Partie 7 : ************************Bonne lecture**************************
Il est exact que tous mes instincts se hérissent devant les femmes qui se montrent trop sexy, trop attirante : de tels excès ne plaident jamais en faveur de l'homme qui en est objet. J'attendais ce moment depuis belle lurette, je pensais à ce moment dans mes rêves, mes fantasmes. J'entendais Une petite voix sarcastique qui prenait un malin plaisir à me voir perdre pied murmurait dans ma tête : « comment devais-je m'y prendre ? Que devais-je faire ? ». Un homme devrait oser tout ce qui sied à lui, qui n'ose point n'en est plus un. Il ne faudrait pas que je rate cette occasion, car elle n'est pas de coutume. J'avais bien conscience que je perdais mon sang froid. J'avais du mal à me contrôler, chose qui ne faisait pas partie intégrante de mes habitudes. Me connaissant, j'étais plus quelqu'un de très calme, posé et gardant mon sang froid à n'importe qu'elle situation. Mais cette fois ci, s'en était de trop. Je perdais tous mes moyens, car tellement fasciné par celle qui était près de moi. Je la dévorais des yeux. On discutait, conversait sans propos déterminé, elle me racontait du tout, de sa vie, de ses aventures. Mais je ne prêtais pas trop attention à ce qu'elle disait, j'étais plutôt concentré sur ses lèvres, et pourtant je la fixé du regard, faisant l'intéressé, comme un journaliste suivant un discours du Président. Un peu de temps après, je pensais au menu, j'avais acheté que des sucreries, elle m'avait confié qu'elle aimait ça. Il y'avait des gâteaux, salades de fruits, biscuits, des fraises, et tablette de chocolat, ces deux derniers sont toujours utiles, je suis sûr que vous en savez plus que moi, Je me trompe ? Certainement pas hihi. Il y'avait aussi à boire, vin et même la boisson de l'extase. Elle était catholique, et je n'étais pas fervent musulman. Y'avait tout ce qu'il fallait pour rendre cet après-midi inoubliable. Le gâteau, semblable à celui que j'avais acheté pour notre anniversaire de rencontre avec Aicha, cette fois-ci était juste pour célébrer notre rencontre. Car c'était le genre de rencontre qui pourrait allumer une bougie au plus profond de mon être, le genre de rencontre qu'on se résoudrait jamais à l'oublier. Je m'approchai d'elle et je saisis son poignet pour couper le gâteau. Au contact physique de ses mains douces, son parfum qui s'était propagé dans toute la salle, je ne pouvais plus la résister, je perdais contenance, j'étais vaincu d'avance. Elle m'avait caressait ma main tremblante, qui m'avait trahit, en me disant d'une voix très douce « détends toi, je ne vais pas mordre toi aussi », je répondis d'un ton très rassurant « c'est juste l'effet du café », elle a souri, a coupé le gâteau, puis m'a servi sur un plat. « Ce gâteau m'a l'air délicieux » dit-elle en y trempant un doigt, et la suça renfermant légèrement ses yeux, préliba ainsi la première et la plus délicate partie du gâteau, puis le ressortit de sa bouche, sous mon regard impudique et affolé. Je mangeais avec tellement de maladresse qu'a un moment donné, elle m'a regardait, et a souri puis s'est approchait de moi, posa sa main juste au-dessus de ma barbe, et lécha tendrement la crème qui débordait prés de mes lèvres avec une pointe de malice sans mesure. Je me sentais de plus en plus mal à l'aise, prisonnier de sa langue humide qui était si prêt de mes lèvres sèches, prisonnier de son petit sourire de plaisir, de l'odeur de son parfum. J'étais pétrifié à chaque fois que je percevais son regard. . J'évitais de faire trop de mouvements de peur qu'elle n'en sente la gêne aux entournures. Elle avait sans doute lu, au profond de mes yeux, qu'elle avait gagné, définitivement gagné, que je n'avais plus le moindre choix. Elle était devenue maitre de mon corps, maitre de mon esprit, maitre de mon âme. Elle aurait tous les droits sur moi, et mon seul devoir c'était de me laisser faire, de me laisser dominer à ma folle passion. Puis elle me dit << tu m'avais pas promis un bon massage par hasard ?>> et je répondis d'un air innocent « si si, bien sûr », elle rit et se leva , me tend ensuite la main, je me leva à mon tour et la conduis à la chambre. Elle m'avait bien eu, je n'avais pas prévu ça, je ne savais pas comment je devais m'y prendre, Un massage ? Rolala comment faire ? J'étais un inscient en la matière. Dans la chambre, ou j'avais pris le soin, dans un petit frigo de mettre quelques fraises, barres de chocolat et de la glace au frais, était éclairé par une petite lampe de chevet à éclairage indirecte. Le drap était de couleur rouge, de même que le tapis. Les rideaux en tissus plus fins étaient aussi assortis avec le décor du lieu. Elle rentra dans les toilettes et en ressortit le dos nu, elle avait couvert ses seins avec une serviette qu'elle y avait trouvé et elle s'allongea à plat ventre, me donnant une aperçue directe sur ses fesses bien bombées, ses jambes fines. Comme tout amateur je posai mes mains directement sur son corps, sur son dos lisse, et je commençais à appuyer légèrement mes mains. Je fis des gestes de va et bien juste sur son dos et ses épaules, mais je n'eus pas le courage de descendre au niveau de ses fesses, même si j'en mourrais d'envie. Puis elle releva discrètement sa tête et me regardant d'un air ironique et me dit « tu masses avec tes pieds ou tes mains ?, tu n'es pas très doué toi, ahaha... » Je fis ma tête de petit chien battu, conscient que j'avais écorché l'anguille par la queue. Et elle se relava et me dis « mets-toi en petite short, je vais te montrer comment faire ». Excitée par cette pensée, mon imagination fertile se mit à fonctionner à toute allure, je filai dans la salle de bain et revins quelques minutes plus tard avec un short. Elle tenait une huile de massage dans ses mains, qu'elle l'avait sans doute soigneusement gardé dans son sac, et me demanda de m'allonger sur le ventre, Je m'exécutai illico. Elle enduisit ses mains d'huile et commença à masser légèrement mon dos et ma nuque. Je me détendis et m'abandonna à la sensation de ses mains qui se posaient juste là où j'en avais envie. Puis elle se mit à masser mes fesses, et descendait légèrement jusqu'à mes mollets. Mon corps frissonnait au contact de ses mains douces. Puis elle me demanda de me retourner, et elle banda mes yeux avec la serviette et me demanda de ne ni parler, ni bouger mes organes et me demanda juste de sentir et de laisser faire. Je sentais que j'allais vivre une expérience méconnue. Elle se saisit d'un peu d'huile et commença par mon coup. Je sentais ses mains qui venaient à contremont masser mon ventre jusqu'à ma poitrine. Elle la caressa lentement d'une tendresse incroyable, je sentais mon excitation monté peu à peu. Ses doigts pincèrent légèrement mes tétons, puis redescendirent sur mon ventre, et sa main voyageuse s'insinuait à l'intérieur de mes cuisses fiévreuses. Pris par cette forte sensation, je ne pus m'empêcher de relever légèrement mon pied, mais d'un geste lent et assuré, elle l'a maintenu sur le lit. Puis J'entendis un bruit, comme si elle ouvrait le frigo, ça devait être ça, je sentais plus ses mains. Quelques secondes plus tard, elle posa ses mains à l'intérieur de mes cuisses, posa des glaçons le long de mon ventre, puis les reprit par sa bouche humide en léchant mes tétons et mon ventre. J'avais du mal à respirer, mais je me laissais faire immobile, de peur que sa main ne suspende son voyage vers mon sexe gonflé, qui n'en pouvait de forcer le tissu élastique de mon caleçon. Elle avait mis un glaçon dans sa bouche et le posait et faisait des va et viens à l'intérieur de mes cuisses, rafraichissant ainsi la chaleur inidentifiable qui s'y dégageait. Je sentais son souffle effleuré les petits poils de mon sexe. A ce moment j'aurai tout donné pour qu'elle le touche, mais en vain elle continuait, inconsciente de la torture insoutenable qu'elle me faisait. Elle se plaisait à me faire souffrir de plaisir. Puis elle osa toucher mon sexe gonflé à bloc, dressé vers elle. Elle le prit à belles mains, sans aucune pudeur, elle le sortit, puis l'enroula autour de ses mains et fit des mouvements de va et viens très souple. A la voir agir, on sentait qu'elle touchait sa bille en la matière. Puis en un moment donné elle s'est arrêtée, elle savait surement le point de non-retour, la limite extrême de l'extase, le point qu'il ne fallait pas dépasser. Puis elle arrêta, me caressa un peu puis rangea mon sexe insatisfait. Elle m'enleva la serviette trempée de mon sueur, puis me regarda et sourit. Puis elle me dit d'un air provoquante et taquin:
- « je parie que t'aurai pas pu tenir encore quelques minutes, bon rhabille toi »
Puis elle se dirigea vers les toilettes et revient quelques minutes plus tard habillé comme elle était venue, maquillage refaite, ses cheveux attachés. C'était à mon tour, même si ce fut très difficile de me lever, avec son aide j'y suis parvenu et me suis rhabillé aussitôt. Profitant d'un moment d'inattention, croyant qu'elle avait baissé sa garde, j'eus le réflexe de la surprendre par un baiser, mais elle me bloqua net, comme si elle avait refusé de me donner ce baiser. Puis elle prit une fraise dans sa bouche, se courba vers moi, s'approcha de ma bouche et la scinda en deux avec ses dents, me passa la moitié tout en mordant légèrement mes lèvres, un geste d'une tendresse immensurable. Une émotion languide s'insinuait en moi. Elle appela son chauffeur, qui quelques minutes après était sur place, je l'accompagnai et la regarda s'en aller. De retour chez moi, je n'avais d'autre choix que rentrer dans les toilettes et me masturber et jouir dans mes mains crispés en pensant à elle, en pensant à ses mains, ses caresses, à la tiédeur de sa salive. Elle avait une manière insidieuse et perfide de procéder, de me faire souffrir de plaisir, de me faire perdre ma raison. Ce qui me faisait le plus mal, c'est qu'elle avait exploré les parties de mon être les plus secrètes sans même que je pus toucher, ou voir les siennes. Elle avait tout découvert sur moi, rien ne l'empêcher de s'en arrêter là, alors que moi, j'avais encore tout à découvrir, cela trottait dans ma cervelle. Et je ne pouvais pas me laisser vaincre de la sorte. D'ordinaire, c'est les hommes qui s'approchaient des filles en premier, qui faisait le premier pas, ce sont eux qui guident le mouvement, qui invente ce mouvement lent de roulis. Mais ce jour-là, ce soir de notre première rencontre, dans cet univers sensuel et paradisiaque, c'était sa main qui s'était posé sur la mienne en premier, c'était elle qui avait pris les rênes.
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Chronique de Mystery [Términé]
RomanceLa sensualité émanait d'elle comme une odeur, comme un trait de caractère. Je deviens la chose de son plaisir, le petit jouet de ses soirs, le soldat de ses moindres envies. J'avais rêvé d'une femme comme elle, comme d'un ideal de perfection pervers...