chapitre 16

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En allant en cours je repenser à tout ce que Alias faisait, j'avais peur que son attention envers moi ne soit que passagére.
J'avais sûrement tors parce qu'il avait justement voulu me prouver le contraire.
Arrivée à la fac j'allais vers mes amis qui étaient tous en pleine forme.
Ils étaient de merveilleux amis, je les connaissais depuis que j'avais commencé les cours de médecine.

La journée se passait très vite, nous avions très peu de matiére.

Quand la sonnerie sonnait j'allais vers la sortie pour rentrer chez moi. Dans la foule d'élèves quelqu'un m'atrrappait le poignet et me tirait vers lui.
Je me retournais et ses lèvres venaient directement se poser sur les miennes. Pourquoi m'avait-il embrassé autant de fois ? En fait c'était agréable.

- Comment tu sais que je finis à cette heure là ?

- J'ai demandé à ta sœur à quelle heure tu finissais la plupart du temps. Je voulais te parler et par messages je ne sais pas si tu allais bien comprendre.

- Je t'écoute...

- Vendredi je sais où tu vas et avec qui...

- C'est ton ami, je me trompe ? Et si j'me rappelle bien tu t'en fou, non ?

- J'm'en fiche mais j'veux que tu fasses attention, je sais aussi de quoi il est capable.

- Capable de quoi ?

- Oublie pas ce que je t'ai dis et ne te laisse pas faire, c'est tout, disait-il finalement puis il partait les mains dans les poches, écouteurs sur les oreilles.

Je me demandais bien ve que voulait dire Alias. Jérémie à l'air d'être quelqu'un de gentil et je ne pense pas qu'il puisse me faire du mal.

Je rentrais chez moi et commençais à reviser mon examen de fin de semaine.
Le soir je décidais d'aller me coucher tôt parce que je n'avais rien de mieux à faire.
La semaine se passait très vite et vendredi était déjà arrivé. Mon dernier examen passé j'allais préparer mes affaires pour le soir-même.
Vers 18h45 Jérémie sonnait à la porte. Ses cheveux étaient attachés, son visage s'illuminait quand j'ouvrais la porte.

- Tes affaires son prêtes ? Me souriait-il.

- Oui, tu peux me dire où on va ?

- C'est une surprise pour la plus belle fille du monde, rigolait-il.

- Je le saurais quand nous y serons donc.

Il hôchait la tete et nous montions dans sa voiture.

Timide mais terribleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant