Partie 35:
Puis tout à coup, devant la porte de la société de Papa, j'aperçue Suzie, oui c'était bien elle, en dépit du nouveau look qu'elle avait, je l'avais dévisageai. Sous le choc, je savais pas quoi faire, je la regardai, elle prit un taxi et s'en alla. Quelques temps après je pénétrai dans l'immeuble, et en route je ne pus m'empêcher de me demander qu'est ce qu'elle pouvait bien faire dans la société de Papa.
************************Aicha************************
Elle n'avait rien compris de ce qui se passait
Je me faisais toutes sortes d'idées jusqu'à ce que j'atteigne quelques minutes après, j'atteignis le couloir qui menait au bureau de Papa. Sa secrétaire m'accueillit et me demanda mon identité, elle ne me connaissait pas et n'avait surement jamais entendu parler de moi. Je ne lui en voulais pas, et lorsque je lui certifiai que j'étais le fils de son patron, elle me lança un regard interloqué et après un court moment d'hésitation, elle me demanda de prendre place et elle saisit au même moment le téléphone. Puis juste à cet instant, mon téléphone sonna, c'était Aicha. Je me disais que je n'allais la prendre, mais elle insistait jusqu'à ce que je décrochai ;
Abdou : Allo !
Aicha : Allo ! Abdou ça va ?
Abdou : Oui Aicha qu'est ce qu'il y'a ? Qu'est-ce que tu veux ?
Aicha : Qu'est ce qui se passe Abdou ? Qu'est ce qu'il y'a ? Dis-moi s'il te plait
Abdou : Il n'y rien, qu'est-ce que tu veux qu'il se passe ?
Aicha : Pourquoi tu me traites comme ça ? Pourquoi ta mère aussi me repousse ? Tu ne peux pas me dire qu'il y'a rien, bien sûr qu'il y'a quelque chose
Abdou : Non on était tout juste pressé et ma mère était surement fatiguée, ce n'est que ça, ne t'inquiété surtout pas, je dois malheureusement raccrocher, je suis un peu occupé, je te rappellerai plus tard
Je raccrochai le téléphone, pris un long soupir et continua mon attente, bien que Je me disais bien que mon père allait surement refuser de me recevoir mais contre toute attente, elle m'autorisa à y aller. A hauteur de son bureau, je me rendis compte qu'il avait déjà ouvert la porte et m'attendais. Je m'y introduis et il me fit signe de la main de prendre place, je m'exécutai et il se redressa et croisa ses mains sous son menton. Un signe qui voulait surement signifier qu'il n'avait pas l'intention de placer le premier mot. Je sentis qu'il était bien plus rude que d'habitude, comme si rien n'avait changé en lui, je me demandais pourquoi tant de méchanceté envers moi. Je me ressaisis et d'un ton ferme, je le saluai :
Moi : Bonjour Pa
Père Bathie : Bonjour, oui tu veux quoi ? Je t'avais bien dit que je n'avais plus de fils qui s'appelait Abdou, sors-toi cela de ta tête, n'annonces plus à la secrétaire que je suis ton père, que cela soit la dernière fois, tu as compris ? Tu te prends pour quoi ? Tu croyais surement que je n'allais pas te recevoir, que j'allais te fuir ? Tu te trompes lourdement... Maintenant dis ce que tu as à dire et vas t'en je n'ai du boulot à faire...
Moi : Je t'ai toujours respecté, et jamais je n'ai contesté, ni montré un signe de refus, j'ai toujours suivi tous vos ordres depuis mon enfance, c'est comme cela que tu nous as éduqué, et sur ce point je t'en serai toujours reconnaissant. Tout comme le commun des mortels, j'ai commis des erreurs, et je l'ai assumé du début à la fin. Tu peux bien me renier, me répudier, m'abandonner, mais je serais toujours ton sang et je te considérai toujours comme mon père. Quoi qu'il en soit, je ne suis pas venu ici pour discuter de cela. Je voulais juste te dire que ma mère est gravement malade...
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Chronique de Mystery [Términé]
RomanceLa sensualité émanait d'elle comme une odeur, comme un trait de caractère. Je deviens la chose de son plaisir, le petit jouet de ses soirs, le soldat de ses moindres envies. J'avais rêvé d'une femme comme elle, comme d'un ideal de perfection pervers...