17 Vifazur 4E 201 (Part 7)

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En arrivant en bas de l'escalier, nous tombâmes en plein dans un petit combat entre Sombrages et Impériaux, Ralof serra fortement ses armes.

- Liberté ou Sovngaaaaaaarde, hurla-t-il en se jetant sur un des soldats impérial qui s'apprêtait à mettre fin à la vie d'une soldate Sombrage.

- Arrêtez ! Je me rends ! Supplia-t-elle.

Il sauta en l'air et qu'un coup de hache bien placé dans la nuque du soldat, il le tua net. Pendant que Ralof et deux autres soldats Sombrages s'occupaient du tortionnaire et le tuèrent, je m'occupais de la soldate blessée pour l'aider à se remettre sur pied.

- Bon et bien voilà, fit un des soldats Sombrages en rangeant son espadon dans son dos.

- Une bonne chose de faites, répliqua l'autre soldat Sombrages qui attachait son grand marteau derrière lui.

- Mes frères ! Le Jarl Ulfric était avec vous ? questionna Ralof.

- Non, je ne l'ai pas revu depuis l'apparition de ce dragon, expliqua l'un des soldats Sombrages.

- Très bien, fouillons la pièce et prenons ce qui peut nous servir, ordonna l'autre soldat Sombrages.

- Une seconde ... s'exclama Ralof. On dirait qu'il y a quelque chose dans cette cage. Aegon venez voir.

- J'arrive, que ce passe-t-il ?

- C'est fermé, m'expliqua-t-il après avoir essayé le cadenas. Essayez de l'ouvrir avec des crochets, on pourrait avoir besoin de cet or, quand on sortira.

- Ouais, si on sort, lançais-je.

Ralof me tendit une dizaine de crochet.

- Heu, ouais d'accord mais comment on fait ? demandais-je.

- Alors, vous mettez la tige dans le bas de la serrure et le crochet sur le dessus. Vous faites pivoter le crochet et la tige jusqu'à trouver le point d'accroche. Une fois que vous l'avez, vous faites tourner le tout vers la droite et la serrure devrait d'ouvrir, m'instruisit-il. Attention que les crochets peuvent cassés si la tension est trop forte ou si vous n'êtes pas assez sensibles des doigts.

Je tournai délicatement le crochet dans la serrure jusqu'à sentir le point d'accroche comme m'avait expliqué Ralof, je mis quelques minutes pour trouver ça mais je ne cassai pas mon crochet. Une fois la serrure déverrouillée et le cadenas retiré, je pus entrer dans la cage pour fouiller le cadavre du pauvre mage qui s'était fait torturer jusqu'à la mort, lui prendre les 25 pièces d'or qu'il avait en poche et les deux potions de magie qu'il gardait dans sa tunique.

- Prenez ce dont vous avez besoin et allons-y, me pressa Ralof.

- Oui, oui laissez-moi deux secondes quand même, le pauvre il est mort à cause de l'Empire, un peu de respect tout de même, pestais-je vers Ralof. ÔÔÔÔÔÔ Grand Chick'en Kylling, accueillez cette âme torturée au sein de votre poulailler céleste et qu'il y repose pour l'éternité.

Au sol, à côté du mage, se trouva un livre étrange, qui vibrait sous ma main « étincelle » était inscrit sur la couverture, ainsi que 4 pièces d'or et une potion de magie. J'allai examiner le corps de l'assistant du tortionnaire qui ne comptait rien d'intéressant dans ses poches. Ensuite je fouillai ce qui semblait être le « bureau » du tortionnaire, là où il rangeait les objets intéressants confisqués à ceux qu'il prenait plaisir à découper. J'y trouvais donc un bouclier d'acier et une masse d'arme ainsi qu'un livre « Brève Histoire de l'empire, Vol. 2 » Qu'il faudra que je lise plus tard au coin d'un bon feu. Sur l'espèce de comptoir, je trouvai deux crochets ainsi que le volume 1 des brèves histoires de l'Empire.

Bordeciel: Le Périple d'AegonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant