👑Le Seigneur de la Guerre Et Elle 👑Tome 1 Et 2(Terminée)

Chapitre 18

“Jusqu’à ce que la mort nous sépare.”

Zahira repensait à ses voeux de mariage, épouse du seigneur de la guerre, jamais elle ,’aurait pensé qu’un jour cette fatalité allait se peindre sur cette toile, celle qu’elle avait commencé à esquisser avec son époux.

Zaïr était bel et bien mort, le parfait inconnu qui se trouvait en face d’elle lui parlait du leader qu’à été son mari, de sa façon de faire mais aussi d’elle.

-Il nous parlait de vous, sa femme, celle qui a su conquérir son coeur. Un homme de notre troupe qui était douée dans le portrait à dû vous dessiner grâce aux indications qu’avait décrit votre époux . Des hommes avaient été chargé de vous récupérer,mais nous avons été trahi.Je me souviens du jjour ou nous avons découvert les corps des hommes qui devaient venir vous récupérer, le seigneur de la guerre nous à sommer d’être vigilant, nous étions en dehors de notre ancien refuge.

Chaque phrase que disait cet homme était comme un coup de poignard pour la belle sawanaise. Elle l’entendait et pourtant elle voyait trouble, cet homme lui avait présenté mille excuse, il parlait élogieusement de son époux  et de cette bataille qui lui avait été fatale mais pourtant la douce sawanaise ne voulait pas de ça.Son époux restait mort, il avait cessé de respirer tandis qu’elle vivait toujours. Dire qu’elle avait cru qu’il l’avait trahi et dire qu’elle l’avait maudit. La mère de Zakhir se mit à pleurer, ses larmes coulaient sur son visage lasse et tuméfié.

“Il m’a sauvé! votre mari à été plus qu’un modèle pour moi! par respect et pour lui rendre honneur j’ai donc abandonné mon nom pour le sien, je vais le venger et gagner cette guerre”.

Ces paroles passaient en boucle dans la tête de la douce sawanaise, cette femme voyait les lèvres de cet usurpateur parler de son époux mais elle n’en n’avais que faire, car au final son époux restait mort tandis que lui, cet homme, amant de cette Latifa parlait.

-Allez vous en!

Mon amour si je pouvais te tenir, tu me manques tellement. Ta douce voix, ton odeur, tes caresses, tout me manque. Tu m’as aimé d’un amour pur, je t’ai aimé dès le premier regard.Le regret est un sentiment qui m’envahit l’âme et me ronge, j’ai eu tort d’être partit en guerre et surtout sans toi. Tu es mon premier amour et tu resteras à jamais mon dernier.

L’usurpateur cessa son discours puis se retira du lieu, il allait laisser la femme de Zaïr encaisser la nouvelle puis il décida de se rendre à la cours car Latifa méritait une bonne leçon.

TIC TIC

La sueur de l’exécuteur rebel qui avait eu pour ordre de fiyetter Latifa tombait de plus en plus sur le sol. Les prisonniers et les rebelles étaient tous réunis aux premières loges de l’humiliation infligé à cette femme amante du chef rebel se croyant au dessus de tous. La jeune femme avait le dos nus, les mains jointes et liées par une corde, sa peau à nue commençait à saigner face à cette punition. Humiliée, la jeune femme se mit à pleurer à chaud de larme en regrettant de n’avoir pas pu tuer Zahira, elle avait échoué et payait ses fautes. Chaque coup de fouet, Latifa hurlait si fort que ses cordes vocales étaient montées dans les aiguës. A cinquantes coup de fouet, l’exécuteur cessa de torturer cette alliée qui avait par ailleurs perdu connaissance. Le faux seigneur de la guerre regardait Latifa avec dégoût, cette femme avait blessé Zahira et méritait cette sentence voir pire.

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