Confrontation

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« - Reste ici mon Loulou, j'ai des comptes à réglé »
Je lui frotte affectueusement le haut du crâne en emmêlant ses cheveux blond. Il n'y qu'avec Barnabé, mon oncle et ma tante que je suis toujours la même. Je sors en trompe de chez moi et interroge tous les enfants que j'aperçois jusqu'à tombée sur mon ancienne meilleure amie qui l'ai toujours à les yeux.
- Excuse moi, tu n'aurais pas vue Thomas.
Elle ne répond pas tout de suite, interloquée.
- Tu me reparle maintenant ?!
Je soupire.
- Non, je veux juste savoir où est mon frère,
Mes paroles la blesse et devoir la mettre dans cette état pour qu'elle s'éloigne de moi me tue.
- Non ! Pourquoi, tu veux rejoindre sa bande de crétin peut être !?
Sûrement pas ! M'offusquais-Je. J'ai juste appris ce qu'il c'est passé avec mon cousin et nous avons un petit différent à réglé...
- Oh, moi je l'ai vu ! S'exclame Mamfred l'air ravie.
Marianne lui offre un grand coup de coude dans les côtes.
- Aïe ! Gémit il en se frottant l'endroit endoloris.
- Où est il ?
- Au repaire d'Oscar.
« J'aurais dus m'en doutée... »
- Merci.
Je commence à avancée et murmure un « pardon » à l'intention de mes amis. Le chemin jusqu'au hangar me semble plus que long que la dernière fois. Enfin arrivée, je rentre d'un pas assurée sans ressentir la moindre hésitation. À l'intérieur, il n'y a personne mise à part Thomas, Willy, Oscar, Jean et Erna.           « Super, la bande au grand complet... ».      Leur chef est celui qui me remarque en premier.
- Ah, mais voilà la petite Sainte, raille t'il. Je t'avais dis que tu changerais d'avis.
- Ne rêve pas Stettner, je t'ai déjà dit que jamais, je ne rejoindrais ta bande de loser.
Tous les autres me portent soudain attention, une lueur mauvaise dansant dans leurs yeux.
- Alors, tu ne peux plus te passé de moi, continu t-il sure de lui. Puisque où que je sois, tu es là.
- Tu en rêverais, n'est ce pas ? Mais sache que tu ne m'intéresse pas, je suis là pour Thomas.
- Rentre à la maison, grogne ce dernier.
- Ne fuis pas tes problèmes !
- Rentre à la maison ! Insiste t-il pour une raison qui m'échappe.
- Au même titre qu'Oscar, tu n'as aucun ordre à me donnée.
Du regard, j'ai l'impression que Thomas m'incite à rentré « Mais qu'est ce qu'il y a à la fin ? »
- Que tu traîne avec Oscar est déjà nul, que tu frappe les petits est vraiment pitoyable mais que tu t'en prenne à Barnabé, c'est juste pas pardonnable.
- Oh, intervient d'une voix moqueuse Oscar. On à touché à ton précieux cousin ? C'est triste, rit il.
- Pourquoi tu t'en mêle ? Seul Willy et Thomas sont concernés.
Il ne sait plus quoi dire donc son second l'aide.
- Tout ce qu'on fait le concerne, il est notre chef.
- À ce que je sache, il peut se défendre seul, à moins qu'il n'est besoin d'une nounou.
La mine du Chef se décompose face à mon insolence avant de reprendre un aspect dur. Il se lève, mécontent, et s'approche dangereusement de moi.
- Ne me chercher pas Wank. Ce n'est pas parce que tu es la sœur de Thomas que tu aura le droit à l'immunité.
- Je ne crois rien. J'agis et en tire les conséquences.
- Alors devine quelle serait les conséquences de ma colère.
- Je suppose que tu me frapperais avec ta bande parce que tu es un lâche qui ne peux pas se défendre seul. Ensuite, tu terrifierais les enfants pour qu'il ne m'adresse plus la parole avant devenir quotidiennement m'harcelé de moquerie. Bien visée ?
- En plein dans le mille.
- Tu as peur...
- Non, le coupais-Je. Jamais aucun de vous ne m'intimidera et ceux, même sous les coups.
Je dis ça sans même être sure que c'est la vérité. Au fond de moi, cette menace me fait quelques peu tremblée, mais je ne lui avouerais pas. Je plisse des yeux.
- Vous allez virez Thomas ?
- Non.
- Et laissé Barnabé ?
-Encore moins.
- Je ne vois même pas pourquoi je vous parle !
Erna se mêle à la conversation.
- Parce que tu es seule et sans ami, raille t-elle. Tu as besoin de te trouvée de l'importance, alors tu cherche des prétextes pour nous collées.

PDV Oscar
A cette phrase, un silence de plomb s'abat avant que nos rires retentissent. Thomas n'est de la parti et ne semble pas apprécier, mais bon, tant pis... Pourtant, quelques choses d'étrange se passe. Quelques chose que je semble être le seul à avoir remarqué. Les yeux d'Ophélie se mette à étincelé comme deux diamants dans la nuit. Mais contrairement à d'habitude, on ne peut pas y lire de la colère ou du dégoût, mais de la peine. Oh !
Pour ne pas perdre la face, elle réplique.
- Moi au moins, je ne vais pas squattée avec les autres et me croire dans une bande !
Erna grogne. Sans plusse de cérémonie, la sœur de Thomas s'éclipse précipitamment. Erna se lève pour partir à sa poursuite mais je la retiens, ça n'en vaut pas la peine. Pas maintenant du moins.

Éclipse 1h30

PDV Thomas
Pour une fois depuis longtemps, je rentre à l'heure ! Je monte directement vers l'entre d'Ophélie pour que nous puissions avoir une petites explications en tête à tête. Je frappe plusieurs mais le silence me répond. Je m'introduit dans sa chambre mais la pièce est déserte.

Timpelbach: Le triangle des amoursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant