Debut de sentiment

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« Je manque de hoqueter mais me retient »
Je sens qu'il passe un bras autour de mes épaules et n'ayant plus la force de résister, je me laisse allez contre lui le long de son torse. Je suis anéantis, tout autour de moi semble si irréel. De plus, être dans les bras de Oscar Stettner offre des connotations illusoires. Comment en suis-je arrivée là ? Peu à peu, sur ses pensées, mes paupières s'alourdissent et le noir sinise.

PDV Oscar
La respiration régulière d'Ophélie me laisse croire qu'elle c'est endormie. Super !
Le plus doucement possible, je m'allonge. La tête de le sœur de Thomas roule lourdement dans le creux de mon coup. Je hume une dernière fois sa chevelure aux senteurs de fraise et paisiblement, m'assoupis.
*Quelques heures plus tard*
D'épouvantable hurlement le réveil en sursaut. Ma tête me fait un mal de chien et la vue est floue. Je cligne frénétiquement des paupières et jette un coup d'œil au cadran lumineux m'indique 3h du matin. Bon sang, qu'est ce qu'il se passe ici ? Avec quelques temps de retard, je réalise que ces cris proviennent de Ophélie. Je distingue tout de même quelques mots incompréhensibles dans tout e brouhaha:
- Non... revient...papa, maman.... Thomas part pas... Oscar reste avec moi... s'il te plaît... non !
Avec une tendresse qui ne m'est pas familière, je la berce en lui chuchotant des mots qui étonnant, me vienne naturellement.

PDV Ophélie
Quand j'ouvre les yeux, je sens mon crâne se lever à la mesure d'une respiration, puis j'entends des battements de cœur. Incrédule, je relève vivement la tête et aperçois Oscar paisiblement plongé dans son sommeil. Quelques mèches folles tombe sur son visage aux allures angélique. Qu'est ce que je raconte ? La fatigue dois encore faire effet. Au bout de longue seconde, il ouvre les yeux et le gratifie de son fameux sourire en coin.
- Je sais que je suis beau, mais ce n'est pas très poli de me contemplé ainsi.
Je dois restée calme, il n'attend que ça: que je m'énerve.
- Pense ce que tu veux Stettner, nous n'avons pas la même définition de beau.
Il arque un sourcil, amusé.
- Ah oui ? Alors qu'elle est la tienne ?
- La beauté physique n'a guère d'importance lorsque celle de l'âme reflète sur la personne. Une personne gentil, attentionné, à l'écoute, courageux et qui se bat pour la noble cause est bel.
Il rit derechef et je grimace, agacée.
- Monsieur se moque mais qu'elle est sa version à lui ?
Oscar me répond avec sérieux:
- C'est simple, c'est toi.
Mes yeux et ma bouche s'arrondissent et je m'étouffe. Qu'est ce que...?

PDV Oscar
Pourquoi j'ai dis ça moi ? Le pire est que ça m'est venu d'un naturel terrifiant. Il faut que je me rattrape au risque qu'elle ne s'imagine quoi que ce soit. Je ricane sans grande envie :
- C'est amusant de voir à quelle point il est simple de te déstabilisé à l'aide de simple mot.
Puis je la pousse de moi et elle atterrie brutalement sur le matelas de tout son long. Elle grogne et me lance un regard noir.
Promptement, je me lève.
- Allez feignante, il est l'heure.
Puérilement, elle me tire la langue et part en courant, oubliant totalement que la porte est fermé. C'est vraiment une gamine... Cette pensée me fait rire intérieurement. Douloureusement, elle fonce dans l'entré et bascule en arrière. C'est pas vraie ! En un geste devenu un réflexe, je l'a rattrape et aucun de nous ne bouge. Un combat de regard commence alors. Cette fille prend vraiment tout pour un défis.
- Qui de nous deux est le plus déstabilisé maintenant ?
Un sourire narquois se dessine sur ses lèvres parfaite aux coloris rosée et vivement, je l'a relèvement.
*Dans l'après midi*
Après avoir mis les choses au clair au niveau des plans d'attaques avec les sbires, je prends Willy à part.
- J'ai un problème...
- Je t'écoute.
- Il m'arrive des choses étranges en ce moment...
- Comment ça ?
- Quand je suis avec Ophélie je dis des choses incohérentes, j'ai mal au ventre, j'ai chaud et je ne peux pas m'empêchée de la fixé ou de pensé à elle...

PDV Willy
Je n'en reviens ! Le grand Oscar Stettner, mon meilleur ami depuis toujours est en train de tombé amoureux si il ne l'est pas encore...
Je ne peux pas le laissé partir sur cette lancé pour trois raisons : l'Amour ça fait mal, ce serait mauvais pour sa réputation donc celle de notre dictature et enfin parce que ça me dérange, je ne serais pas dire pourquoi. Le mensonge reste la meilleur option que j'ai.
- Désolé, je ne vois pas ce que tu as... Au faite, devine ce que j'ai vu y'a pas longtemps. Je ne voulais pas t'en parler mais...
- Et bien vas y, dit ! S'impatiente t-il.
- J'ai vu Ophélie et Robert s'embrasser en se tenant par la main.
Oscar pâlit et se lève sans ménage.
- Suis moi ! Ordonne t-il sans sympathie.
On rentre dans le Lion d'Or, il a l'air hors de lui. Tous les enfants se réunisse autour de lui, tremblant.
- On m'a rapporté des faits inadmissibles ! S'écrit le chef. Robert Lapointe, tu vas payé de tes crimes !
- Qu...quoi ? Bafouille ce dernier.
- Tous sur lui !
Sans délicatesse, il le rue de coup encore et encore. Bien entendue, je suis de la parti ! Je ne l'ai jamais aimé celui-là, il a une tête de fouine.

PDV Oscar
Qu'est ce que Robert à de plus que moi ? C'est un sombre cretin qui physiquement, à tout à envier ! Pendant que ce traitre ce fait tabasser, je m'approche victorieusement de Ophélie, lui imposant toute ma hauteur.
- Alors ?
- Non mais ça va pas ! Laisse le tranquille !
- Oh, mademoiselle est fâché ? Quel tristesse...
- Pourquoi tu fais ça !?
- Pour des raisons qui ne te regarde pas !
Ses yeux se mettent à brillé et un poids tombe sur mon estomac.
- Arrête ça tout de suite Sttener, il n'a rien fait !
- Désolé que le châtiment de ton petit copain ne te corresponde pas !
- Mais... de quoi tu parle ? Bredouille t'elle l'air sincère.
Elle me ment en plus !? Je plaque mes deux mains de chaque côté de sa tête et elle se retrouve bloquer entre moi et le mur.

Timpelbach: Le triangle des amoursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant