𝐋'𝐡𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐏𝐚𝐫𝐟𝐚𝐢𝐭

51.🍃

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NOELLA

Le lendemain

J'avais passé toute la nuit à réfléchir de tout ce que Jordan m'avais dit. J'avais tout compris pourquoi Lenny il était bizarre surtout avec moi, je me disais bien qu'il y'avais quelque chose. Je ne le sentais pas mais je lui faisais confiance.

J'avais pris la décision d'être de leurs côtés, ça me faisait mal parce que je suis du côté de la justice normalement, mais là je voulais savoir pourquoi ils lui avaient fait ça jusqu'au point de faire un ultimatum à Lenny. Et surtout voir le plan des garçons se mettre en exécution, je voulais les voir payer pour leurs crimes.

Toc toc toc

- oui, entrer !

Je vois Sanaa, personnes est au courant que je suis à l'hôpital je ne voulais pas leurs dire et ils ne sont pas au courant pour ma grossesse. Il y'a qu'Emma, Flora et Jordan qui le savent et je suppose Sanaa du coup.

- Sanaa : salut ma belle, ça va mieux ?

- oui et toi ?

- Sanaa : oui je vais bien. J'ai appris la nouvelle par Jordan et je vois que je dois le dire à personne.

- oui s'il te plaît dit le à personne. Il n'y a que toi Flora Emma et Jordan qui sont au courant.

- Sanaa : Idriss et Boris aussi.

- hum.

- Sanaa : je connais l'histoire, je suis en colère contre Jordan mais je vais les croire je suis de leurs côtés c'est des batard ces gens. Je veux les voir pourrir en prison mais je ne dirais rien à la police même si je suis pour la justice.

- ce qui m'a choquée c'était d'apprendre l'ultimatum qu'ils avaient donné à Lenny. Soit sa mère ou moi, ou soit on sauter. Pour atteindre Lenny ils allaient s'en prendre à moi putain.

- Sanaa : c'est trop une dinguerie. Mais du coup tu es du côté de Jordan ou d'Alonso ? C'est chaud ta situation quand même.

- je suis du côté de Jordan...même si ça va me faire de la peine de mentir à Alonso. Jordan il m'a fait clairement comprendre qu'il allait venger Lenny et je le connais très bien pour comprendre que la police ne doit pas s'en mêler même si j'en meurt d'envie d'informer Alonso. Tu vois comment un mensonge ça peut contaminer tout le monde.

- Sanaa : wallah. Nous sommes maintenant complices mais on doit savoir le fin mot de cette histoire.

- ouais.

- Sanaa : et sinon ta grossesse ça va ? Tu supportes le choc ?

- ouais ça va mieux...ils m'ont dit de ne plus stresser et aussi rester dans un endroit calme ce n'est pas bon pour nous deux à la longue.

- Sanaa : tu le garde hein, je veux être tata !

- sourire, oui je le garde...hier j'étais en colère contre cet enfant qui n'a rien demandé et là je souris.