64.🍃

5.9K 354 91
                                    

__________

Le lendemain

Je me réveille très tôt, je fais mon rituel du matin. Les gars eux ils se préparer aussi. J'étais devant la maison je penser à tout et à rien quand je vois la voiture d'Alonso débarquer. Il se gare, il descend et il s'avance en face de moi.

- Alonso : bonjour.

- bonjour.

- Alonso : tu t'en es remis un peu de la journée d'hier ?

- je ne te cache pas que j'ai la scène en boucle dans ma tête. Je me dis que s'il s'était rendu peut-être que les choses auraient pu être différentes. Mais on parle de Mounir donc je me concentre seulement sur le fait qu'on a réussi à tous les arrêter.

- Alonso : c'est compréhensible, ça m'avait aussi choqué même si j'en n'ai vue des gens mourir devant moi. Mais cette fois-ci c'était différent, c'était ton père et j'ai appris à te connaître donc ça m'a aussi touché.

- hum.

On se regarde seulement, je n'avais rien à dire à ça ou du moins je n'arrivais pas à répondre. Il rompt le contact visuel, son regard s'attarde sur la maison.

- Alonso : les gars ils sont où ?

- ils finissent de se préparer. Mais d'ailleurs tu es venue bien en avance toi.

- Alonso : ouais j'ai une annonce à vous faire mais vue que tu es là, je te le dis déjà à toi.

- je t'écoute.

- Alonso : avec tout ce qui s'est passé et le jour où tu m'avais sauvé la vie, j'ai beaucoup réfléchi sur vous et sur toute cette histoire. J'ai parlé avec le commissaire, il à vue avec la direction, et c'est pour ça que je suis venu plus tôt que prévu pour vous dire que vous êtes graciés. Vous avais plus de problème envers la justice, vous êtes libres.

Quand il m'a dit ça, je l'ai directement regardé choquer. Il me donne une grosse enveloppe avec nos noms dessus.

- pardon ?

- Alonso : vous êtes libres.

Les gars débarquent.

- Idriss : wesh Alonso t'es arriver bien tôt là ! Même si vous voulez nous arrêter mais pas comme ça.

- Jordan : Lenny y'a quoi ? Pourquoi il à ce sourire-là ?

- sourire, on est libre wesh !

- Idriss : hein ? Libre comment ?

- Alonso : le commissaire et la direction ils ont parlé sur votre sujet. Vous êtes des hommes libres.

- Idriss : dit wallah ?

- Alonso : bon j'avoue que j'ai mis la pression au commissaire et il à accepter, il en a parler et voilà.

Idriss il saute directement sur Alonso ce dernier a eu mal au bras gauche, il a toujours sa bande. On a tous rigoler. J'étais grave heureux, je serai là pour Noella, pour mes proches et aussi pour ma mère j'étais trop heureux !

𝐋'𝐡𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐏𝐚𝐫𝐟𝐚𝐢𝐭Où les histoires vivent. Découvrez maintenant