Reunion de guerre

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« Ce manque de liberté m'agace »
Alors que je tente de me calmée, j'aperçois Marianne partir en courant. Mon regard observe la scène de manière circulaire. Les deux gardes sont scotchés au mur avec des affiches de propagande pour passé dans le camps des « Timpelbachiens ». À ce moment précis, Oscar sort d'un pas rageur suivit des ses trois fidèles acolytes dont un qui n'est autres que mon frère. Jean tient une grosse pierre à la main. « Où la t-il trouvé ? ». Robert sort à son tour et entame la lecture du document. Oscar lui arrache le papier des mains et lui hurle d'arrêté, en proie à une rage folle.
- Et vous, vous n'avez rien vu. Comme d'habitude !
Philibert répond.
- Si Chef, je crois qu'ils sont partis par là.
Il pointe la ruelle de droite. Stettner pointe la ruelle opposée.
- Et par là aussi !
- Ah oui oui, je crois qu'ils sont allez par là.
Son chef le gratifie d'un claque sur l'arrière du crâne.
- Tu vois Oscar, ils commencent à s'organisés. A chaque minute qui passe, on perd un peu plus le village. Rassemble tout le monde dans une heure, on va faire un conseil de guerre.
Un conseil de guerre !? Ils savent que nous ne sommes pas en guerre au moins ? Je rentre en bousculant mon frère à l'épaule.
- C'est ça que tu voulais ? Le questionnais acide ment.
L'intérieur du Lion d'Or est chaud et m'enveloppe. La seule de « positive » depuis mon enlèvement, c'est que je peux me baladée un peu plus librement. Une porte que je n'avais pas remarquée au part avant attire mon attention. Alors que je m'en approche, une voix que je déteste me stop.
- Ne va pas par là !
- Pourquoi ? Il y a quoi derrière ?
- Des choses qui ne te concernent pas.
- Tu ne me gardera pas longtemps Stettner. Je le retrouverais et ce jour là, tu ne me retrouvera pas.

PDV Oscar
Ça dernière phrase me procure un drôle de sentiment. Cette sensation me rappel le jour ou ma mère est... ou elle est morte... Quand je l'ai perdue et que je n'ai rien put faire.
Instinctivement, j'attrape fermement la main d'Ophélie et la tire de force en haut. Je la pousse sans tendresse dans sa chambre et lui lance d'une voix dure.
- Tu n'ira nul part, Thomas veut que tu reste alors tu restera ! Tu pourra redescendre pour la réunion.
Je commence à douté que je fasse ça pour mon ami...« Ressaisis toi Oscar ! Tu n'as aucune autres raison de la gardé sinon»

PDV Ophélie
Je fais les cents pas dans la chambre. Je ne fais que soupirée et tapée avec agacement du pied. J'allume la lumière qui ne m'offre qu'une luminosité tamisée. J'ouvre à la volé les tiroirs des tables de nuit. J'y trouve un vieux livres à la reliure usée intitulé « Les Hauts Hurlent Vents » et un petit carnet vierge fermée d'un petit élastique ou y est accroché un stylo. « Ça pourrait toujours me passer le temps ». Je pose le livre, je le lirais plus tard. Vivement, j'attrape un stylo et commence à écrire:
« - Aujourd'hui, les Timpelbachiens on commencée pour affaiblir la bande d'Oscar et nous délivré moi et Barnabé. Ce n'est pas trop tôt ! Au tout début, avant que les parents ne partent, je voulais aidé mon frère. Maintenant, j'ai changé d'avis. Il est trop tard pour lui, il est devenu aussi stupide que c'est ami ! Je crois savoir ou ce cache mon cousin, j'ai découvert une porte que je n'avais pas vu aux part avant. Oscar c'est énervé à cause de ma découverte. Je suis sur la bonne voie. Personnellement, je ne le comprends vraiment pas. Avant que je ne le côtoie, je le trouvais détestable, mais maintenant que je le connais un peu, il n'est méchant que les 3/4 du temps. Il m'a aidé, à quelques reprises. Je me suis sentie à la fois reconnaissante et honteuse que la personne que je hais le voie dans cette état. »
Je referme vivement le petit carnet et entame une lecture passionné du livre.

PDV Oscar
La réunion va bientôt commencer. J'ai vue retenu par choeur le discoure que la composé mon meilleur ami. Je vais la chercher tout de suite ou pas ? Quelle question, intérieurement, je connais déjà la réponse. Alors que je m'apprêtais à monté, Willy m'interpelle.
- Prépare toi, je vais allez chercher Ophélie.
- Non, j'y vais. Ne t'inquiète pas.
- Il faut que tu révise une dernière fois ton texte.
Pourquoi est ce qu'il insiste autant ? Ce n'est pas dans ses habitudes. Tout à l'heure, il veut dansé avec elle, maintenant allez la chercher...

PDV Willy
Oscar fronce les sourcils mais se résigne. Tandis qu'il se rend dans les coulisses, je monte les marches deux à deux. Quand j'ouvre la porte, la sœur de Thomas ne m'à pas vue. Elle est plongée dans un livre. Je plisse les yeux pour y lire « Les Hauts des Hurlent vents ». Qu'est ce que mon livre fait là ? Ce que jamais je n'admettrais devant la bande, c'est que la musique et la lecture sont mes deux passions, misent à part embêté les plus petits. Je me racle la gorge et elle relève vivement la tête. C'est cheveux pourtant lisse les jours précédent forment de parfaite anglaise dans le bas. Ses yeux chocolat étincelle sous cette lumière. Un charmant sourire ornait ses lèvres lorsqu'elle lisait. Bien sure,en me voyant, sa joie c'était envolée. Pourquoi je la détaille moi !?
- Je n'ai pas envie d'entendre cette abruti d'Oscar baratiné tout les enfants de la pièce.
- Tu n'as pas le choix.
- À ce que je sache, je suis libre. Contrairement à toi, je ne suis pas un gentil petit toutou qui reste dans l'ombre d'un autre.
Je serre les mâchoires, elle a marqué un point. Mais ce qu'elle ne sait pas, c'est que de tous, je suis le plus intelligent. C'est moi qui les dirigent, au moins, si ça dégénère, je ne risque rien.
- Rappel moi qui deux nous deux est enfermé ? Ricanais-Je.
- Tu te crois malin Willy Hak ? Mais de nous deux, que tu le veuille ou non, je suis là plus intelligente.
- Au premier coup d'œil, ce n'est pas flagrant...
- Justement. Qui se méfierais de moi ? Pauvre fille qui n'a même pas sut échapper à la bande d'Oscar ? Avec ses aires fragiles ? Mais j'ai battue Erna et qui s'en serait doutée ?
Ophélie me met le doute, mais peut être est-ce dont but, non ? Elle se relève et époussette sa robe.
- Il faudra que je récupère des affaires chez moi.
Sans plusse de mots, elle me dépasse en me lançant un regard en biais. Cette fille me fait tourner la tête, elle est vraiment une énigme pour moi. Elle est tellement imprévisible parfois...
Je la suis. Elle s'assoie sur une chaise. Thomas vient à côté d'elle et elle se décale. Je vois que ça le blesse. Pff, il ne sait même pas caché ses sentiments. Oscar prends la parole, assis majestueusement dans un grand fauteuil au allure royale que je lui ai dégoté chez le maire.
- Alors, il parait qu'il y en a qui regrette les parents ?
- Non ! Hurlent les autres en chœur.
- Oui ! S'exclame Ophélie.
Oscar m'interroge du regard, paniqué. Il ne c'était pas préparé à cette éventualité. Je lui fais signe de continuer.
- Les punitions ?
- Non !
- L'école ?
- Non !
- Alors peut être Corbac ?
- Ouhhhh !
Tout ce déroule comme prévu.
- Les amis, nos jours de liberté sont comptés.
Un silence lourd et inquiet tombe sur le public.
- Il va falloir se battre !

Timpelbach: Le triangle des amoursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant