Chapitre LXXI

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« El amor es como la salsa mayonesa: cuando se corta, hay que tirarlo y empezar otro nuevo »

Pinponnnnn, Pinpooon ! La sirène de l'ambulance n'arrête pas de sonner dans mes oreilles. Mon corps me parais tellement lourd, j'ai l'impression d'avoir des énormes courbatures. Soudain, une lumière blanche éblouie mes yeux... Bordel mais c'est quoi ça ? J'ouvre mes yeux difficilement à cause de la lumière avant de distinguer un homme vêtu d'un masque en train de me parler. J'essaie de me relever avec difficulté... Je suis où ? Je m'agite un peu, je ne sais pas où je suis mais il est évident que je n'étais pas là toute à l'heure mais au parc en train de faire du sport. La voix de l'infirmier finit par me sortir de mes pensées, je me redresse sur ce lit d'hôpital en remarquant que mon visage possède une jolie bleu près de mon œil droit. Quelle bande d'imbécile ! Ils sont venus sur moi à deux pour me frapper au nom d'une patronne... Je me souviens bien de leurs visage, les coups qu'ils ont pu me mettre n'ont absolument pas réussi à me faire perdre la mémoire. Toutefois, je me demande bien de la part de qui ils sont venus me frapper. « Un petit cadeau de la patronne » ... Quelle patronne ? Il semblerait que l'on m'a retrouvé inconscient au sol couvert de bleus et de sangs. Dieu merci, des passants ont appelé une ambulance afin de me sauver.

Je remercie l'infirmier qui me prescrit des médicaments et surtout beaucoup de repos. Il semblerait que j'ai une côte cassée et que je dois me ménager un peu. Ce n'est pas mon genre de vouloir me reposer mais en vue de la douleur intense que me provoque cette maudite côte, je n'ai pas d'autre choix que d'écouter l'avis du médecin. Normalement mon frère m'attend dans la salle d'attente, je récupère mon gilet de jogging avant d'enfiler difficilement mes baskets puis partir. Arrivé dans la salle d'attente, mon frère me prend dans ses bras. Ouuuuh bordel quelle douleur ! Il finit par me lâcher puis me poser plusieurs questions concernant ce qui s'est passé. Pour le moment, je ne veux pas parler mais partir d'ici. L'ambiance et l'odeur de l'hôpital me rappelle trop de mauvais souvenir et puis je déteste cette odeur de la mort qui t'aide dans les couloirs. Nous sortons de l'hôpital avant que nous puissions nous engouffrer dans la voiture de David et partir en direction de chez lui. Il ne faut pas que ma mère puisse me voir comme ça ! Elle risque de faire un scandale et stresser pour rien du tout. Maman ne doit pas être au courant de mes problèmes, cette fois ci je eux me débrouiller tout seul et la protéger. Arrivé chez David, il m'aide à m'installer sur le canapé avant de fermer la porte derrière nous.

David : Bordel mais tu vas m'expliquer ce qui s'est passé ? Tu es bien amoché (petit rire)

- À vrai dire, moi même je ne comprends pas pourquoi on m'a frappé mais ce qui est sur c'est que c'était volontaire et venant de l'ordre d'une personne.

David : Tu crois que ça un rapport avec Papa ? Est ce que il a découvert le plan ?

- Non je ne pense pas parce que il s'agit d'une femme... Je ne pense pas que Papa a pu demander à quelqu'un de me frapper. La seule personne que j'aurai pu voir me faire cela est bien notre imbécile de cousin Javier ! Mais crois moi qu'il va me le payer

David : Tu as dit toi même qu'il s'agit d'une femme alors c'est impossible que ce soit notre cousin Javier et puis il n'est pas comme ça malgré son caractère de merde. Écoute, pour le moment reste tranquille et ensuite on cherchera le coupable de ça.

- Tu as peut être raison ! Pour le moment le plus important c'est de savoir si tu as trouvé des infos concernant papa.

David : Oui et beaucoup. Il semblerait que papa n'a pas seulement fait des affaires avec une entreprise de café mais aussi il a émis des fonds pour une entreprise fictive en Suisse... J'ai fais des recherches et la compagnie Lord.Business Cop n'est seulement qu'une simple arnaque.

Rien Ne Sera Pareil  [Tome II ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant