Timpelbach: Le triangle des amours

Abandon des enfants #1

PDV Mr Wank
Je cherche désespérément Thomas pour lui demandé des explications. J'ai bien remarqué que depuis déjà un an, ils ont l'air en perpétuelle conflit, mais il doit bien savoir quelques chose. Introuvable. Il est introuvable. Je descends à la cuisine. Barnabé dessine pendant que Babeth prépare à mangée. J'embrasse tendrement mon fils et pose mes mains sur la taille de ma femme.
- Babeth ?
- Mmm ?
- T'aurais pas vu Thomas ?
- Il est dans sa chambre mon chéri.
- Non, il n'y est plus.
- Quoi !?
Nous coupant dans notre discussion, Barnabé tire sur les pans de mon t-shirt.
- Oui ?
« Je crois qu'il c'est sauvé. Il me semble qu'il a une réunion avec Oscar ce soir »
Je soupire. Thomas. Qu'est ce qu'il lui arrive ? J'ai tellement peur de le perdre, il est comme mon fils.

PDV Thomas
Je suis à l'arrière de l'estrade. Oscar est devant avec Willy et Jean. Il plante avec force son couteau dans la table et commence son discoure. C'est Willy qui les lui écrit, mais ça, seul ses intimes le savent. Gros Paul tente de partir mais Jean l'en dissuade.
- Ta entendu ce qu'a dit Oscar gros porc !?
- On c'est quoi faire des lâcheurs, rajoute Willy.
À la fin, quelqu'un préviens anonymement de l'arrivé des parents et les enfants se mettent à paniqué. Seul moi, Oscar et Willy restent.
- Ça tient toujours pour ce soir ? Je demande.
- Ouais.
- Au faite Oscar, t'as pas vu ma sœur ?
- Pourquoi je l'aurais vu moi !
- Parce que comme t'as dit, où que tu sois, elle est là pour te faire la misère.
- Elle m'aime pas, hein, ricane t-il.
- Non parce que je traîne avec toi.
- Faut lui réglé son compte, annonce son bras droit.
- Je sais, marmonne mon ami.
- On a dit qu'on touchait pas aux sœurs. On frappe pas Mireille mais on touche pas non plus à Ophélie.
- Oh là, Thomas se met à protégé sa petit sœur, si c'est pas mignon.
Je lance un regard assassin à ce serpent de Willy.
- Il a raison.
Ah merci Oscar !
- Mais... continu ce dernier.
Oh oh...
- Faut que tu la matte. Elle pourrait compromettre nos plans.
- Et je fais quoi ? T'es marrants, ma sœur on la matte pas comme ça. Elle a un caractère pas possible quant elle si met.
- Faut que tu lui fasse du mal, sourit sadiquement Willy.
- Je toucherais pas à un seul de ses cheveux, grognais-Je.
Il me toise avec amusement, une moue mauvaise.
- Pas comme ça mais sentimentalement, il faut que tu détruise tout sentiment de révolte en elle.

PDV Oscar
L'idée de Willy ne me plait guère, mais il a toujours raison. Non pas que ça me dérange, mais elle aurait put nous être utile en tant de Pirate. Et puis, elle aurait put nous ramener des partisans.  Il y a aussi sans cesse cette image d'elle en train de pleurée qui me revient, elle était si vulnérable... « Reprend toi ! »
Je sens un regard m'enflammé. Je relève la tête et vois Thomas me dévisagé « Est ce qu'il se doute que je lui ai mentis ? »
- Qu'est ta !? Hurlais-Je sous l'étonnement de mes amis.
- Euh... non, non rien. Mais ta vraiment une sale gueule Oscar, ça va ?
Brusquement, je me lève et pars à grand pas. Au fond de moi, je rage pour une raison qui m'échappe. Au bout d'un moment, je passe devant la maison des Wank et m'arrête. La lune éclairait le ciel. Je suis un peu calmé, mais pas encore assez. Je frappe ou plutôt, je m'acharne contre un mur. Mes jointures saignent et j'ai mal, mais ça m'a soulagé de me défoulé.

PDV Ophélie
Quand je me réveil, il fait encore nuit. Je jette un coup d'œil fatigué à mon réveil qui m'indique minuit passé. J'allais me rendormir quand j'entends des bruits a l'extérieur. Je me précipite vers ma fenêtre et l'ouvre sans un bruit. En bas, quelqu'un s'attaque à un mur. « Ce type est saoul ou quoi ? » En y regardant de plus près, je réalise que c'est Oscar. « Mais il va se faire mal ! » « Allez ressaisis toi Ophélie, tant mieux, vu ce qu'il te fait subir » je fais un débat intérieur. A bien y réfléchir, à part par fois se moqué, il ne m'a jamais rien fait. Il se contente de me tenir tête comme moi je fais avec lui... Je constate un sourire au lèvre que la lune est superbe ce soir, elle est pleine et étincelant. Aucun nuage a l'horizon. Je repose mon attention sur Oscar et m'aperçois en qu'il me fixe. Mince ! Si ça se trouve, il m'a vue l'observée ! Il me voit pleurée, ensuite, il m'aperçois « l'espionnée » de mieux en mieux ! Malgré la pénombre, je distingue ses yeux. Je referme ma fenêtre et tente de calmée mes rougeurs. Je suis morte de honte !

PDV Oscar
Après avoir enfin réussi à ma calmée, je me met à contemplé le ciel. Attirant mon regard, une lumière qui n'était allumée aux part avant se fait connaître et passe par la fenêtre du haut au côté droit. Ophélie, tout comme moi, observe le ciel. « Qu'est ce qu'elle fait là, elle n'était pas là avant ». Nos yeux se croisent pour la deuxième fois aujourd'hui « C'est quoi cette manie ? ». On en bouge pas et ne prenons pas la parole non plus. Je faillis lui offrir un sourire en coin moqueur dont j'ai le secret mais me ravise en voyant qu'elle referme sa fenêtre.

Éclipse le lendemain matin

PDV Ophélie
Je me réveil en sursaut, une sueur froide dégoulinant le long de ma colonne vertébrale. Je respire un bon coup pour apaisée mes craintes. J'ai encore fait ce cauchemar...
Je descends prendre mon petit déjeuné. Dix minutes après, Barnabé descend et je le regarde déjeuné. Ça m'étonne que ma tante ne soit pas levé de si bonne heure, mais elle a sûrement dut se rendre au marché. On se prépare. Je veux me laver et me brosser les dents, mais il n'y a plus d'eau. Je dois me résigné et me contente de me coiffer et de m'habiller. J'opte pour un short noir en tissu, une chemise blanche ample sans manche et j'ai toujours sur moi mon collier et mon bracelet en argent ornée d'une pierre de Jade en forme de cœur offert par mes parents. Je rajoute une montre noir et je suis prête !

- Barnabé, tu es prêt ? Demandais-Je.