Que se serait il passé si Thomas faisait encore parti de la bande d'Oscar durant la guerre et qu'il avait une sœur qui était son contraire ? Une sœur têtu qui tienne tête au Chef des Écorchés et qui fasse tourné les têtes ? Découvrez l'incroyable hi...
« Je m'introduis dans la chambre mais la pièce est déserte » Je descends interrogé ma tante. - Tu n'aurais pas vu Ophélie ? - Non, pas depuis qu'elle est partie tout à l'heure après avoir discuté avec Barnabé. - Elle n'est pas rentré entre temps ?! M'exclamais-Je horrifier. - Non, pourquoi ? - Il faut que j'y aille ! Elle me rattrape vivement par le col. - Hop hop hop jeune homme, pas si vite. Tu vas d'abords effectué ta corvée d'épluchage de pomme de terre. - Mais... - Il n'y a pas de mais qui tienne, me coupe t-elle. Je soupire.
PDV Willy D'après le rapport d'Oscar sur sa « mission » cette fille la tout de suite grillée. Il me faudra donc être très vigilant demain.
PDV Oscar Je n'ai vraiment pas envi de rentrée. Plus je vais traîner, plus je vais me prendre un raclé, mais il n'est pas question que je retourne dans cette maison de fou ! Les mains dans les poches, je frappe violemment dans une canette vide quand soudain, je distingue des bruits de sanglots étouffée et des reniflements.
PDV Ophélie Depuis les paroles presque crachée de cette vipère d'Erna, les souvenirs que je tente de refoulée depuis mon emménagement refont surface : La disparition de mes parents, l'apparition de ces étranges personnes ( services sociaux ) mes amis que j'ai dus abandonnée pour ne pas souffrir et la « perte » de mon frère. Appuyée contre un muret, mon visage couvert pat les mains et mes genoux repliés contre la poitrine, je sens les larmes glissées le long de mes joues et les fixes s'écrasées sur le sol terreux. Je me sens terriblement seule et vulnérable et cette sensation m'horripile. Je réalise à qu'elle point l'absence de mes parents, de Marianne et de Thomas m'est pesante et insupportable. À ce cour de pensée, ma tristesse redouble d'intensité.
PDV Oscar Je suis le raffut et tombe sur Ophélie, recroquevillée contre elle-même. Je me passe une main dans les cheveux, gêné. Qu'est ce que je dois faire moi ? Je la réconforterais bien mais je ne sais pas faire ça et puis, ce ne serais pas digne de moi. Je me serais bien moqué mais étonnement, je n'ai pas le cœur à ça. Alors je reste là, comme un crétin, à l'observé, muet. C'est assez étrange de la voir dans cette état parce que sa me prouve qu'elle peut ressentir des.... sentiments ! Moi qui la croyais presque forte. Bon le mot est un exagéré... Au bout d'un moment, alors que je veux repartir, je shoot accidentellement dans une poubelle. Elle hoquette de surprise et relève rapidement la tête pour découvrir l'identité de « l'intrus ». Ses yeux sont rougis et bouffis. Son regard d'un doux chocolat croise le mien. Aucun de nous deux ne veux détourné ses yeux de l'autre le premier. Ce serait perdre, être vaincu. Au début elle semble ahuris de me voir mais se reprend et tente inutilement de se revêtir de son masque d'indifférence. Elle parait me dire « Pourquoi t'es là ? ». Puis du revers de la main, elle essuie ses larmes, se relève et époussette sa robe. Sans plus de mot, elle s'en va mystérieusement. Elle est vraiment étrange. Je reste un long moment planté là, à observé la ruelle déserte. C'est ce qu'Erna lui a dit qui l'a mais dans cette état ? Non, je ne crois pas, mais avec elle on ne sait jamais. « Pourquoi je pense à sa moi aussi ? » songeais-Je, agacée. Je fronce les sourcils et à mon tour, pars sans me retourné.
PDV Ophélie Oscar m'a vu ! Ah, c'était vraiment la dernière personne que je voulais qui me découvre dans ce pitoyable état ! A ma grande stupéfaction, il n'a pas tenté de m'humilier en ce moquant. Quand j'ai croisés ses yeux, il n'était pas rieur mais plutôt d'un sérieux déconcertant. Encore chancelante et déboussolée, je rentre chez moi. Sans même saluée qui que soit, je monte m'enfermée dans ma chambre. Je m'avance dans mes devoirs, demain, rendez vous avec Corbac...
Éclipse 2H
Quelqu'un tambourine avec insistance contre ma porte, mais j'ignore cette personne. - Ophe' ? Il n'y a que mon oncle pour me donner un surnom si... comment dire ? Spécial. - Tu viens manger ? - Je n'ai pas très faim, mentis-Je. A ce moment précis, mon ventre grogne de mécontentement. - Il c'est passée quelques chose ? - Non. S'il te plaît, laisse moi. Je suis fatiguée. - C'est Thomas. Ma réponse m'échappe. - Pas vraiment... - Raconte moi. - Bonne nuit tonton. Je l'entends soupiré et perçois le bruit de ses pas sur le planché grincent. Je me laisse lourdement sur mon lit et enfouis ma tête dans mon oreiller.
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