Partie 18 :*********Bonne lecture*************
C'était bien elle, Rose, elle s'appelait Rose, c'était une ancienne camarade de classe. On avait fait ensemble la sixième et cinquième secondaire. Par la suite elle avait changé d'établissement et je l'avais perdu de vue jusqu'à ce soir. Elle était bien plus qu'une simple camarade de classe, c'était bien plus complexe que ça. Alors que je la regardai, un moment elle parlait avec Suzie, elles avaient l'air de bien se connaitre, elles conversaient et échangeaient des rires. Puis Suzie avait surpris mon regard attirant l'attention de Rose qui elle aussi ne manqua pas de me jeter un regard curieux, se demandant surement si c'était bien moi ou pas ? Elle m'avait peut-être reconnu, peut-être qu'elle ne savait pas exactement ou, mais ma tête lui disait bien quelque chose. Je la vis soufflait des mots à Suzie, et elles se dirigèrent vers moi. Je fis semblant de ne pas les prêter attention, elles s'arrêtèrent juste devant moi :
Suzie : Bb j'ai une amie à te présenter, parait qu'elle te reconnait, elle ne sait pas où, mais ton visage lui dit quelque chose
Moi : C'est vrai, on se connait, elle s'appelle Rose n'est-ce pas ?
Rose : Oui oui c'est bien cela, d'où l'on se connait ?
Moi : C'est vrai que ça fait longtemps, et tu as complétement changé tout comme moi d'ailleurs mais n'empêche je me souviens de toi comme si c'était hier. Rien de ce que tu étais ne s'est effacé de ma mémoire. Je pourrai même peindre ton portrait lorsque tu étais beaucoup plus jeune sur du papier vierge.
Suzie : Roohh BB arrêtes de jouer avec elle, d'où vous vous connaissiez ?
Moi : Je ne joue pas avec elle, j'essaye juste de lui donner quelques indices pour qu'elle s'en rappelle d'elle-même.
Rose : Sérieux je ne vois pas, dit-elle en me regardant encore de plus prés
Moi : Ah ton sens de l'observation continue de te servir à merveille, répondis-je d'un ton moqueur avant d'ajouter
- Abdoulaye, nous étions dans la même classe en sixième et cinquième secondaire.
Elle mit ses deux mains sur sa bouche en poussant un petit cri d'émerveillement, tandis que Suzie, elle me jetait un regard perçant pleins d'insinuations,
Rose : Hooo tu as parfaitement raison, comment ai-je pu l'oublier ?
Moi : Non c'est rien, c'est vrai que en ces temps-là, j'étais plutôt réservé, j'étais timide, et je passais quasiment inaperçu.
Rose : Oui oui, je me rappelle bien, tu étais tellement sérieux qu'en cinquième, on t'avait nommé responsable de classe. Les souvenirs me reviennent.
Et c'était parti, les souvenirs du bon vieux temps refaisaient surface. On ressortait les bêtises en classe, nos professeurs, le surveillant général, on se moquait de tout le monde. Je la voyais rire, elle était toujours aussi belle, aussi attirante, de belles dents blanches. Elle continuait de se rappeler de comment je prenais le nom des bavards alors que j'étais concentré sur ses pairs de seins. Mon esprit était ailleurs, Suzie qui nous suivait et qui ne s'empêchait pas de rire parfois l'avait sans doute remarqué, elle avait lu dans mon regard qu'elle m'attirait, elle avait surpris mes coups d'œil sur ses jolies cheveux roux, son joli visage fin, sur sa poitrine opulente, ses lèvres qui étaient faites pour être effleurées du bout des doigts, conçues pour rien d'autre qu'être embrassées, mais elle ne disait rien. La conversation s'animait de plus en plus et je prenais gout en sa compagnie. Puis quelques temps après le Dj annonça qu'il y'avait un petit concours de danse et qu'on était prié de faire un petit cercle. Excités par cette pensée, les garçons formèrent aussitôt un petit rond, et le DJ lança une musique très agitée. Des filles, une à une entrèrent sur la piste de danse, toutes très habiles au rythme de la danse. Ensuite vint le tour de Rose, sa prestation était différente pour moi de celle des autres. Je la regardais danser, je revoyais ses jolies fesses rondes que j'aimais tant admirer. J'étais troublé, un vertige me faisait tourner au rythme de ses pas, devant ses yeux qui me guettaient d'un regard très limpide, une sorte d'harmonie visuelle foudroyante, elle était magnifique. Des crampes me prenaient à force d'être resté ainsi immobile. Je frissonnai en à avoir la chair de poule tellement ça m'excitait. L'envie de la prendre tout de suite grandissait encore et encore. Suzie avait certainement remarqué la façon dont je la regardais, elle s'est rapprochée doucement et sans gâcher ma concentration, elle m'a chuchoté dans le creux du coup, juste sous l'oreille
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Chronique de Mystery [Términé]
RomanceLa sensualité émanait d'elle comme une odeur, comme un trait de caractère. Je deviens la chose de son plaisir, le petit jouet de ses soirs, le soldat de ses moindres envies. J'avais rêvé d'une femme comme elle, comme d'un ideal de perfection pervers...