Torn - l.t [Terminé]

Part 55 : histoires de coeurs

Omg j'ai juste trop trop hâte de vous poster mon histoire de vampires ! J'ai déjà commencé à l'écrire, donc je vais me dépêcher de finir Torn pour vous faire découvrir ce nouvel univers ! 

EN ATTENDANT, J'AI REPUBLIÉ PENPALS- HS PARCE QUE JE VAIS LA CONTINUER ! 😘😘😘

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Après avoir raccroché, je fais un message à Harry pour le prévenir que j'ai raccroché, et en fait un à Colin pour savoir à quelle heure il serait disponible pour s'appeler. 

Toc toc toc.

- Oui !

J'avoue que j'ai un peu la flemme de me lever sachant déjà qui se trouve derrière la porte. Et effectivement, mon demi-frère entre avec un sourire sur le visage.

- On a des choses à se dire tous les deux ! lance-t-il en s'installant à mes côtés. 

J'hausse un sourcil. De quoi veut-il parler ?

- Alors, avec Louiiiiis ?

Je lève les yeux au ciel. C'est pas possible, lui aussi va s'y mettre ? 

- Et toi avec Anna ?

Pris au dépourvu, je le vois rougir. Tiens, monsieur serait-il gêné ?

- Louis m'a expliqué un peu votre fonctionnement. 

Il passe une main dans ses cheveux tout en fixant je ne sais quoi devant lui. 

- Oui.. euh, enfin c'est plus compliqué que ce qu'il a du te raconter. 

- Raconte, je t'écoute !

Je le taquine et lui donne une tape dans l'épaule.

- Quand on se retrouve, c'est à la fois comme deux amis qui ne se sont pas vu depuis longtemps, mais aussi comme un couple à distance. Autant quand on ne se voit pas on ne garde pas vraiment contact, autant quand on se voit, c'est... spécial. Comme si on ne s'était jamais quitté, comme si on s'était vu seulement quelques jours avant, mais en même temps on s'est manqué. Je ne sais pas vraiment comment te l'expliquer ?

- Je crois que j'ai compris. 

- Mais hier, c'était différent, je ne sais pas pourquoi. J'avais l'impression de la redécouvrir, de réaliser quelque chose, mais je ne sais pas vraiment quoi.

Il agite à nouveau ses cheveux avec ses doigts en fixant le sol, comme perdu dans un autre monde. 

- Les dernières fois où on s'est vu, elle avait un copain, donc on agissait simplement comme des amis très proches, parce que je respectais ça, mais en même temps, ça me manquait de ne pas pouvoir l'embrasser.