Chapitre 52

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En fin de journée, monsieur m'avait rejoint à la maison pour mon plus grand plaisir. Il était même venu légèrement plus tôt pour me faire la surprise.

Moi — tu m'as manqué quand même !

Il me serra dans ses bras pour me faire un gros bisou dans les cheveux.

Ma sœur débarqua dans le salon, et alla dire bonjour à Neymar avant qu'il ne la prenne dans ses bras.

Nina — bonjour futur papa !

Il a légèrement sourit.

Neymar — elle va bien cette petite ?

Nina –hochant la tête– oui !

Ils étaient vraiment mignons tout les deux.

Même s'ils passaient la plupart de leur temps à se chamailler et à se taper dessus, parce que oui, combien de fois je les avais retrouver à se battre, notamment à Barcelone quand ma sœur était avec nous. Je savais pertinemment que ma sœur était énormément attachée à lui et l'appréciait beaucoup, et c'était pareil du côté de l'attaquant.

Monsieur monta le premier à l'étage tandis que j'allais faire ma petite commission.

En montant dans ma chambre, j'ai retrouvé comme d'habitude mon brésilien affalé sur ma banquette avec mon ordinateur dans les mains.

Il n'était vraiment pas gêné, mais le pire dans tout ça c'est qu'il s'était changé et avait éparpillé ses affaires dans les quatre coins de la pièce.

Moi — Ney il faut que tu ranges ! en plus l'autre jour ma mère elle a débarqué dans ma chambre, elle a retrouvé des caleçons sous le lit, et à ce que je sache ce n'est pas les miens !

Il rigola, avant de me demander s'ils étaient propres ou sales, comment vous dire que je ne savais plus quoi faire de ce gamin.

Moi — non mais je suis sérieuse, tu bouges tes fesses et tu vas me ranger ta merde dans mon placard et sur ma commode !

Neymar — laisse-moi cinq minutes !

Moi — non maintenant, dans cinq minutes tu vas me dire la même chose, je te connais !

Il rigola de nouveau, puisqu'il savait que j'avais raison. Il me bascula sur lui, et m'a pris dans ses bras pour me faire taire.

Neymar — c'est pas la peine de t'énerver mon amour, on a mieux à faire !

Il commençait à me monter dessus, et à passer ses mains en dessous de mes vêtements.

Moi — arrête de m'amadouer avec tes câlins et tes bisous, je ne vais pas y faire à ta place !

Neymar — j'y fais maintenant alors, que si tu m'aides ?

Moi –me foutant de sa figure– non mais tu es sérieux ? tu as besoin de moi pour ranger deux t-shirts, un jean et trois caleçons ?

Il me regarda avec son regard de chien battu pour que je cède, il savait vraiment comment y faire pour me faire craquer.

Moi — allez lève-toi.. je suis vraiment mais vraiment gentille hein !

Il sourit et me fit un énorme bisou dans le cou, avant de se lever et de ranger avec mon aide, tout le bordel qu'il avait mis dans ma chambre.

Neymar –pliant ses affaires– putain mais qu'est-ce que je suis entrain de faire sérieux ? même ma mère ne m'a jamais saoulé comme ça !

Moi — écoute, si t'es pas content c'est la même chose, surtout que je suis entrain de t'aider donc bon !

Il n'avait pas l'habitude qu'on lui donne des ordres ce petit, mais cela ne lui faisait pas de mal au contraire. Je n'allais quand même pas le faire tout à sa place.

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