27-Libération

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Désolé j'ai pas posté depuis super longtemps, mais j'étais complètement ailleurs depuis quelques temps.
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POV Zac

Je suis avec Gabrielle, Alia, Nathan, Eziel et Sam, on est devant Alzandre. C'est une grande bâtisse, elle ressemble un petit peu à un château en plus moderne.

On rentre et personne ne nous regarde, peut-être parce que nous sommes accompagnés de Gabrielle, la célèbre et puissante fille d'Emilia. Cette-dernière n'est d'ailleurs pas là, elle devrait être dans son bureau ou plutôt dans le bureau de Matt. Gabrielle va du coup interroger un des nombreux tueurs présents.

- « Excuse-moi Martin, peux-tu me dire où est ma mère ? » Comme ça Gabi a l'air d'un ange, mais il ne faut pas oublier que c'est un démon.

- « Votre mère a découvert que vous cachiez votre petite sœur dans votre chambre, elle nous a donc demander de vous capturer, ainsi que les gens qui vous accompagne. » Ce petit merdeux dit ça avec le sourire aux lèvres.

À ces mots Eziel s'énerve et crie qu'on lui rende sa petite sœur, Alia sort sa magie de son corps, il paraît que c'est une technique très ancienne de magie, Nathan se met en position sorcier, il fait peur car quand il s'énerve ses yeux deviennent violet foncé et ses lèvres sont exactement de la même couleur. Gabrielle sort son arc et moi je sors toute mon artillerie (pistolet, révolver, fusil de pointe, sniper et mon chouchou, mon lance flamme).

- « Là mes cocos vous êtes tombés sur les mauvaises personnes. » Je dis ça sur un ton tellement intimident que tout le monde recule d'un pas, même ceux qui sont de mon côté.

Je me dirige vers la chambre de Gabrielle pendant que mes amis se battent contre beaucoup de tueurs. Sur ma route il y a de nombreux ennemis, j'en brûle certains ou tire des balles sur d'autres.

Un arrive devant moi, il est trop près pour que je lui tire une balle, je me bats donc à mains nues. Je me prends un point dans la gueule, je le lui rends encore plus fort, il tombe, il m'a énervé, même quand il est à terre je continu de le frapper, je suis tellement frustré, j'ai laissé tomber la femme que j'aime simplement parce qu'elle est enceinte. L'homme sous moi ne respire plus, il est mort, je l'ai tué.

Soudain j'entends un cri, je le reconnaitrais entre mille, c'est le sien, celui de ma princesse. Je cours, ses cris se font de plus en plus fort, sa voix se casse, ça me glace le sang, j'ai peur de comment je vais la retrouver.

Je suis devant la porte de la chambre de Gabrielle, je dois ouvrir cette porte mais j'ai tellement mal pour elle, j'ouvre la porte. Je vois sur le lit mon amour en sous-vêtements, il y a un homme à côté d'elle, il est en train de lui faire des entailles sur tout le corps sauf sont ventre. C'est vrai que son ventre paraît plus gros qu'hier mais je connais la raison donc tout va bien. À côté du lit il y a, par terre, Dean, c'était un de mes élèves, il saigne mais rien de très grave. L'homme se retourne et devant moi, il y a mon père.

- « PAPA ? » Je hurle de colère, il est en train de mutiler ma princesse.

- « Oh mon fils, comment vas-tu ? Que fais-tu là ? » Mon père est con parfois, il ne voit vraiment pas ce que je fais là ? Non mais il est quand même en train de tuer la femme que j'aime.

- « Rien je viens juste te voir. NON mais tu te fous de moi ? Est-ce que tu sais au moins qui tu es en train de butter. » Il me met dans une de ces rages.

- « Oui la fille qui a tué ta mère et tu étais de son côté, tu t'es enfin rétracté ? C'est un peu tard. » Mon Dieu s'il continu je le torture.

- « Oui mais c'est aussi ma petite copine et accessoirement la mère de mon futur enfant. Donc si tu veux tuer ton petit fils ou ta petite fille, tu es bien parti. » Son visage change de forme, il y a énormément de douleur, de la culpabilité, il lui en veut pour la mort de sa femme, mais c'est aussi la mère de son petit enfant.

- « Excuse-moi, part d'ici mais avant blesse moi, je ne veux pas qu'elle sache que je t'ai laissé partir sans rien faire. Tu as mon soutien pour ton gosse, je suis sûr que ce sera un garçon. Emporte avec toi l'autre gamin, s'il te plaît, je ne veux pas que la folle le butte. » Pour une fois je suis heureux d'écouter les ordres de mon père.

Je tire une balle dans la jambe de mon père et je lui brûle la main, oui c'est une vengeance. Je prends D dans les bras et j'appelle un de mes amis pour qu'il porte Dean. Nathan arrive et voit l'état de sa petite sœur et il s'effondre en larmes, ils viennent de tuer et blesser des dizaines de personnes et voir une des leurs dans cet état doit les rendre dingue, je ne pleure pas mais je sais que quand je serais seul, je craquerais.

Gabrielle prend Dean dans ses bras, Eziel et Nathan sont dévastés, Samuel essai de les consoler mais lui aussi est dans un sal état, mais pour lui c'est différent, évidemment qu'il est triste pour Death mais il est épuisé à cause du combat, et Alia m'aide à porter Death pour ne pas lui faire de mal.

On arrive devant l'immeuble, tout le monde dans les rues nous regarde. On monte les sept étages, on est devant la porte et le même dilemme qu'il y a une heure se présente à moi, je ne veux pas ouvrir cette porte, derrière il y a tellement de personne qui m'en veulent.

- « Ouvre cette porte Zac sinon on ne pourra pas les soigner et ils mourront. » Me dit Alia, ses mots ont l'effet d'une bombe sur moi, j'ouvre la porte.

Ezra, Camilla, Jack (oui juste Jack), Matt, Abi, Thomas, Prudence, Lena et Samaël se ruent vers nous. Bizarrement Prudence, Samaël et Camilla s'effondrent. Thomas se précipite vers ma petite sœur et il la prend dans ses bras, il la berce et après avoir versé énormément de larmes, elle s'endort dans ses bras, il s'est passé quelque chose entre les deux, je le découvrirais, mais d'abord il faut s'occuper de Death. Abi et Matt me blâment beaucoup.

Je dépose Death dans notre lit et Gabi va déposer Dean dans le lit de Matthew. Pour Dean il n'y a pas vraiment beaucoup de soin à faire, il faut juste nettoyer ses blessures. Pour D c'est un peu plus compliqué, elle est inconsciente depuis un peu plus d'une heure, mais Alia m'a assuré que le bébé va bien. Pour Death c'est un peu différent, elle a de nombreuses contusions, le nombres de coupures sur son corps est impressionnants, mais il y a aussi des coupures faites par elle et ça, ça me fait mal, c'est de ma faute, mais il faut que j'arrête de me morfondre et je dois rester auprès d'elle jusqu'à qu'elle se réveille.

Je l'entends gémir de douleur, elle va se réveiller, j'ai peur de sa réaction quand elle va me voir. Ses yeux rouges s'ouvrent mais elle les ferme très vite, surement que la lumière est trop forte, je vais donc l'éteindre. Elle rouvre les yeux et elle me voit, au début je vois de la colère puis du soulagement dans ses orbes couleur sang.

- « Zac, tu es là. » Sa voix est teintée de douleur et de peur.

- « Oui mon amour, jamais plus je ne t'abandonnerais, on élèvera ce bébé ensemble avec tous nos amis. » Plus je parle, plus le soulagement se voit dans ses yeux, quand je parle du bébé ses yeux brillent, je l'aime tant.

- « Je t'aime Zac, ne part pas. » Elle dit ça en pleurant.

- « Je ne partirais pas, je t'aime beaucoup plus que tu m'aimes. »

- « Même pas vrai. » Me dit-elle amusé.

Après m'avoir dit ça, elle retombe dans le sommeil, je suis soulagé, elle m'aime, je l'aime, tout va bien, pour l'instant...

La tueuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant