L'Amour à grande vitesse :Is it love ? Daryl

chapitre 6 Partie 2

Monpère sort de la maison la main appuyé sur l'emplacement de sablessure. Je détourne les yeux pour empêcher un sentiment deculpabilité de naitre en moi . Ryan s'excuse au près de Daryl, luifais une tape sur l'épaule avant de partir à son tour suivis deMatt et Lisa qui me regarde les yeux pleins de tristesse. Je medirige vers la salle à manger et débarrasse la table en silence ,Daryl se place derrière moi et m'enlace sans dire un mots faisantdes petits mouvement de droite à gauche comme pour me bercer.

-Célia :il n'avais pas le droit de me faire ça...

-Daryl :je suis désolé...

-Célia :ce n'est pas de ta faute. Tout ce qu'il avait à faire c'étaitd'être heureux pour moi ou au moins faire semblant.

-Daryl :tu devrais manger un peux.

-Célia :désolé, cette journée devait être le début de notre vie ensembleet j'ai tout gâcher en voulant vous faire rencontrer aussi vite.

-Daryl :ne t'inquiète pas, je montrerai à ton père à quel point je tien àtoi et que je pourrai te rendre heureuse.

Célia ( se retourne et sert Daryl de toute ses forces) : je t'aime.

Daryl : ouch... quelle force ! Je t'aime aussi . Ça te dis de faire un petit dîner romantique ? On a déjà le repas, autan ne pas le gâcher, je dois avoir des bougie dans un des tiroirs du salon et une bouteille de champagne au frai.

Célia : haha, tu sais comment parler au femme toi !

Daryl : enfin un sourire. S'il ne faut que ça pour te voir sourire, je suis prêt à faire des dîners romantiques tous les soirs.

Célia : playboy !

Daryl : gourmande !

Célia : hé !

Daryls'occupe de redécorer la table pendant que je réchauffe lanourriture. J'emmène les deux plats à table et nous nousinstallons l'un en face de l'autre. Daryl essaye de me changer lesidées en faisant des blagues, il m'arrache un léger sourire maisdès le dessert il change de registre passant des blagues auxallusions... très ,mais très alléchantes. Après le dessert ilprend du bout de son indexe un peu de chantilly et la dépose sur lebout de mon nez, je le regarde d'un air réprobateur , Daryl se lèvedoucement de sa chaise sans me quitter des yeux, se baisse vers moiet lèche la crème qu'il vient de déposer. Je le regarde fixementsans prononcer un mot, il sourit puis recommence. Il prend de lachantilly et la place dans mon cou puis la lèche, enfin au centre dema poitrine où il passe lentement sa langue de bas en haut mefaisant frissonner en même temps qu'un plaisir incroyable meparcours.

-Daryl :j'ai faim de toi. Et toi ?

-Célia :moi aussi... j'ai faim de toi .

Darylse lève prend ma main et me tire pour me guider vers sa chambre .J'attrape la bombe de chantilly au passage, le lendemain , elle estvide. Je me rend au travail comme d'habitude et Matt me lance unpetit regard de chien battu.

-Matt :ça va princesse ?

-Célia :oui , ça va.

-Matt :t'as des nouvelles ?

-Célia :... Ryan , c'est arrangé , il m'a envoyer un message et il a parléun peu avec Daryl.

-Matt :et ton père ?

-Célia :c'est compliqué. Je ne suis pas encore prête . Il y trop de choseque j'ai garder pour moi, trop de choses que je ne peux pas luipardonner.

-Matt :je suis sûr que Daryl est du même avis que moi, mais Célia, nousne vouons pas que tu t'éloigne de ta famille à cause de nous.

-Célia :Matt... je ne sais pas pour vous, mais pour moi , toi, Daryl et mêmeLisa, vous êtes déjà ma famille. Et puis, si ce n'étais pas pource qu'il vous a dit , un jour ou l'autre j'aurais eu ce genre dedispute avec père. J'ai tellement enfouis , mes peurs, mes envies,mes reproches, que je suis arrivée à saturation. Ni Daryl, ni toiêtes fautifs. Je l'ai déjà dis à ton frère.

-Matt :princesse, bien sûr que tu fais partie de ma famille. Tu es ma bellesœur.

-Célia( rougie) : belle sœur... haha !

Deuxsemaines passent et je ne veux toujours pas répondre aux appels demon père . Un soir je regarde une comédie romantique dans les brasde Daryl. Mon téléphone sonne, c'est ma mère. Daryl baisse le sonde la télé et je décroche .

-Célia :maman ?

-maman :bonsoir, tu vas bien ?

-Célia :oui et toi ?

-maman :oui, tous le monde vas bien. On vas venir en ville dans deux semaines.

-Célia :tous le monde ?

-maman :non ton père , les ton petit frère, ta petite sœur et moi . Et tumanque vraiment aux petits donc je me demandais si ce serais possiblede te voir le weekend où on vient.

-Célia( regarde Daryl qui entend toute la conversation) : hum... etbien...

-maman :je sais que tu habite avec ton petit ami maintenant, même si c'estjuste pour boire un café dehors , ça nous va.

Darylme fais signe de lui passer le téléphone.

-Daryl :madame ? C'est Daryl qui vous parle, le petit ami de Célia.

-maman :oh, enchanté ! Tu peux m'appeler Bérédite.

-Daryl :d'accord Bérédite. J'ai entendu votre conversation avec Célia.

-Bérédite :ah, oui...

-Daryl :je ne me suis pas concerté avec Célia, mais je pense qu'elle serad'accord avec moi.

-Célia :.... ?

-Daryl :nous avons des chambres libre à la maison. Si vous le souhaitez vouspouvez passez le week-end chez nous.

-Bérédite (étonnée) : vraiment ? Je ne voudrais pas déranger. Et nousavons des enfants avec nous ils vont vous ennuyer.

-Daryl :vous êtes la famille de la femme que j'aime et elle habite avec moidonc cette maison est la sienne aussi. Je ne vois aucun problème.

-Bérédite :et Célia, qu'est ce qu'elle en pense ?

-Célia (prend le téléphone): puisque Daryl le propose, si vous le voulez,ça ne me dérange pas.

Jepeux entendre ma mère toute excitée crier au téléphone.

-Bérédite :les enfants, chéri ! On passera le weekend chez Célia et soncopain !

-lesenfant : ouais !!!! on va voir grande sœur !!!ouais !!!!

Darylrigole chaleureusement à mes cotés.

-Bérédite :merci beaucoup Daryl, à très bientôt.

-Daryl :à bientôt belle maman !

-Célia(donne un léger coup de coude dans les cotes de Daryl) : toi...

-Bérédite :j'ai hâte de te voir mon gendre ! Hahaha !

Nousprofitons des deux semaines pour préparer l'arrivée de ma famille.Le vendredi soir arrive vite, je viens de terminer le diner et onsonne au portail. Je vois ma mère à l'interphone .

-Bérédite :euh... excusez moi. Est ce que nous sommes bien chez monsieur DarylOrtega ?

-Bertran( beau père) : je pense que le taxi s'est trompé. T'as vu lamaison ?

-Célia :c'est bien là maman, je vous ouvre.

 Mafamille entre dans la maison les yeux grands ouvert.