Le Destin De Mariam

Parti 38

Nous étions maintenant dans la voiture en direction de la mairie du village, là où tout les Mariages ce passe.

La femme : ont est arrivée, viens je t'amène voir les Marié.

Ma tante m'a effectivement ramener voir les Marié, sauf que je ne m'entendais pas a voir ce que j'ai vus, j'étais tellement choqué que je n'est pas sortie un mots de ma bouche.

Moi : Ali, viens ici, qu'est ce que tu fait en tenue de marié ?

Ali : grand Soeur, sauve moi, je ne veut pas être vendu.

Je suis partie au près de mon petit frère, je les tenue près de moi, et j'ai fait face au autres.

Moi : que contez vous faire ? C'est un garçon! Je croyais que il y'avais que les filles qui ont droit à ça! Pourquoi lui ?

Ils me regardèrent tous, puis je me suis adressé au parent.

Moi : et vous ? Père! Mère! , Ali est votre fils. allez vous rester comme ça sans rien faire ?

Père : ils a désobéit au règlement du village, alors ils seras punis en conséquences.

Moi : punis ? Vous allez le vendre, vous le jeter comme une vulgaire chaussure. Mère c'est votre fils, celui que vous avez porté pendant 9 mois. N'avez vous pas de cœur ?

Mère : t'ai toi, si tu n'étais pas revenu, tous ça ne serait pas arrivée.

Moi : en quoi, m'a venue change quelque chose ? Hein! Dit moi ?

Mère : Mariam, tu est une malédictions pour notre village.

Moi : d'accord, qu'est ce que Ali a avoir avec moi ? Il n'est même pas mon vrais petit frère.

Youssouf : alors tu est déjà au courant.

Moi : oui je sais tout. Mère, sauvez votre enfant, laisse-le venir avec moi.

Youssouf : qui t'a dit qu'on allait te laisser partir Mariam ?

Moi : comment ? Vous allez me retenir ici, où allez vous me tué ?

Youssouf : non, tous sa ne va rien nous rapporter, nous avons prévus autre chose te concernant.

Moi : ho! Je vois, ils ont déjà tous prévus, je doit essayer de les convaincre de laisser Ali.
Et Ali ? Avez vous réellement l'intention de le vendre.

Youssouf : bien sûr, il n'a plus d'aucune utilité, depuis le jour où il a aider Aïcha à s'échapper. En parlant de Aïcha, je suppose que tu la déjà rencontré ?

Moi : Aïcha ? Alors elle s'est échappé ? C'est bien au moin elle, elle a pus s'échapper contrairement au autres.

Youssouf : essaye tu de nous faire croire que tu l'a pas vus ?

Moi : pourquoi, elle est à ma recherche ?

Youssouf : qu'est ce que tu fait à begoussa exactement ?

Moi : je vous l'es dit, je viens récupérer mon frère et ma Seour.

Youssouf : si c'est vrai qu'elle n'a a pas vus Aïcha, alors sa veut dire qu'elle ne sais rien de begoussa, mais comment peut elle savoir qu'elle n'est pas la fille biologique de s'est parent ? Je doit fouiller un peut plus.

Youssouf : alors comment sais-tu, que tu n'est pas leur fille biologique ?

Moi : je vois, il commence à me croire petit à petit. Je l'es toujours sus.

Youssouf : alors tu doit sûrement savoir qui sont tes vrais parents ?

Moi : non! A vous de me le dire, qui sont-il ?

Youssouf : pourquoi pense tu que je le sais ?

Moi : tu est le chef du village, je ne suis surmené pas tombé du ciel ?

Tout à coup, j'ai eu une brusque vertige, et je me suis écroulé par terre, mais j'étais toujours consciente.

Ali : grand Soeur, ça va, ne me laisse pas seul.

Moi : je suis là Ali, je te sauverai.

Youssouf : Comment espère tu le sauver alors que tu ne tiens plus debout ?

Moi : qu'est ce que vous m'avez fait.

J'essaye désespérément , de me relevé en vain, j'étais comme paralysé, tous était flous, je perdais de plus en plus connaissance.

Moi : qu'est ce que vous m'avez fait ?

Youssouf : nous t'avons draguer, quand tu te réveilleras, tout seras déjà fini.

Moi : vous êtes des montres, ne suis-je pas votre fille ?

Youssouf : notre fille ? Hahahahhhab!!!!! Alors tu as vraiment vus Aïcha.

Moi : pourquoi, vous me faites ça ? Je suis votre fille!

Youssouf : tu n'est pas notre fille, ont t'a enlevé comme les autres, tu étais notre portefeuille, sauf que du jour au lendemain, tes parents ont arrêté de nous verser de l'argent, alors ont ne pouvait plus laisser la fille de la prédiction rester plus longtemps avec nous; ainsi nous t'avons vendus.

Moi : vous êtes pas mes parents ? Vous vous...

Je me suis complètement évanoui. Quand je me suis réveillée j'étais dans une pièce sombre, avec les bras et jambe attaché avec un corde.