Timpelbach: Le triangle des amours

Presque

«  Pourtant, je dois avouer qu'elle est différente, mais je ne serais dire en quoi »

PDV OSCAR
J'ai fais le tour du village, en vain. Il ne reste qu'un endroit que je n'ai pas encore visité et ce n'est pas celui qui me donne le plus envie. A pas de loup, je longe les rues les moins fréquentés. Les Timpelbachiens doivent déjà être à mes trousses. J'accepterais le sort qui me sera donné, mais je dois d'abord parlé à Ophélie. J'avance vers la maison de Marianne en tentant d'être le plus discret possible. Alors que je suis presque arrivé, des bruits de pas et d'éclat de voix m'alerte. Précipitamment, je me jette derrière une poubelle. Ce n'est pas la cachette du siècle, mais je fais ce que je peux ! Discrètement, j'observe la scène. Ils ont attrapé Willy ! Qui l'aurait crut ? Il est le garçon le plus intelligent et rusé que je connaisse. Il est suivis de près par binoclard et Ophélie. C'est incroyable comme elle est belle ! Comment pourrais-je l'approcher sans me faire repérée par les deux autres ? Rah, encore un casse tête !

PDV OPHÉLIE
Je ferme la marche, sur le qui-vive. Nous sommes toujours à la recherche du dernier fugitif faisant parti du clan ennemi. Oscar Stettner. Mon coeur se serre. Je tire nerveusement sur la chaîne du collier offert par mes parents. Un petit médaillon en argent et en forme de coeur comportent une photo de mes deux parents à l'intérieur et une autre de mon frère et moi dans l'autre moitié. A force de jouer avec pour calmé mes nerfs, la chaîne se brise et tombe à terre. Je mets plusieurs secondes à le réaliser.
- Arrête toi ! Ordonne mon ami à Willy.
Le concerné grogne et le toise d'un air froid et méprisant.
- Non non, c'est rien. Continuer à avancer, je vous rejoins.
- Comme tu voudra.
Sans plus de cérémonie, il reprend son chemin en forçant le prisonnier à avancer. Je fais volte face et scanne en un regard le sol en pavé. Une soudaine et oppressante bouffée de panique me submerge et lacère ma poitrine. Impossible de mettre la main sur mon pendentif ! Alors que je me mets à quatre pattes - Une position que je déteste ! - Une voix que je connais pas coeur me hèle :
- Ophélie, c'est ça que tu cherche ? Questionne doucement quelqu'un.
Vivement, je me retourne. Je sens tous les muscles de mon corps de contracté de manière désagréable voir douloureuse. Mon sang ne fait qu'un tour tandis que les battements de mon cœur redouble d'intensité.

PDV OSCAR
Je l'observe sans bronché, laissant la chaîne que je tiens, pendre dans le vide. Elle ne dit rien et ne bouge plus d'un millimètres. Seules les émotions défilant sur son visage m'indique qu'il vaut mieux que je me taise et que je lui laisse en première la parole. Tout d'un coup, Ophélie se jette sur moi. Ses yeux reflètent une lueur de rage sans précédent et je crains vraiment pour ma vie. Je bascule en arrière, mon dos claquant sur le trottoir. Je grimace tandis qu'elle me tape de ses petits poings.
- Comment tu as pu me faire ça Oscar ! Tu as tiré sur mon frère, il aurait put ne pas s'en sortir !
- Mais je ne le visais pas ! Me défendis-Je.
Ma réponse ne semble guère lui plaire car elle me fusille du regard. Un frisson parcoure ma colonne vertébrale. Pourtant, une pensé peut approprier à la situation me vient en tête : Elle est vraiment adorable quand elle s'énerve.
Oui, mais tu visais quelqu'un ! M'accuse la sœur de Thomas.
- Oui... enfin non ! Roh, je ne sais pas mais...
Sans me laisser le temps de finir ma phrase, elle reprend son attaque. Avec douceur mais fermentée, je lui saisis les poignées et m'assoit, l'obligeant à me faire face.
- Je suis désolée, ce n'est pas ce que je voulais...
- Combien de fois t'es tu excuser en promettant de ne plus recommencer, hein ? Une bonne centaine de fois au moins !
«  Non, peut être pas quand même tu exagères »
- Je sais, mais ...
- Tu n'auras plus de chance Oscar.
PAM nouveau pic en plein cœur. La colère me submerge à l'entente de ses mots. Je ne veux pas la perdre, je ne peux pas.
- J'ai fais des erreurs, mais tu n'en a jamais fait peut être ! Tu te bat pour ta cause en pensant avoir la bonne solution. Et bien moi, c'était la même chose, j'étais certain de me battre pour la bonne cause ! Alors oui je ne suis n'y parfait, n'y enviable !
Ophélie arrête de se débattre et me scrute avec une once indéfendable dans le regard.

PDV OPHÉLIE
Oscar c'est battu contre nous, mais il croyait faire ce qui est juste. Depuis la mort de sa mère, tout à tournée aux cauchemars pour lui. De plus, il c'est reposé sur Willy comme modèle. Hors, ce dernier ayant perdu son seul véritable repère c'est mit a faire n'importe quoi.
- Écoute Ophélie, se calme t'il en soufflant, j'ai totalement dérapez et ce que j'ai fais était vraiment mal. Je ne te demande pas de me pardonné immédiatement, mais je ne veux pas te perdre.
A cette instant, je réalise comme il a changé. Il n'est plus « Oscar Stettner la terreur » mais « Oscar Stettner l'incompris » Il a blessée mon frère, mon cousin, mes amis et moi-même. Pourtant, rien a faire, je ne peux définitivement pas lui en vouloir. Tout ceci n'était pas volontaire, du moins, l'attaque envers mon frère.
- Ophélie...
- Oui ?
- Je voudrais essayer quelques choses, tu permet ?
Oscar se penche vers moi et je sens mes joues se mettront à brûlée. Mon corps tremblent, mes pensées deviennent confuse et les battements de mon cœurs accélérés de manière irrégulière. Alors que je ferme les yeux, quelques choses nous arrête. Ou plutôt, quelqu'un.
- Attention Ophélie !
« Quoi ? » Thomas propulse Oscar et Marianne accourt vers moi.
- Ça va ? Tu n'as rien ? S'il t'as faites quoi que ce soit, je te promets que je m'occuperais personnellement de lui !
« Non ! » Je veux hurlée qu'il est innocent, mais je reste bêtement pétrifiée tandis qu'ils l'emmènent.

: Désolée d'avoir mis autant de temps à publier mais certain problème de santé m'empêche d'écrire aussi souvent que prévu.