce là tout devant, tu ne vois pas ?

Moi : où ?

Lui : là

Je regarda encore plus près, et effectivement il y'avais une voiture avec écrit dessus le resto du cœur. Je fus soulager, il me laissa et m'invita à venir, sauf que j'étais la seule fille, tout les autres étaient des hommes en plus âgée d'à peut près 40 ans. Le monsieur parla au autre homme.

Le monsieur :  on dirait que vous n'avez pas eux de sans abris aujourd'hui.

Eux : non, mon frère, aujourd'hui c'est toi qui récolte. Elle s'appelle comment ?

Le monsieur : tu t'appelle comment ?

Moi : Mariam

Eux : bienvenue Mariam. Viens te changer dans le cabinet.

Moi : je n'est pas d'habits de rechange.

Le monsieur : il y'a des habits à l'intérieur choisi ce que tu veut.

J'étais sur le point de monté, puis je réalisa une chose, je me suis arrêté et me retourna pour posé la question, j'ai été immédiatement étonné en me retourna.

Le Destin De MariamOù les histoires vivent. Découvrez maintenant