Chapitre 32

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Il se fou de moi ma parole. En plus il ignore totalement que je viens de lui demander de partir.

-  Tu sais aussi bien que moi que c'est faut. Tu ne peux pas me blairer et ceux depuis le premier jour où l'on c'est vu et où je t'ai reversé mon café sur toi d'ailleurs je ne t'ai toujours pas remboursé. Ton enveloppe est dans mon sac. Alors je vais te la donner et ensuite tu ferais mieux de partir Aaron.

- Non. Je ne te déteste pas au contraire. Et puis je m'en tape de ton fric j'en veux pas alors je te préviens ne m'énerve pas avec ça !

- Pffff à d'autre !

- Juliette je ne partirai d'ici pas avant que tu n'auras pas répondu à mes questions. Toi et moi il faut qu'on discute.

- Non je pense justement que toi et moi on n'a absolument plus rien à se dire.

- Arrête de faire ta gamine, là tu fait tout pour me prend la tête et me foutre dehors. Or moi je veux vraiment qu'on parle toi et moi. Calmement, tranquillement et sans s'en gueuler, comme des adultes.

Je n'arriverai jamais à cerner se mec. Et vu que je suis une fille extrêmement bien élevé et surtout beaucoup trop curieuse, je décide donc de l'écouter à mes risques et périls. Je me dirige vers mon lit et je m'assois dessus. Aaron me regarde faire sans rien dire.

- Bon je t'écoute ?

Il se déplace jusqu'à mon lit et à son tour il s'assoit dessus, juste à côté de moi. Bizarrement je sent mes derniers barrière céder. Cette proximité entre lui et moi me met mal à l'aise et très à l'aise à la fois. Je sais, ça peut paraître idot mais c'est pourtant vrai. Je suis bien quand je suis avec Aaron, il a cette capacité de pourvoir me mettre en confiance. Par contre moi je ne me fait pas confiance car il est beaucoup trop prêt de moi. Et ma seule envi et de me jeter sur ça magnifique bouche pulpeuse et de l'embrasser afin de me rappeler de son goût exquis. Et tout ça me met mal à l'aise. Mes pensées me mettent mal à l'aise, mes sentiments et se que je récent envers lui me mettent mal à l'aise. Ma petite tenu de pyjama me mets aussi mal alaise. Et c'est surtout cette brûlure en bas du ventre qui est plutôt très agréable et qui se manifeste juste quand je suis avec lui qui me met mal à l'aise. Il est prêt de moi, beaucoup trop prêt même. Et moi je suis à moitié nu à côté de lui. Le pire, je n'ai même pas de soutien gorge. Aaron a dû comprendre se à quoi je pense car je le vois fixer ma poitrine et quand je décide de croiser mes bras dessus je le voix remonter se regard jusqu'à ma bouche qu'il fixe un instant en se mordant sa lèvre inférieure avec un sourire en coin ravageur, ce qui le rend encore plus sexy. Puis il vient planter son regard dans le mien. Je n'ai pas le temps de sentir le rouge me monter aux joues que Aaron se jette sur ma bouche pour m'embrasser. Tout se passe très vite. Il pause ses mains sur mon visage, colle son corps au mien et il me pousse à m'allonger sur mon lit avec lui au dessus de moi. Je ne pense plus à rien et encore moins à mes nouvelles résolutions. En revanche je me laisse faire. Je lui rend son baisé et même j'en redemande. Je passe mes mains autour de son coup et je glisse mes doits dans ses cheveux qui sont plus long sur le dessus. Mon Dieu que c'est bon de pouvoir le toucher, d'être dans ses bras et de pouvoir le sentir de si prêt. Il sent tellement bon, un parfum tellement viril qui lui va si bien. Je le laisse dévorer ma bouche, y glisser sa langues pour qu'il puisse rencontrer la mienne. C'est un vrai baisers. Il m'embrasse comme si sa vie en dépendait. Et moi j'en fais de même. J'ai chaud, beaucoup trop même mais je me sent bien. Je me sent à ma place dans ses bras et je ne voudrai être nul part ailleurs à cette instant même.

À bout de souffle nous détachons nos bouches l'une de l'autre sans pour autant changer de position. Aaron plonge son visage dans mon coup tout en inspirant profondément comme si il voulait respirer mon odeur. De toute ma vie je n'ai échangé un baiser comme celui-ci. Certes j'ai embrassé très peu de garçon mais sa n'a jamais été comme ça, aussi intense, puissant et profond. Maintenant nous reprenons doucement nos esprits. Mais j'ai peur de la suite. Il risque sûrement de regretter ceux qu'il vient de se passer. Il va certainement me jeter comme il sait si bien le faire. Tout à coup je me sent nul. J'ai l'impression de mettre fait piéger. Tout a été si vite. Je commence à paniquer intérieurement car je me pause beaucoup trop de questions. Nous n'avons toujours pas changé de position. Aaron est toujours allongé sur moi. Mais je n'ose pas le regarder, car j'ai presque honte de le laisser m'avoir embrassé de cette façon. C'était tellement intense. Je redoute vraiment la suite des événements des secondes à venir.

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