Une star, une histoire !

Chapitre 28

Le lendemain, alors que j'étais toujours dans les bras de celui qui faisait battre mon petit cœur, après une bonne nuit de sommeil au chaud sous la couette, le réveil que j'avais mis la veille, a malheureusement sonné.

J'aurais balancé mon téléphone tellement que je ne voulais pas me lever, pour aller à la fac en plus, je n'avais absolument aucune motivation.

Mon beau brésilien, lui, était encore loin de toutes ces préoccupations, il commençait à peine à ouvrir ses jolis petits yeux. J'avais fait exprès de mettre mon réveil un peu plus tôt que d'habitude, pour pouvoir profiter quelques minutes de lui, avant une journée bien chargée.

Je me suis retournée pour être face à lui, lui caressant le visage.

Moi — mon petit poulet !

Il se laissait faire, c'était mignon, il avait la peau toute chaude, douce et qui sentait divinement bon. Cela me donnait encore moins envie de me lever pour aller me préparer. Voyant qu'il me restait encore un peu de temps avec lui, j'en ai profité pour lui faire encore des caresses, du bas du dos, en passant par la nuque, pour arriver finalement dans les cheveux. Bien évidemment, il a eu le droit à quelques petits bisous volés, il en redemandait encore et encore.

Il cala sa petite tête contre la mienne, avec sa bouille d'ange.

Neymar — je ne veux pas que tu me laisses..

Moi — mais je suis obligée, je ne peux pas rester, même si j'en meurs d'envie, crois-moi !

Neymar –râlant– mais..

Ce malin, pour que je reste le plus de temps possible en sa compagnie dans le lit, me serrait fort contre lui pour ainsi m'empêcher de me lever. Il était prêt à faire tout et n'importe quoi, je vous jure. Quand il était sept heures pile, j'étais contrainte et obligée d'aller me préparer si je ne voulais pas arriver en retard.

Moi –me levant– allez mon gros !

En entrant dans la salle de bain, je l'ai entendu, comme d'habitude, râler, il n'était pas possible celui-là.

Neymar –sortant sa petite tête de la couette– avant de partir, tu viens me faire un bisou hein ?

Moi — oui, promis !

Ne perdant pas de temps, j'ai enlevé d'une traite le t-shirt dans lequel j'avais dormi, et ai foncé sous la douche histoire de suffisamment me réveiller.
Devant le miroir, en sortant de la douche, c'est à ce moment là que je me suis rendue compte de l'ampleur des dégâts que j'avais dans le cou à cause de mon cher et tendre. J'étais couverte de marques, plus violacées les unes que les autres. Je n'avais pas l'air maligne avec tous mes suçons dans le cou moi. Il n'y avait aucune autre solution que de me laisser les cheveux détachés.

Une bonne trentaine de minutes après, j'étais, déjà, presque prête, il ne manquait plus que j'enfile mes chaussures, et récupère mes affaires, qui, étaient un peu éparpillées, dans la chambre de mon brésilien. Au passage, il me demanda gentiment d'aller voir si son fils, dormait encore.

Dans la chambre de la petite tête blonde, tout était calme, il dormait encore profondément, mais il était temps de le réveiller pour que son papa l'aide à se préparer avant qu'il n'aille à l'école. Je me suis alors chargée de le faire, et, je l'ai fait tout en douceur.