Je te parle

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« Pourquoi mes pensées reviennent elles sans cesse vers cette fille ? »
Agacée mais surtout fatigué, je décide d'aller marcher un peu. Le froid nocturne me frigorie les os mais je n'y prête pas attention. Mes pieds me guident sans que je ne fasse attention à l'endroit d'où je me rends.

PDV Ophélie
Je contemple longuement le ciel avant de partir. Je sais que faire un tour au beau milieu de la nuit alors que nous sommes en froid avec les Écorchés est dangereux, mais bon ! Face à la menace on ne doit pas cessé de vivre ! J'avance et mes jambes m'oriente vers chez moi. Du bout des doigts, je frôle ma porte d'entré. Tout à coup, un bruit attire mon attention et je fais volte face en sursaut. Une silhouette est face à moi et m'observe. Ses yeux brillent dans la nuit.
- Oscar ?

PDV Oscar
Je ne sais pas pourquoi, j'ai été devant la maison des Wank. Devant l'entré, une forme se dessine. Une forme avec de long cheveux dorée. En l'approchant, je marche sur un bout de verre, provoquant un bruit désagréable et dérangeant durant cette nuit de silence. Vivement, elle se retourne. Intriguée, elle me dévisage et dit après un instant.
-Oscar ?
Soudain, des picotements se manifeste dans mon estomac. Elle est franchement inconsciente de se promenée seule en temps de guerre ?
- Ophélie, qu'est ce que tu fais là ?
- Je pourrais te retournée la question, réplique t'elle les lèvres pincées.
Ophélie pose sa main sur sa hanche et je m'approche. Brusquement, elle enlève son masque et s'asseoit pensivement sur les marches en s'appuyant contre la rambarde. Silencieusement, je m'installe à ses côtés et fixe l'horizon avant de reporté mon attention sur elle. Ophélie fait de même.
- Ne croit tu pas que tout cela ne va mener à rien de bon ? Questionne t-elle.
Que répondre ? De toute manière, toute a été beaucoup trop loin pour reculé. Une fois que j'aurais récupéré le village, tout ira mieux, j'en suis sûr. Comme réponse, je hausse les épaules avec désinvolture.
- Aujourd'hui nous nous disputons entre nous et demain quoi ? Nous nous ferons la guerre ?
Un poids tombé sur mon ventre et une boule se forme dans ma gorge, si seulement elle savait ! Je ne peux pas lui dire, sinon, elle ne nous laissera jamais l'aider et la mettre en sécurité !

PDV Ophélie
Oscar reste étrangement muet face à ma remarque et cela ne fait qu'accentuer mon inquiétude vis-à-vis des événements à venir. Peut être une guerre est elle prévu ?
- Mes parents me manque...
Je plaque mes mains sur mes lèvres, mais c'est trop tard, les mots sont sortis. Je ne sais pas ce qui m'a amené à me confier à lui, mais je l'ai fais.
Le poids de son regard insistant pèse sur moi et je me décide enfin à croisée ses yeux.
- Ma mère aussi... avoue t-il.
Je soupire. Un enfant ne devrait jamais perdre un de ses parents de si jeune âge, jamais.
- Ça prouve que l'on est humain, non ? Je conclue déterminé.
- Sûrement.
Le ton qu'il vient d'employer est froid, presque cassant, comme-ci se que je venais de dire lui évoquait un mauvais souvenir. Même si Oscar est à changer, il reste en parti le même. On va dire qu'il est fidèle à lui même ! Le vent se lève en force, plus givrant qu'au part avant. A cette instant, je regrette de n'avoir qu'une simple tenu qui est tout sauf chaude constitué d'un maillot simple bordeaux, une large ceinture noir, une jupe blanche et une paire de collant, le tout accorder avec une paire de botte en dain.

 A cette instant, je regrette de n'avoir qu'une simple tenu qui est tout sauf chaude constitué d'un maillot simple bordeaux, une large ceinture noir, une jupe blanche et une paire de collant, le tout accorder avec une paire de botte en dain

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PDV OscarAu bout de plusieurs minutes sans qu'aucun de nous ne parle, Ophélie ne cesse de tremblée plus violemment à chaque fois

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PDV Oscar
Au bout de plusieurs minutes sans qu'aucun de nous ne parle, Ophélie ne cesse de tremblée plus violemment à chaque fois. Ses dents se sont mises à claqué et le son s'en échappant paraît envelopper l'air. Sans vraiment le réalisé, j'enlève ma veste, hésite un court instant puis la lui tend ou tournant la tête pour éviter son regard. Les secondes s'éternisent mais elle la saisis enfin.
- Merci, souffle t'elle l'air honteuses.
« Bah quoi ? Il n'y a pas de quoi avoir honte d'accepter de l'aide, si ? ». Je la regarde. Elle a mit ma veste sur ses épaules sans enfiler les manches. Elle les sert contre elle et se pelote dedans comme-ci sa vie en dépendait.
- Ça va, t'as plus trop froid ?
Je lui demande sur le ton de la plaisanterie même si sa réponse m'intéresse vraiment. Elle fait mine de réfléchir et m'offre un sourire narquois.
- Hum... on va dire que oui...
Le fait qu'elle me dévoile de réel sentiment sans porter de masque me rend inexplicablement satisfait et content.
- T'as déjà pensée à arrêter Oscar ? Je veux dire, maintenant que tu n'as plus à mené t'as « Rébellion » contre les parents, te reposé avec les autres enfants pour que l'on vive tous une vie paisible ?
Je me renfrogne, enfonçant ma tête entre mes épaules. J'ai hérité du trait de caractère dominant de mon père, ce qui m'empêche parfois de vivre en communauté et en harmonie avec les autres. Je suis parfois impulsif et suit contre toute forme d'autorité quelques quelle soit. J'apprécie de commander parce que d'âpres Willy, j'ai la carrure pour ça, pour être Chef. Tout à coup, elle se remet sur ses deux pieds et je fais de même. Elle avance d'un pas et prit de panique, je lui saisis de poignée.

PDV Ophélie
Je me retourne et regarde alternativement les yeux d'Oscar et sa main tenant mon poignée, mais il ne semble pas s'en préoccupé.
- Où est ce que tu vas ?
Sa voix maîtriser mais j'ai l'impression que ses yeux exprimants de... de l'inquiétude ? Je dois rêvée !
- Je dois rentrée, il se fait tard. Les autres vont remarqué que je ne suis plus là.
- Tu ne les avaient même pas prévenu ? S'emporte t'il soudain. Et si tu t'était fait enlevé, tu aurais fait comment ?!
Le ton qu'il emploie m'irrite derechef.
- Je me serais débrouillée !
Brusquement, je dégage mon poignée et emprunte le chemin inverse. Je perçois des bruits de pas derrière moi. Je ne prends pas la peine de me retournée.
- Je peux me débrouillée point rentrée seule, je suis une grande fille !
Les bruits de pas s'estompe peu à peu jusqu'à disparaître totalement. Lorsque j'arrive devant chez moi, Thomas en est à son tour de garde. Il m'aperçoit et se précipite vers moi.
- Qu'est ce que tu fais là ?
- Je suis sortie faire un tour.
- Toute seule ?! S'écrit il.
Je suis épuisée, je n'ai pas envie de me battre.
- Oui.
- Mais tu es inconsciente !
- Non, juste libre.
Je comprends sa peur, mais on ne va pas cessé de vivre à cause d'une querelle de gamin. Son expression change et il arque un sourcil.
- C'est quoi ça ?
Je reporte mon attention sur ce qu'il désigne. Mince ! J'ai oubliée de rendre sa veste à Oscar !
- Euh... je...
- C'est à Oscar, je la reconnais !
- Chut ! Baisse d'un ton, on va t'entendre !
- Tu peux m'expliquer ? Demande t'il d'un ton radoucit pour éviter que je ne me brusque.
- Demain, d'accord ? Je suis fatiguée.
Par chance, il aura oubliée. Je monte me couchée en prenant Barnabé dans mes bras dans lesquelles il se love.

Timpelbach: Le triangle des amoursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant