Tragédie D'une Vie

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Bonne lecture

Depuis sa descente Mouhamed n'arrêtait pas de crier et oui je l'ai enfermé dans la chambre et j'ai mis le coran à fond. Il se tenait la tête et criait comme une âme en peine, j'avais de la pitié, je voulais le prendre dans mes bras et le serré très fort mais je peux pas l'approcher je tiens à ma vie. Ne pouvant pas supporté je sors de la chambre et la ferme à clé. Je m'assois contre le mur en face de la porte et prend ma tête entre mes mains.

- Mais qu'est-ce qui se passe!? Pourquoi il cris comme ça ??

- C'est rien il est de mauvaise humeur c'est tous.

- Et vous l'enfermez  dans la chambre comme un petit enfant?? Ça va pas non?? Donne moi les clés

Pardon??

- Je vais même pas te répondre retourne dans ta chambre et quand on va te sonner tu va parler. Tchippp

- Écoute je t'ai jamais parlé depuis que j'étais dans cette maison je veux pas de problème donc passe moi les clés je vais lui ouvrir.

Je fais comme ci j'ai rien entendu et continue de fixer la porte.

- Kadidja je te jure ne m'énerve pas tu va pas assumer après.

- Mon œil oui.

Elle essaye de prendre la clé non mais elle est sérieuse ??

- Ne me touche plus jamais de toute ta misérable vie.

- Donne moi les clés, comment tu peux enfermer quelqu'un qui est énervé, tu es malade je pense.

J'entendais plus la voix de Mouhamed donc j'ai ouvert la porte le spectacle était je trouve pas le mots il a retourné ma chambre je vous jure tous est cassé. Miroir de la coiffeuse n'est plus,la coiffeuse elle même n'est plus, tous les produits que j'avais déposé sur celle ci se sont retrouvé en bas en mille morceaux , les rideaux ont été arraché, les petits poufs sont de l'autre côté à côté de la salle de bain dont la porte a été défoncé, le tapis a été aussi retourné avec la table qui était dessus. Le lit aussi a été retourné bon le matelas bien-sûr, les veilleuses je sais même plus ou elles sont, y'avait du débris partout dans la chambre. Quand je relève ma tête je vois pas Mouhamed, il n'est pas dans la salle de pain donc je rentre dans le dressing, le pauvre il saignait de la main et du pied. Sa chemise et son pantalon sont déchirés et sont aussi taché de sang. Nathalie est assise près de lui et pleurait, pourquoi elle pleure  celle là ?? Quand elle me remarque enfin elle se lève et s'approche de moi avec un air de méchant. Puis sans le voir venir elle me gifle, sans plus attendre je lui retourne sa gifle sur les deux côtés de sa joue.

- Ne t'avise plus jamais de lever la main sur moi, de un tu es dans ma maison, de deux c'est mon mari donc mon affaire et de trois tu sors de cette chambre et tous de suite.

Elle me regarde toujours en gardant sa joue qui devient rouge. Je prends son bras comme elle n'a pas l'intention de partir, je la dirige vers la sortie et la jette dehors puis je referme la porte. J'ai entendue qu'elle a émie un cri de douleur sûrement un verre la blessé mais bon j'ai pas la tête à sa. Je retourne dans le dressing et il n'a pas changé de position, j'hésite à m'approcher mais je m'approche qu'a même. Je pose ma main sur sa tête.

- Mon coeur!!

Il réagit pas. Donc je pose ma main sur son bras.