Depuis ce dispute que nous avons attendu dans la chambre. Nous étions pas tous les trois bien. Lola et mimi, fessais de leur mieux pour ne pas changer de comportement face à Madame Lea. Quand à moi, je fessais tout mon possible pour éviter MrLegrand, et j'y arrivais bien grâce à l'aide de Mme Lea, vus qu'elle fessais tout pour m'éviter de m'approcher de Sont Mari, sans oublier quel me détestait. Tout continua ainsi pendant 2 mois.
Aujourd'hui je devais accompagner Mme Lea à faire des shopping au centre commercial, heureusement Mr. Était sortie, du coup, ont avaient aucune chance de le croisé, du moins c'est ce que je croyais.Mme Lea : Mariam, prend les sac tu les mettra dans la voiture et tu m'attends dehors, je reviens.
Moi : oui madame.
Je suis sortie déposer les sacs, puis je me suis mis devant la portière de la voiture à attendre Que Mme Lea sorte. Pendant ce temps j'ai profité du temps qui fessais dehors, tout en inspirant fort, il fessais très beaux aujourd'hui, le meilleur temps pour sortir ce promener.
Moi : ha! que sa fait du bien.
..........: oui, le temps est magnifique.
Je me suis retourné pour voir qui est derrière, je fus surpris de voir Mr.Legrand derrière moi.
Moi : vous ?
Lui : tu ne t'entendait pas à me voir ?
Moi : non, pas vraiment, vous rentrer normalement jamais à cette heures.
Lui : je voilais te voir, si tu allais bien ?
Moi : je vais bien, madame est très gentil. Je vais la prévenir, que vous êtes là.
Je me suis retourné pour partir, mais il me stoppa, en me prenant par le main. J'étais surpris de sont geste, et il enserrait sont emprise quand je les regarder dans les yeux. Sa devenait dangereuse pour moi. Heureusement entre temps, Mme Lea est venue tout en étant en colère; malgré tout, Mr n'a pas laissé ma main. J'étais grave gêné de cette situation, sans oublier que Mme Lea me fusillais du regard. Me voilà maintenant piégée entre c'est deux là.
Moi : vivement que cette troisième mois ce terminent, pour que je puis partir, loin de tout ça .
Léa : tu rentre tôt, aujourd'hui chéri ?
Lui : oui, je voulais voir Mariam, passer un peut de temps avec elle.
Léa : pas pour l'instant, elle m'accompagne faire mes courses.
Lui : tu peut le reporter cette course. Et aujourd'hui elle vient avec moi. De plus je t'es dit de la préparer pour moi aujourd'hui.
Léa : je le sais bien, mais n'oublie pas que à la base elle est ma demoiselle de compagnie. Et aujourd'hui j'ai très besoin d'elle. Une autre fois peut-être mon chéri.
Lui : mon amour, ne joue pas à ce petit jeu avec moi. Sinon je vais m'énerver, et sa ne serait pas bon pour toi.
Léa : je ne joue pas, je suis très sérieuse. Pas aujourd'hui, mais demain, car aujourd'hui je suis très occupé avec elle.
Lui : d'accord si, toi tu ne la fais pas, je demandais au domestique de le faire pour moi, je ne te laisserai pas partir avec elle.
Léa : chéri ?
Lui : Mariam, tu viens avec moi ?
J'ai enlevé ma main de sont emprise et je lui est fait face.
Moi : ou m'amener vous ?
Lui : aujourd'hui, ont va te préparée pour moi ce soir.
Moi : pourquoi j'ai besoin de me préparé pour vous ? Est ce votre anniversaire ?
Lui : non ? Mariam tu est une fille plus intelligente que ça il me semble ? Je sais que tu sais où je veut en venir. Alors arrête de me posé des questions et amène toi, je n'aime pas me faire attendre.
Moi : Mr. M'avez vous sauvé la vie, pour pouvoir vous servir de moi ?
Lui : c'est donnant-donnant, à toi de payer tes dettes.
Moi : par quoi, par mon corps ?
Lui : oui, t'a tout à effet raison, alors perdons pas de temps et dépêche toi.
Moi : je suis désolé, mais je ne me prostitut pas. Je ne viendrai pas non plus, vous pouvez me tué si vous voulez, c'est préférable à ça.
Lui : tu ne mourras pas, et tu va devoir bien te préparé, car je ne compte pas te laisser partir.
Léa : arrête chéri, c'est un enfant.
Lui : toi ferme là c'est moi qui commende ici.
Il appelle les gardes pour venir me chercher.
Eux : oui chef ?
Lui : aider Mademoiselle Mariam, a rentré dans la maison, et laisser là au soins des domestiques, je viendrai leur donner les instructions plus tard.
Eux : oui Chef.
Moi : lâchez moi, lâchez moi, madame Lea faite quelque chose c'est votre mari.
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Le Destin De Mariam
AdventureVendu, tel une esclave....... ................................................. Totalement fictive.