Il lui suffit d’un regard, à cet instant cette femme qui se pavanait devant les prisonnier cru défaillir sur place, ce portrait ce visage qui la hantait tant, cette rivale qui allait tout changé, la maîtresse du dit “seigneur de la guerre “ reconnu Zahira l’épouse de l’homme avec lequel elle partageait toutes ses nuits. Elle avait prier pour que celle ci soit morte, elle voulait prendre cette place, malgré les années et mois qui s’étaient écoulés elle savait que Zaïr pensait à cette femme noire.
Pourtant elle était mieux faite que cette servante, elle était pâle, les cheveux raide d’un noir corbeau, les yeux grand et de couleur marron clair, la bouche pulpeuse, et mince tandis que sa rivale était ronde, la peau très foncé , les cheveux crépus, et elle n’avait pas de taille par rapport à elle mais pourtant chaque nuit elle le voyait tenir ce portrait dessiné par un artiste rebelle du groupe, chaque nuit il caressait ce visage et semblait faire un voeux. Elle avait certe son corps mais son coeur jamais elle ne pourrait l’atteindre à moins de faire à jamais disparaître sa rivale, Zahira devait mourir.
-Youssef, je m’occupe d’interroger cette prisonnière tu peux t’en aller!
- Mais Latifa?
Cette femme lança un regard rempli de colère à l’homme qui surveillait Zahira puis sortit une réplique qui cloua la pauvre mère de Zakhir sur place.
-N’oublie pas à qui tu t’adresse! si le Seigneur de la guerre sait comment tu as traité sa femme, je ne donne pas cher de ta peau.
Zahira regarda cette femme avec stupéfaction, elle avait sentit son coeur se briser encore plus qu’il ne l’était. Savoir et voir était une chose très différente, ce sentiment amer de trahison commençait peu à peu à se propager dans tout son corps.
La douce sawanaise tenait fermement son fils près d’elle, cette Latifa ne lui disait rien qui vaille et elle avait raison car pour obtenir ce qu’elle souhaitait la maîtresse du chef des rebelles était prête à tout.
La mère de Zakhir regrettait de ne pas s’être échappé et pourtant la route était libre, elle aurait pu trouver un subterfuge,elle avait eu mal au ventre comme un mauvais pressentiment et pourtant la jeune femme se répétait inlassablement que son fils allait cette fois ci goutter à la liberté. Libre de vivre sans porter de burqa, libre de jouer, libre de l’appeler maman.
Zahira se souvenait de cette matinée,le soleil tapait de plus en plus sur son corps endoloris, son fils marchait trop lentement, la charrette dans laquelle se trouvait la famille du cheikh de Jannah avançait au même rythme qu’eux, les autres otages étaient calme. Encadrés par les rebelles ayant menés bataille ç Jannah, la pauvre sawanaise marchait docilement sans se rendre compte de rien.
Puis, il y eu une voix stridente qui leur signifia de ne pas bouger, la mère de Zakhir avait suivit les ordres, même si elle ne trouvait pas judicieux de s’aÝreter devant une grande porte en bois . On ne distinguait qu’un mur en pierre qui faisait barrage sur cette route, Zahira n’écouta pas puis entendis juste le mot”avancer “.
Les otages avaient franchit cette barrière protégeant les opposants du roi.
Par la suite, lorsque les portent furent fermés au monde extérieur, lorsque ces otages furent pris au piège, des hommes sortirent hors des bâtisses. Il y en avait plusieurs,celles ci étaient délabrés mais tenaient quand même le cou.
Les rebelles avaient entendu le signal des hommes tenants les portes de leur forteresses, ils étaient donc sorties de leur logis, afin d’avoir plus d’information.
Le dirigeant des rebelles ne se trouvait pas dans cette forteresse lorsque les prisonniers étaient enfin arrivés.
-Hommes et femmes bienvenus dans la forteresse du seigneur de la guerre!Hommes, femmes et enfants vous allez à présent être séparés, vous serez les prisonniers du cousin du roi Moulay et par la suite, lorsque le véritable roi Jafaar MOULAY remontera sur le trône, vous serez jugé.
Tous les hommes avaient été regroupé ensemble, ils se trouvaient à gauche encerclé par quatre hommes armés et les femmes et enfants étaient à droite.
Les hommes les surveillaient tous, ils les comptaient afin d’avoir le nombre exacte de prisonnier et de bouche supplémentaire à nourrire.
C’est à cet instant que Latifa avait décidé de sortir, elle voulait montrer comme à son habitude qu’elle était supérieur, regarder ces prisonniers qui allaient selon elle passer un sale quart d’heure, mais son regard fut saisi par cette femme qui à jamais détenait le coeur de l’homme qu’elle aimait au plus profond de son âme.
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👑Le Seigneur de la Guerre Et Elle 👑Tome 1 Et 2(Terminée)
Фентезі🚨Histoire fictive :les personnages ,coutumes relèvent de mon imagination 🚨 Zaïr est de sang royal , cousin du roi de tout le magreb Moulay Jafaar, il est sont plus fort allié , son bras droit . Lorsque le roi de France Louis XIV s'allie avec...