Le Destin De Mariam

Partie 44

Après le coup que j'ai reçu sur la tête, je me suis réveillé enfermé dans une cage, j'avais très mal à la tête, la première chose que j'ai vus c'est des hommes en uniforme de police, ce qui m'a mis dans la confusion, je ne comprenait plus rien.

Moi : qu'est ce qui ce passe, pourquoi  je suis là ? J'étais avec Alima  epui.... mais oui, où est elle ?

Je me mis à regardé tous au tour de moi, et là je réalise qu'on étaient presque tous là. Et j'étais encore plus confuse. Tout à coup je vois mes compagnons me regarder avec un air désolé.

Moi : qu'est ce que sa veut dire ?

Alima : désolé Mariam, mais j'avais pas le choix, ont devaient le faire.

Moi : un minute, je veut savoir pourquoi je suis ici, et qui m'a frappé ?

Alima : c'est nous.

Moi : vous ? Pourquoi ? Je veut des explications.

Alima : ont va tous t'expliquer, mais s'il te plaît pardonne nous.

Moi : MAIS POURQUOI !

je me suis mis a crier jusqu'à ce que l'un des policiers vienne

Le policier : TAISEZ-VOUS ! Vous n'êtes pas à l'hôtel.

Nous : désolé.....

Le policier : vous faite un bruit de plus, sa va mal ce passer compris ?

Nous : oui monsieur.

Le policier me regarde... puis me pointe du doigt.

Le policier : hé toi là!

Moi : moi ?

Le policier : oui vous. Maintenant que vous êtes réveillé, tu viens avec moi.

Moi : pourquoi, j'ai rien fait.

Le policier : ne discute pas tu viens, où tu veut que j'utilise la manière forte ?

J'ai rien dit de plus, je me suis levé et suivi le policier, sans oublié de jeté un regard haineux envers s'est Fille ingrat que j'ai aider, elles baisse leur regard de honte et de culpabilité.

Moi : Les traites! Je l'es ai aidé et s'est comme ça qu'ils me remercie ? Je ne comprends pas pourquoi la police ? Et où est ce qu'il m'amène ?

Nous avions traversé toute la salle police, nous somme sortie dehors, avans il m'a menottée les poignets puis m'a tiré par Le Bras, nous somme  monté dans une voiture de police. Et je me demandais pourquoi il n'amène que moi et pas les autres ?

Moi : monsieur où est ce que vous m'amener ? Pourquoi seulement moi ?

Lui : hahahaha !! Ne fait pas ton innocente, tu sais très bien pourquoi.

Moi : non, je ne sais vraiment rien! Pourquoi vous m'amener je n'ai rien fait. Laisser moi sortir.

Lui : c'est pas possible, tu va la fermer! Où je feraient en sorte que tu ne puis plus parler.

Je n'ai plus rien dit, je savais que sa ne servait à rien. Mais j'étais qu'à même Inquiète, je me demandais ce qui a bien pus ce passe pendant que j'étais inconsciente.

Moi: qu'est ce qu'elle ont bien pus dire, pour que l'on m'amène. Est ce qu'ils savent qui je suis ? Non! Impossible impossible! Mais alors si s'est vraiment ça ? je fait quoi maintenant ? C'est peut-être pas ce que je crois. Après tout c'est la police. Ils n'ont aucun moyen de connaître la vérité.

Après avoir fini de réfléchir, je me suis résolu à attendre de savoir ce qui m'attend à destination. Pendant ce temps ont était déjà arrivé, à peine 30min de route. Il arrêta la voir, me tire par le bras en me sortant de la voiture. Là où ont était n'avait rien avoir avec un quelconque poste de police, ce lieu était abandonné, y'avais absolument personne dans les alentours sauf des maison abandonné depuis longtemps. Il me tire encore plus fort et m'amène dans une de ses maison, où devant la porte il y avait deux hommes armés qui surveillaient l'entrée. En voyants ça, j'ai eu un saut Dans le cœur. Là! j'étais plus tranquille, j'avais vraiment peur, par ce que j'avais compris qu'ils étaient pas de la police. Mais je ne disa rien je ne voulais pas le montré sur mon visage, car après tout je ne suis pas sensé l'es reconnaître.

Le policier : tu arrêtes de traîner et grouille toi.

Moi : lâchez moi, où est ce que vous m'amener ?

Le policier s'enerva et me donna un gros coup de poing au ventre. Je me suis accroupi de douleur avec un crie aigu, les autres sont sortie voir.

Un d'eux : mon vieux, qu'est ce que tu fait à la princesse ? Tu veux la casser en deux avans même qu'on est commencé ?

L'autre : tu arrêtes ça. Le jeu n'a pas encore commencé.

Lui : quoi ? Je voulais juste qu'elle ne m'oublie pas. Comme tu le sais la première fois est inoubliable.

Eux : hahahaha!!!!!

L'autre : je suppose qu'elle n'a jamais reçus ce genre de coup.

Le premier venus : elle va devoir s'y habitué. Car sa ne fait que commencer.

Pendant que eux, ils rigolaient, ils ce moquait et ce jouait de moi, j'étais par terre accroupie sur avec une terrible douleur que j'avais jamais ressenti. J'avais tellement mal que même respirer m'était insupportable. Tout à coup l'un d'eux m'a tiré par les cheveux et m'a traîné jusqu'à l'intérieur, et en même temps je criais de douleur, je me demandais si j'allais supporter tout ça.

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Aïcha : monsieur Jeremy! Vous m'avez appelé ?

Jeremy se retourne, regarde Aïcha, puis s'assoit sur le fauteuil en faisant face à Aïcha, qui ne comprenait rien.

Jeremy : assis toi!

Aïcha : oui Monsieur!

Elle s'assoit et baisse la tête comme l'avait conseillé Maria. Jeremy l'observe un moment tout en réfléchissant.

Jeremy : raconte moi, ton histoire! Commence au moment où tu as mis les pieds sur le sol français. Dit moi tout absolument tout sans rien oublier. Je dit bien tout! Même les personnes, les choses que ta croisé, la moindre petite détails.

Aïcha : hé... je ne sais pas si je me rappelle de tout!

Jeremy : ta intérêt à tout te souvenir, me fait pas perdre mon temps et raconte.

Aicha, avala s'est salive et commence à se concentrée, pour se souvenir de tout. Elle ressentait une forte pression sur elle, et tétanisée par la peur.

Aïcha : oui monsieur !

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