Partie 39

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Je me suis réveillé dans une pièce complètement sombre, les bras et jambes attachés. Au depuis c'était silencieux, j'avais crus que j'étais seul, jusqu'à ce que j'essaye de bouger pour toucher quelque chose. Je me suis cognés à quelques chose, et là j'ai commencé à me demander qui est-ce ?

Moi : il y'a quelqu'un ? Qui est ce ? Tu m'entends.

..............: ho! elle s'est réveillé.

Moi : qui est tu ? Sais tu où est ce que nous somme ?

Elle : tu ne sais pas ?

Une autre : ont dirait, qu'elle n'est au courant de rien.

Moi : hun...... il y'a d'autres personnes ici ?

Elle : oui, ont est nombreuses. Tu est la dernière à être venus.

Moi : combien de personnes somme nous ?

Eux : ont ne sais pas, plus d'une vingtaine à peut près!

Moi : autant ? Savez vous pourquoi ont est là ? Attaché, qui nous a enfermé ici.

Elle : nous allons être exposé au enchère.

Moi : qu'est ce que vous dites ? Ils vont nous vendre comme des objets ?

Elle : oui, tout à fait, c'est pas la première fois.

Moi : pas la première fois. Sa veut dire qu'on Va vraiment être vendu ?

Elle : oui, en espérant tomber sur quelqu'un de gentil.

Moi : ...... mais qu'est ce qui ce passe, alors c'était ça leur plan ? Qu'est ce que je vais faire maintenant ? Je suis foutue.

Elle : ne temps fait pas, il ne sont pas tous méchants.

Moi : peut-être, mais c'est tous des pervers, dont ont ne pourrais rien faire, s'il nous achetait.

Tout à coup il y'a eu une silence, le pire est que il fessait tellement sombre qu'on ne pouvait même pas ce voir.

Moi : le silence gênant, prouve que j'ai raison, mais s'est Fille espérais le contraire.
Écouter; vous savez au moins, ont est dans qu'elle genre d'endroit, la ville, le pays quelque chose, vous comprenez où je veut en venir ?

Elle : ont le sais très bien, mais vois tu, tu viens de balayer notre dernière espoir.

Une autre : tu ne pouvais pas juste prétendre le contraire.

Moi : et puis quoi encore? ont est pas dans un film, c'est la réalité. Mieux vos le réaliser avant qu'il ne soit trop tard.

Elle : comme ci, c'était pas déjà trop tard. Tu crois qu'on ne sais pas qu'il n'y a pas d'échappatoire possible ?

Une autre : nous le savons depuis le début. Pour l'accepter ont ce donne du courage avec ses espoirs dont tu trouve stupides.

Moi : je vois vous êtes du genre à baisser les bras, et ban moi je ne suis pas comme ça. Je me bâterais jusqu'au bout.

Elle : bonne chance.

Moi : attendez, au moin aidez moi.

Elle : comment tu veut qu'on t'aide ? Je te signale qu'on est tous dans le même bateau.

Moi : peut-être en m'aidant, ont pourrais tous sans sortir.

Elle : ok, tu veut quoi ?

Moi : ban, répondre déjà à ma question. Où est ce que il nous ont amenés ?

Elle : ont est en plein milieu de la ville de Bamako.

Moi : ok, où exactement ?

Elle : hun..... désolé je ne sais pas vraiment, vers où.

Moi : c'est pas grave, qui d'autre a une indice ?

Tout est devenue silencieux, personne n'osaient plus parlé.

Moi : vous n'avez pas à vous méfier de moi.

Une personne : pourquoi tu nous pose la question ? Si tu nous dit, que s'est pour s'enfuir, n'espère pas qu'on va te croire. Qu'est-ce que tu cherche exactement.

Moi : elles ne me croit vraiment pas. Elle ont complètement abandonné. Qu'est-ce que je peu bien dire pour les convaincre ?

Elle : va-si ont t'écoute ? Si tu ne nous réponds pas, n'espère pas qu'on va te répondre où même t'aider.

Moi : ok, vous ne me croyez pas. Je veut vraiment, qu'on puise s'enfuir d'ici.

Elle : je vous l'avez dit les filles, elle est folle.

Moi : pourquoi me croyez vous malade, j'essaye juste de nous aidée.

Elle : ont a pas besoin de ton aides. Sa fait un mois que nous somme là, ont a essayer tous les moyens en vain. Finalement pour rester en vie il faut faire des sacrifices. Et toi tu te pointe, tu nous fait ton beau discours.

Moi : c'est pour qu'on sans sorte ensemble, je ne peut pas tous seul.

Elle : ho! Et la solution c'est de nous jeté dans la guelle du loup ?

Moi : vous vous rendez compte de ce que vous dite ? Vous voulez être traité comme des merdes.

Elle : oui, t'a raison, ont préfère ça, que là suicide, au moin avec cette solution, ont vivra.

Moi : hahahah!!!! Vous vivrez hahahah!!!

Elle n'ont rien dit, c'était juste le silence, je suppose qu'elle me prenais pour une folle.

Elle : qu'est-ce qui te fait rire ?

Le Destin De MariamOù les histoires vivent. Découvrez maintenant