« Bien malgré moi, j'articule un pardon en lui retournant une moue sincèrement désolée. »
PDV OPHÉLIE
Sérieusement Oscar, sérieusement ? Qu'est ce qu'il peut m'agacer avec son petite air de chien battu ! Je pourrais presque ne pas pouvoir lui en vouloir si mes amis n'étaient pas en difficulté.
- Hummm ! Se débat une voix.
Je balaye la pièce du regard et aperçois mon frère fermement bâillonné. Je me précipite vers lui et le libère. Il inspire un grand bol d'air, soulagé de pouvoir enfin respiré correctement. Quelques tire que mon tee-shirt et je fais volte, c'est Louis. Il semble s'impatienter de repartir au combat ce petit bout de chou ! Je me retourne vers Tommy.
- Qu'est ce qu'on fait maintenant ? Je me renseigne.
Il soupire et passe nerveusement une main dans ses cheveux en bataille.
- Je n'en ai aucune idée....
J'inspecte la pièce avec désespoir. On ne peut pas laisser nos amis se débrouillé seuls ! D'un coup, une idée me vient lorsque mon regard se reporte sur les fenêtres.
- Je sais ! Je m'exclame.
Thomas me dévisage, appréhendant mes intentions. «De nous deux, c'est quand même moi qui a les meilleures idées ! » Je gronde mentalement en lui lançant des éclaires.
- On va brisé la fenêtre !
- Quoi ? Un petit risque de se prendre un bout de verre ! Et puis ils sont trop petits, ils n'arriveront pas à sortir par là ! Contredit il.
- Tu as une meilleure idée peut être ?
Il soupire, résigné. J'en profite pour insisté.
- Allez Thomas et puis comme disait maman « Qui ne tente rien, n'a rien »
Une petite boule de forme dans mon estomac, c'est à la fois gênant et agréable. C'est la première fois que je cite une quelconque phrase d'un de nos parents ou que je parle d'eux avec mon frère. Heureusement, il approuve d'un signe de tête.
- Tu as raison ! Comme ça, les enfants pourront resté à l'abris.
Théoriquement, nous sommes nous même des enfants, mais je ne le relève pas.
- Reculé ! Ordonne Tommy.
Nous nous exécutons. Les plus jeunes se collent au mur et je place les tables comme un rempart avant de me glissé devant Barnabé et Charlotte pour les protégés.
- Fait attention à toi Thomas.
Il me gratifie d'un œillade.
- Ne t'en fais pas, je m'en suis toujours sorti ! N'est ce pas ?
Je souris bêtement, fière de lui. Aujourd'hui, je peux affirmée à qui veut l'entendre que je suis fière de mon frère, mais également de mon cousin qui reste courageux. Je suis chanceuse d'avoir une famille telle que la mienne, soudée. Je sais que mes parents seraient content de nous, de ce que nous sommes devenu. Cependant, je sais également qu'il me dirait de foncé voir Oscar et de le soutenir. Les parents ont sans cesse affirmé que tout le monde avait un bon fond, au plus profond de son être. De plus, il n'a pas eu la chance d'avoir une famille unis. Tout d'un coup, le tirant de mes pensée, mon aîné attrape un tabouret et se précipite vers l'immense fenêtre.PDV OSCAR
Alors que avions l'avantage, la situation semble commencer à nous échappé. Un bruit assourdissant met mes sens en alerte. Arrivant par l'impasse des fleurs, un immense véhicule apparaît. C'est une sorte de véhicule arrangé maison qui avance avec des petits faisant de la balançoire et que Robert pilote. Une sorte de canon est pointé sur nous. « C'est quoi ça encore !? » Soudain, des pommes de terre nous sont lancé dessus comme des balles ! Certains écorché commence à se replié, désertant les champs de bataille. D'autres continu le combat où se mettent à l'abris derrière la fontaine. Le pire est à venir pourtant ! Le fenêtre de l'établissement dirigé par Corbac vole en milles éclats formant des sortent d'étoiles filantes s'écrasant pitoyablement au sol. La fratrie Wank sortent agilement et revienne vers nous. « Elle ne pourrait pas se laissé mettre en sécurité pour une fois !? Comment veut elle que je la protège en plein combat ? » Que faire ? Ce cahot ne rime plus à rien maintenant ! Et puis, c'est injuste qu'il est une arme et pas nous, c'est inégale !PDV WILLY
Tous des traitres, aucun d'eux ne tiennent le rôle d' Écorchés. Ils ne sont pas digne d'appartenir à à notre mouvement et de faire partir du nouveau régime de Timpelbach. Néanmoins, leur replis nous cause une faiblesse sur le terrain. Ils ont une arme ? Très bien, nous allons rentré dans leur jeu ! Je cours jusque chez moi et monte dans la chambre de mon père pour me saisir de l'objet convoité.PDV OPHÉLIE
Nous sommes enfin libre ! En plus, nous avons l'avantage sur les ennemis. Parfait ! J'aperçois Oscar qui lui aussi m'a vue. C'est étrange mais le monde extérieur semble se brouillé et le brouhaha environnent s'éloigne doucement pour ne devenir qu'un léger bruit de fond relaxant. Il n'y a plus que Stettner. Je sais ce que je dois faire maintenant, j'en suis même convaincue ! Je suis prête à mettre ma fierté de côté pour pouvoir l'aider. J'avance à grand pas dans sa direction avec un air déterminé mais me stoppe net lorsque je remarque Willy.PDV OSCAR
Ophélie le contemple avec une douceur étonnante. Il n'y a aucun défis, rancune ou colère dans son regard. Non, rien de tout ça. Juste de la tendresse. Les autres disparaissent un court instant. Pourtant, une ombre se glissant dans mon dos me tire brusquement de mes agréables pensées. C'est mon meilleur ami. Avec un air alarmé, je lui demande :
- Qu'est ce qu'on fait maintenant !? On est train de perdre, ce n'est pas envisageable !
- Est ce que tu serais prêt à faire n'importe quoi pour nous sortir de là ?
« N'importe quoi ? »
- Je... euh...
Il paraît distingué mon hésitation.
- Tu es notre Chef Oscar et c'est donc de ton devoir de nous mené à la victoire.
Il a raison, comme d'habitude.
- Alors ? Insiste t'il.
D'un signe de la tête, j'approuve. Il passe sa main sous son long imperméable noir et en ressort le fusil de son père. J'écarquille les yeux et il me le tend. Je me souviens que pendant les vacances de l'année dernière, on avait retrouvé l'arme dans le placard de la chambre de ses parents en cherchant la clé du tiroir enfermant les bonbons. On avait passée de longue heure à s'entraîner à tiré sur des bouteilles de bière vide dans la forêt. C'était notre secret.
- Allez Oscar, vas y.
J'inspire un bon coup et met mes craintes de côté. Moyennement confiant, j'attrape le fusil et vise Robert. Si nous récupérons son char d'assaut, nous pourrons reprendre l'avantage. Alors que je m'apprête à tiré, un éclat de voit attire mon attention.PDV OPHÉLIE
Avec horreur, je vois Stettner tenté de blessé Robert qui ne sait rendu compte de rien. Aussi fou et idiot que ça puisse paraître, j'ai aussi peur pour Bebert que Oscar. S'il faisait ça, il s'en voudrait toute la vie.
- Oscar, non ! J'appelle pour l'arrêter.PDV OSCAR
Je me tourne vers elle, ses yeux brillent de tristesse. Tout se passe très vite. Alors qu'elle me supplie de manière muette de m'arrêter, je sursaute et le coup part. La balle siffle à travers le vent et j'arrête de respirer.
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Timpelbach: Le triangle des amours
RomantizmQue se serait il passé si Thomas faisait encore parti de la bande d'Oscar durant la guerre et qu'il avait une sœur qui était son contraire ? Une sœur têtu qui tienne tête au Chef des Écorchés et qui fasse tourné les têtes ? Découvrez l'incroyable hi...