"Alors qu'elle commençait à se reconstruire, le fantôme de son passé refit surface"
« Je ne serai plus jamais la même, et c'est uniquement de ta faute. »
Il ne l'avait pas seulement aimé, il l'avait aussi complètement brisé.
Cette histoire est bien...
Scène à caractère sexuel ! Vous pouvez sauter le premier paragraphe.
Bonne lecture x
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Aimé par leomessi, blaisematuidiofficiel et 1 583 973 autres personnes cristiano FORÇA PORTUGAL 🇵🇹 COPA DO MUNDO 2014 ⚽️ Voir les 4 580 commentaires official_pepe VAI PORTUGAL 🇵🇹❤️ davidbeckham 💪🏻💪🏻💪🏻
– Embrasse-moi encore.
– Eden, je vais être en retard, ricanai-je en écrasant mes lèvres sur les siennes.
– Encore.
– Mon amouuuuuur.
Mon amoureuse m'attira sur elle et me fit tomber sur le lit avant de se positionner sur moi, remuant son bassin lentement. La chaleur me monta au corps et je sentis mon bas ventre se contracter.
– Cinq minutes, souffla-t-elle avant de s'emparer de ma lèvre du bas.
Elle me rendait fou. C'était trop. Elle portait une petite nuisette en dentelle noire qui laissa apparaître ses tétons durcis à travers le tissus.
– Mon cœur, je suis déjà à la bourre.
Sa langue douce et gourmande dansa autour de la mienne, je posai mes mains sur ses hanches, elle les attrapa et les fit glisser jusqu'à ses fesses.
– Tu n'auras qu'à dire que tu es dans les embouteillages, me suggéra-t-elle dans un léger gémissement, après je ne vais plus te revoir.
Je ne pouvais pas lui résister, impossible. Elle enleva mon t-shirt et parsema mon torse de doux baisers qui firent monter mon envie d'être en elle.
Je la regardais, cette fille était vraiment une bombe, c'était pas croyable. Elle retira mon jogging rapidement, mon boxer et lécha le bout de mon gland lentement, que c'était bon. J'eus du mal à contenir ma respiration qui se fit plus rapide et saccadée.
– Mon amour, gémis-je tout en caressant ses cheveux, t'es une vraie diablesse !
Elle ricana avant d'engloutir mon penis comme affamée, prenant le temps de faire de longs vas-et viens, se laissant envahir par mon liquide brûlant. C'était elle qui menait la bataille et elle le faisait avec brio. Je ne tenais plus en place, ça montait, encore et encore et je lâchai un gémissement. Elle s'arrêta à temps et enleva sa nuisette.
– Tu es tellement belle.
Elle sourit, et monta sur moi, m'infiltrant dans son intimité trempée de désir. Elle remua le bassin et se mordit la lèvre du bas tandis que je caressais sa poitrine qui me rendait dingue. Nous atteignîmes l'orgasme en même temps, elle se blottit contre mon torse.
– Tu es en forme ricanai-je, elle rougit.
-Si jamais tu as un doute pendant cette coupe, souviens toi de ce moment.
