Trop de surprises et d'étonations

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Ca fait longtemps que je l'avais dans mes brouillons, c'était une commande d'os que j'avais oublié... et qui m'avait pris longtemps avant de comprendre ce que je devais écrire XD, ca doit faire quoi ? Un an que je devais le publier ? Pardon ;-; et surtout excuse moi Oceane-Draer

Bonne lecture !




Bien qu'étonné la première semaine, au bout de deux mois le jeune homme avait l'habitude d'attendre sa coccinelle dans sa chambre. Elle apparaissait la nuit, jouant, parlant avec lui et repartant le matin. Quelques nuits, elle dormait avec lui, le perturbant et l'affolant comme une adolescente fan de comédie romantique. Mais certains gestes lui avaient mis la puce à l'oreille.

Bien sur, en tant qu'Adrien, il lui tendait la perche voir tout l'équipement, en tant que Chat noir cela avait quelques peu changer. Il n'insistait plus sur leur identité secrète ayant appris dans une conversation que sa Lady avait peur qui ne l'aime pas sous le masque ou bien que leur relation aillent plus loin et que des vilains profitent de cela. Son coeur avait fondu de bonheur, le rendant guimauve toute cette soirée là, la femme de ces rêves se moquant.

Mais là, les baisers papillons, la bise, l'esquimau sur la joue. Sa main entrant en contact avec son bras chaque fois qu'il argumentait avec hargne pour l'apaiser. Sa main dans la sienne quand ces larmes revenaient. Les calins courts pour se dire à bientôt et ceux très long, les enfermant dans une bulle de sécurité. Son corps se collant au sien quand ils discutaient le soir dans son lit. Ces petites mains sur son torse, une jambe à cheval sur lui quand la soirée s'éternise.

Il savait que ce n'était pas qu'amical. Il le savait. Puisque il faisait la même chose envers elle. C'était dur pour lui de se retenir de l'embrasser, de lui avouer. Mais ils n'étaient qu'amis et secrètement coéquipiés. Il avait ouvert son coeur, elle l'avait écouté. Il s'était libéré plus d'une fois, non sans pas quelques sanglots Elle l'avait consoler. Elle disait rarement de choses, quelques infos par ci par là. En comportement amoureux, il les avait tous noté. Du plus important au plus inutile. En Chat Noir il avait l'habitude de son sang-froid, en Adrien il a su que ce n'était qu'une façade, qu'elle angoissait pour son partenaire, pour ces plans suicidaires. Il avait déjà connue sa nature maladroite, un coup de yoyo sur le tibia, sur la tête mais il l'avait aimé tout de même. Il l'a connaissait réfléchit, et créative. Désormais, le jeune Agreste connaissait sa passion pour la mode, ces angoisses par rapport au papillon, même son émotivité.

Faisant sursauter Plagg, le blond rigola de sa comparaison avec Marinette. Elle aussi était maladroite et aimait la mode. Sa camarade était vraiment trop mignonne. Il ria moins en se souvenant de la mine désastreuse de sa première amie. Lui était heureux et amoureux, Ladybug lui rendait visite, il était souvent à l'ouest depuis. Or la seule chose qu'il le ramenait sur Terre était les cernes de panda et la mine fatiguée de l'adolescente. En bon ami, il avait aidé cette dernière au mieux qu'il pu. Trouvant des excuses à ces retards, portant son plateau quand elle peinait à se lever. Il avait parlé d'elle à sa Lady, qui avait fait une tête de six pied de long, ça le faisait rire de nouveau. Elle s'était détendu et l'avait conseillé de suivre son instinct avec son amie.

Il s'étira. Onze heures. Sa Lady allait arriver. Il eu le temps d'ouvrir sa fenêtre, préparer quelques jeux vidéos et de sortir les gateaux qu'il avait empruntés de la cuisine. Ces yeux émeraudes aperçurent une fine silhouette fondre sur sa chambre, un sifflement de vent coupé, l'étonnant de la rapidité avec laquemle elle avancé. Il lui remarqua un air sérieux, ces yeux buté sur un objectif. Il douta alors de cette soirée. Dans son costume une telle allure ou une telle tête plutôt signifiait que soit il devait se tenir tranquille au plan soit... Il ne donnait pas cher de sa peau.

Avant même qu'il comprenne, elle l'embrassa la joue, puis l'autre, le faisant rougir, puis elle l'attaqua de bisous papillon sur tout son visage. Enfin. De bisous d'insecte volant à quatres ailes ayant passé le stade chenille. Ils se deplacèrent vers son bureau, parlant du métier de l'héroïne, bavarfant avec lenteur sur les clichés des supers-héros. Il se gratta l'arrière de la nuque, mal à l'aise. Depuis que la coccinelle était rentrée, elle s'agitait nerveuse, l'embrassant en continuant de discuter, posant ces mains avec tendresse sur ces bras. Il n'y tenait plus. Elle le testait, l'invitant sur un terrain dangereux. Il était à cran de toutes ces petites attentions. Mais il fini par craquer avant même d'atteindre le bureau. 

Il prit une grande inspiration, calmant son malmené de coeur. La jeune héroïne le fixa, perturbée de son attitude. Il s'approcha, lui souria tendrement, lui baisant le front, puis le coin des lèvres, plus incapable de se retenir, sa limite de patience atteinte. Il se pencha, scellant leur amour. D'un baiser tendre, devint fougueux. Elle y répondit avec beaucoup d'entrain le surprenant quand ils reprirent leur respiration haletante.

_ Je- My Lady, j'aimerais-, enfin... Bref. Je t'aime, pardon.
_ Pourquoi tu t'excuses idiot de Chat ? Je le sais déjà.

Il se figea, ne battant plus un cil, la respiration coupé. Elle-. Elle savait déjà ? Elle l'aimait et connaissait son identité. Sa bouche béante, le rire de sa Lady et des baisers tout une soirée. Une seule chose manquait, dans l'excitation et l'amour dans l'air, Ladybug oublia de dévoiler son identité. Laissant pantois le lendemain matin l'adolescent.

Recueil d'os miraculousOù les histoires vivent. Découvrez maintenant