Anecdotes de nos deux héros!

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La première :

Alors que Marinette fabriquait une seconde poche dans sa veste pour son kwami, un son plutôt brutal venant du toit l'a fit sursauté. Un cri plutôt étrange qui ressemblait à un "Kiiiiihysme" l'effraya. Elle pris un rouleau de tissu plutot épais qui traînait, Tikki derrière elle, et avança vers le bruit avec un air menaçant. 

La trappe s'ouvrit sur un Chat Noir gêné et grimaçant, assis lamentablement par terre sa main gantée sur son pied. À coté de lui gisait un tas de cendres.

"Bip, bip, bip"

Il allait se detransformé. Tikki se cacha et Marinette lacha le rouleau. Elle regarda à nouveau la terrasse et le tas de cendres. Elle compris quelque chose et ces sourcils se froncèrent. Chat Noir avait utilisé son cataclysme sur son transat. Elle s'exclama agacée.

<<- Chat Noir, j'espère que c'est une blague ?! Tu n'a pas vraiment réduit en cendres mon transat !? Ne reponds pas ou tu te prends un coup de rouleau !>>

Le super héros la regarda tristement et couina d'une voix fébrile:

<<- Désolé princesse.... Je... euh... t'en payerais un nouveau ?

- Mai-Mais non ! Mais comment as-tu pu ?!

- Je voulais juste dire un petit bonjour mais ce satané pied de transat a pris en assaut mon petit doigt pied ! Comprends moi ! J'étais énervé et souffrant !>>

L'adolescente était confuse. Elle avait envie de rire et de l'engueuler à la fois. Il avait donc cataclysmé son transat parce qu'il sait cogné le doigt de pied ? Si seulement elle pouvait faire ça à chaque fois...

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Deuxième :

Un jour, Gabriel sortit de son bureau l'air grave et les yeux brulés d'un désir de vengeance. Il alla vers l'entrée de son manoir sous l'oeil surpris de Nathalie et du garde du corps de son fils. Il croisa ce dernier devant le miroir de l'entrée. Il le regarda étonné de sa présence en dehors de sa chambre. Il se rappela qu'il avait accordé une sortie à son fils le mois dernier. 

En regardant sa descendance habillé d'un costard, les cheveux brossés en arrière et son visage angoissé, il revit un souvenir des plus agréables.

Il se souvenu que quand il avait eu son premier rencard avec sa femme, Émilie, il avait eu la même réaction avant d'y aller.

Son fils le ressemblait plus qu'il ne le pensait. Il souria à l'évocation de se souvenir et commença à faire demi-tour.

Mais un truc clochait, si son fils était comme lui à son époque alors son fils avait sûrement un rencard ! Adrien allait parti qu'en il vit son père lui courir après, l'air inquiet peint sur son visage.

Le pauvre mannequin à la vue de son père, l'impassible Gabriel Agreste lui courir après avec des yeux aussi implorants, fut choqué et troublé pendant plus d'une semaine, inquiétant ces amis et sa petite amie Marinette.

Recueil d'os miraculousOù les histoires vivent. Découvrez maintenant