Une semaine déjà, que j'étais avec mon brésilien, malgré que nous nous prenions la tête très régulièrement pour des futilités, nos disputes ne duraient jamais bien longtemps. Il y en avait toujours un pour revenir vers l'autre.
Très tôt le matin, le réveil qu'il avait programmé la veille sur son téléphone, sonna, il était temps de nous lever, si nous ne voulions pas louper l'avion pour rentrer au Brésil, passer les fêtes de fin d'année.
Il se leva le premier et me laissa dormir un peu plus le temps qu'il aille se doucher. À peine dix minutes plus tard, il était déjà de retour dans la chambre et voyant que je ne m'étais pas encore levée et que je dormais toujours autant, il se dirigea vers le lit, et me réveilla, en pinçant chacune de mes fesses.
Neymar — allez debout ma grosse !
Moi –sous la couette, râlant– aïe ! mais ney..
Il alla dans son dressing s'habiller, et je l'ai rejoint peu de temps après, malgré que j'aurais clairement préféré un réveil tout en douceur. Même si le temps était compté, je n'ai pas pu m'empêcher de lui faire un petit câlin, histoire de bien commencer la journée.
Comme pour l'allé j'ai opté pour des vêtements confortables, cependant beaucoup moins chaud, l'été arrivant à grands pas sur les côtes brésiliennes, au contraire de l'Europe, où l'hiver commençait à peine.Neymar –arrivant dans la chambre– tu es prête bébé ?
Moi — ouais deux secondes !
Dans le taxi qui nous emmenait à l'aéroport, malgré que le trajet ne soit pas très long, mon cher et tendre terminait sa nuit, calé contre mon épaule. Le chauffeur nous déposa juste devant, et nous laissa récupérer nos énormes valises, à l'arrière de la voiture.
Moi –avec une petite voix douce– bébé, tu me prends une de mes valises ?
Neymar — tu oublies que j'en ai moi aussi, où comment ça ce passe ?
Moi — mais allez, s'il te plait !
Il commença à partir, me laissant comme une débile sur le rebord de la route, avec mes valises, sans même m'attendre.
Moi –croisant les bras– tant pis, je ne bougerais pas d'ici tant que tu ne porteras pas au moins l'un de mes sacs !
Neymar — je vais la tuer !
Il rebroussa chemin, non pas sans râler, et vint me pendre un de mes sacs, comme je le désirais.
Moi –le taquinant– avec le sourire ça serait mieux !
Il ne prêta pas attention à ma remarque et avança ses valises et mon sac dans chacune des mains. Avant même de se présenter devant les portes d'embarquements, nous sommes allés enregistrer nos bagages, et malgré cette heure très matinale, il y avait beaucoup de monde, pour une raison précise, le début des vacances.
Nous nous sommes alors dépêchés, avant qu'un amas de personnes se forme autour de nous, pour demander des photos au numéro onze des blaugranas.
Moi — comme ça me gaverais d'avoir autant de personnes qui veulent des photos de moi, putain !
Neymar — c'est ça d'être une star bébé !
Moi — calme ta joie frère !
Étant donné que nous devions attendre une petite heure avant de pouvoir décoller, et que nous avions rejoint un salon où, il n'y avait quasiment personne, nous nous sommes installés comme à la maison. Mon brésilien ne s'est pas gêné pour s'étendre en large sur l'un des canapés, et ce curieux a même profité du fait que je parte faire ma petite commission pour fouiller dans mon sac, et voir ce qu'il s'y trouve à l'intérieur. Il n'allait pas être déçu.
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Une star, une histoire !
FanfictionElle s'appelle Maëlle. Il s'appelle Neymar Jr. Elle a dix-sept ans. Il a vingt deux ans. Elle est discrète. Il est populaire. Elle est jeune, célibataire et pleine de vie. Il est séducteur, fêtard et footballeur. Rien ne semblait les réunir un jo...