Dispute

1.1K 52 0
                                    

« Je ne baisse pas les yeux, je ne détournerais pas la première »
- Rend moi Barnabé, dis-je en continuant de le fixé.
Lui non plus ne détourne pas, il veut ressortir gagnant de ce duel, tout comme moi.
- J'ai une dette envers Thomas et il ne veut pas que vous partiez.
- Si vous ne me le rendez pas, je partirais sans et irais chercher des renforts.
Lui et Willy éclatèrent de rire.
- Profite un peu maman. On a tout pour s'amusé ici.
Mon regard se durcit dans le siens.
- Oscar, soit raisonnable pour une fois.
- Et toi, ne sois pas aussi coincé maman.
Arg ! Je déteste ce surnom, surtout si il a été inventé par cette abrutit d'Oscar. Je ne l'aime vraiment pas et encore, le terme employé n'est pas assez fort. Un des gardes d'Oscar arrive.
- Chef, on a un problème.
Il ne me quitte pas des yeux.
- Encore un ?!
- Oui.
- Lequel ?
- Marianne Keller s'approche.
- Keller ?
- Marianne ! Ne pût-Je m'empêchez de m'écrire d'une voix sur aiguë.
En ce moment, je perds souvent la face et c'est plus qu'agaçant.
- Chef...
Il serre la mâchoire. C'est finie, j'ai gagnée, il a trouvé le prétexte pour te détournée. J'avance avec assurance jusque l'entrée et tombe nez à nez sur Marianne. Il faut que je lui demande de l'aide, quitte à mettre ma fierté de côtés.
- Aide moi, soufflais-Je tout bas. Ils m'ont enlevée et ont prit Barnabé en otage pour m'obliger à restée.
- D'accord.
Je lui offre alors un sourire sincère et elle me le rend.

PDV Marianne
Je rentre d'un pas furibond à l'intérieur du Lion d'Or. La nuit vient de tombée et Louis n'est toujours pas rentrée ! En pénétrant dans l'entre d'Oscar, je tombe directement sur Ophélie. Son regard reflète de la tristesse, de la colère et de la peur. Elle me murmure pour que personne d'autre que nous n'entende.
- Aide moi. Ils m'ont enlevée et ont prit Barnabé en otage pour m'obliger à restée.
Barnabé !
- D'accord.
Et là, quelques choses qui ne c'était pas produit depuis longtemps se déroule sous les yeux. Ophélie me gratifie d'un grand sourire sincère remplit de remerciement. Je ne peux que lui rendre. Je récupère petit Louis qui riait avec cette peste de Mireille ! Il ne veux pas, mais je ne lui laisse pas le choix. Dissimulée derrière moi, mon ancienne meilleure amie tente de sortir avec moi.
- Tu vas quelques part ? Demande soudain Oscar.
Je la défends.
- Elle vient avec moi.
Il hausse nonchalamment les épaules.
- Comme tu voudra Wank, menace t-Il avant d'ajouter plus bas: Mais ne vient pas pleurée si tu arrive trop tard pour ton cousin.
Cette dernière lui met un baffe et cour presque pour se calé dans un fauteuil isolé. Oscar et furieux.
- Qu'est ce que ta Keller, tu veux ma photo !?
- Non, vu que ta tête mes déjà pénible à voir en vrai...
Puis je pars non sans me tournée une dernière fois vers mon amie avec un air d'excuse.

PDV Ophélie
D'un air menaçant, Oscar s'approche de moi.
-Ne refais plus jamais ça !
- Je fais ce que je veux ! Je t'ai déjà dis que je n'étais pas un de tes toutous bien obéissant ! Jamais je ne m'abaisserais a t'écoutée. Tu me dégoûte !

PDV OScar
S'en ai trop. Je la gifle. Elle se touche la joue, ahuris. Puis son teint vire au rouge au niveau ou ma main la frappée. Le silence tombe. Un silence de reproche. Je me tourne d'un air dangereux vers les autres.
- Qu'est ce qu'il y a ?! Reprenez vos activités, et maintenant !
Tous m'obéirent sans hésité. Elle l'avait bien chercher a toujours me tenir tête et à me manqué de respect, non ?. La fille se lève avec hargne.
- Ne me touche pas, c'est clair ?!
- Je fais ce que je veux !
- Non Stettner, ne te crois pas au dessus des autres car tu ne l'est pas ! Et peut être que les autres ne te disent rien mais moi si, tu ne fais pas ce que tu veux avec moi ! Si tu te crois fière avec ton règne qui ne marche que par la terreur c'est que tu es un crétin !

PDV Ophélie
Je suis dans une rage folle. Je remonte dans la chambre 04 en tapant fortement des pieds sur chaque marche pour faire comprendre mon mécontentement. Pour l'instant je suis coincé, mais je trouverais bien le moyen de retrouvé Barnabé et de le délivré.

Timpelbach: Le triangle des amoursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant