𝐋'𝐡𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐏𝐚𝐫𝐟𝐚𝐢𝐭

29.🍃

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NOELLA

Après le travail j'étais partie au cinéma avec Lenny, par la suite nous sommes partis marché à côté de la Tour Eiffel là où on était venu la première fois après notre premier date. On se tenait la main tout en marchant, on rigolait comme d'habitude, on se taquiner, je courais il me rattraper.

Je n'arrêtais pas de l'embêter, il me porte comme une princesse, on se fait un gros bisou, c'était trop mignon.

Il regarde son téléphone, il me dit qu'il devait rentrer sa mère avais besoin de lui. Dans tous les cas je devais aussi rentrer chez moi j'avais pas mal de choses à faire.

On se mets en direction de nos voitures, on s'embrasse et chacun rentre chez soi avec sa voiture.

[...]

J'étais chez moi, je venais de finir ce que je faisais quand ça sonne à la porte d'entrée. Je pars devant la porte je vois à travers le judas, Evan. J'étais surprise de le revoir, je l'avais complètement oublié. J'ouvre quand même la porte.

- Evan : bonsoir.

- bonsoir.

- Evan : ça va ?

- oui et toi ?

- Evan : ça va merci. Je peux entrer ?

J'hésite et je le laisse entrer. Je referme la porte derrière moi et on se dirige au salon.

- que me vaux cette visite ?

- Evan : ça faisait un moment et je n'ai plus eu de tes nouvelles c'est pour ça. Je voulais savoir ce que tu devenais ?

- un cheval.

Je l'ai dit avec tout le sarcasme du monde. Il me sourit, j'hausse un sourcil.

- Evan : tu me fais toujours sourire toi.

Je lève les yeux au ciel.

- Evan : je suis content de te revoir. Je vois aussi que tu m'as l'air bien et tu es plus radieuse.

- merci, je me sens bien.

Il allait parler quand je le vois fixer quelque chose, je regarde à sa direction et je vois le gilet de Lenny. Un jour il fessait froid, il me l'avait prêté et depuis il à oublier de le récupérer, enfin je le lui avais pris.

- Evan : à qui appartient ce gilet ?

- qui t'a dit que c'était à quelqu'un ?

- Evan : ce n'est pas ton style et ça se voit que c'est un gilet d'homme.

- t'a oublié que j'ai des ensembles de jogging dans mon dressing ?

- Evan : pas des comme ça et surtout moins quand ce sont des vêtements d'hommes.

- ah oui comme tu a vécu un an et demi à mes côtés tu connais absolument tout de moi, mieux que moi-même. Sachant que pour discuter avec toi et te dire ce que j'aimais, c'était limite si je ne devais pas te l'écrire dans une lettre sinon tu ne m'écouter pas, ou tu te retrouvais à l'autre bout du monde pour ton travail.