Chapter ten

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Chapitre 10 :

Il enlève c'est lunettes de soleil et s'approche de moi à grands pas. Quelques paparazzis le photographient mais plusieurs gardes du corps les repoussent très loin du périmètre où nous sommes.

Il est si spécial que ça ?

Wayne s'arrête à quelques pas devant moi suivi d'un mec de la sécurité placé derrière lui pour le protéger à mon avis. Il est assez grand quand même non ? Il peut très bien gérer ses problèmes tout seul.

Enfin je crois.

-Toi la, me pointe-t-il du doigt, tu ne connais rien à ma vie. D'accord ? Rien, alors tu ne me parles plus jamais comme ça ! Me hurle-t-il dessus.

-Ne me reparle plus, et si jamais je te revois un jour, je te ferais vivre un enfer. J'ai assez de fans pour te nuire à jamais. Finit-il par dire après quelques secondes.

Un de ses « chiens » de garde lui tapote l'épaule. Sûrement pour lui dire qu'ils doivent partir.

Mais bordel de merde ! C'est quand qu'il va comprendre que je ne suis pas une de ses fans à deux balles. Je ne le connaissais même pas hier. Pour moi ce n'est qu'un mec comme tout les autres. Pire, un humain sur sept milliards.

Le pauvre, je le plains...

-Toi, juste ta gueule. Tu pètes plus haut que ton nez mais tu n'es rien. Tu l'entends ça ! Rien ! Hurlais-je. Un mec comme tous les autres. Peut être connus mais c'est tout. Qu'est ce qui te fait encore rigoler ou même pleurer ? Rien, puisque vous les personnes connus vous devenez des armures de glaces. T'es parents ton appris la politesse, ou pas. Car la moindre des choses c'est de t'excuser pour m'avoir fait tomber plus d'une fois, je reprends en reprenant mon souffle qui a disparu après ce long monologue.

Il devient tellement pâle que j'ai peur peur qu'il fasse une crise cardiaque. Il jette ses lunettes qui étaient dans sa main droite par terre d'un coup sec et franc. Il s'approcha encore plus de moi comme si c'était encore possible. Ces yeux rencontrent les miens et sans que je ne le vois venir il baisse sa tête vers mon visage.

Oh je ne le sens pas du tout, mais vraiment pas là.

Son souffle rencontre mes lèvres. L'odeur qu'il dégage est très forte. Peut être un peu trop pour moi.

Et tout d'un coup une douleur lancinante se fait ressentir dans mon ventre.

Oh le connard !

Un geste d'attaque part sans que je ne le décide et atterrit sur son visage. Oh mon Dieu, que ça fait du bien ça m'avait manqué la boxe

Secouant ma main pour diminuer la brûlure qui me prend. Je vois Wayne qui titube en se tenant la joue et un de ses hommes s'interpose entre nous et le fait reculer de force. Il lui chuchote à l'oreille mais ça n'a pas l'air de le calmer.

Qu'est-ce que j'ai fait à par dire qu'il était un homme comme plusieurs personnes. Et parler de ses parents.

Faut qu'il redescende sur terre le coco. 

-Non mais vous êtes un grand malade ? comment osez-vous lever la main sur une fille ? me demande Tante Mandy, je l'avais presque oublié sur le coup.

-ça va Léa ? s'inquiète-t-elle en passant un bras autour de mes épaules.

-oui ça va ne t'inquiète pas, Je la rassure.

-Il se passe quoi avec ce garçon ? me demande elle finalement.

-Rien, juste un mec pété de tunes qui se prend pour le roi du monde, dis-je en soupirant, désespérée de son comportement.

-Bon allez viens ma puce, on y va. Me dit-elle en me prenant dans ses bras.

-Il est quelle heure ici ? Demandais-je en me retirant de sa poigne

Les contacts physiques, ce n'est pas pour moi. Et encore moins quand on ne m'a pas prévenu avant.

On s'avance vers la porte extérieure de l'aéroport et ma tante sort ses clés de voiture, qu'elle déverrouille à distance, la lumière des phares de la voiture s'allume dans l'immense parking.

Une Toyota blanche me fait face. J'ouvre la porte, monte à l'avant et m'attache. Toujours mon sac en main.

Quant à tante Mandy, elle referme le coffre après l'avoir ouvert, voulant sûrement y mettre mon sac, mais elle comprend vite que je ne le mettrais pas dedans.

Des gens penseront que je suis irrespectueuse avec les personnes de ma famille. Et je l'avoue complètement. Mais on en reparlera quand vous aurez vécu ce que j'ai vécu il y a quelques temps.

Elle ouvre la portière et monte côté conducteur. Elle démarre et nous nous engageons sur la route principale.

Rien que de savoir que je vais bientôt être interner me rend malade. Mais j'ai mon plan en tête et je compte bien le mettre à exécution.


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Hello tout le monde, nouveau chapitre en avance.

J'espère qu'il vous auras plus et à mardi prochain.

Kissouilles

BadPair 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant