DE LA CAPITALE AU VILLAGE,J'AI SU ÊTRE FORTE.

chapitre 9

ABDELLAH NDIAYE

Depuis la dernière fois qu'on était aller saluer ma grand mère c'est à dire la sœur à mon papi,je n'arrive pas à me sortir cette jeune femme dont j'oublie carrément le nom.

Franchement elle est d'une beauté inoffensive et très naturelle.
Elle est de taille fine, d'un teint très clair, avec de longs cheveux que j'ai d'ailleurs remarqué qu'en première position.

Bref,moi c'est Abdellah Ndiaye comme vous le saviez si bien déjà je suis fils aîné d'une fratrie et je travail à Dakar à la SGBS(société générale de banque au Sénégal).

Je suis venu à Thiès pour un séjour de cinq jours dû au grand sacrifice que mon grand père organise chaque fin de mois au village en famille.

Et,malgré que mamie Coumba avait déjà assistée à ce sacrifice familial, papi c'est à dire son frère lui avait promis de passer chez elle avec moi avant de retourner sur Dakar.

J'ai presque été éduquée par mon grand père.

Malgré que des fois je fais le con, je dirai que j'ai beaucoup appris le Coran avec lui et je n'oublie jamais d'effectuer mes cinq prières régulièrement.

Et d'après ce que les autres disent et ce que je sais déjà d'ailleurs même,que je suis un très bel homme.

Au faite,moi je suis de teint clair, grand de taille avec des yeux marrons et des cheveux bouclés je ressemble plus à un arabe que disons sénégalais (rire) Ma mère raja est Marocaine donc je crois que c'est presque dû à celà.

J'avoue aussi que mon père est très beau malgré qu'il est de teint noir.

Assis en face de mon ordinateur,je vis grand père entrée avec sa pipe en main.

Lui: fiston ! encore avec ton boulot c'est cela?

Moi :(souriant)non papi!je vérifie juste quelques compte de certains clients mais,j'ai d'ailleurs fini.

Lui:(s'asseyant)alors! comment trouve tu ici? loin de la capitale, des bruits de klaxon et des aller-retour.(rire).

Moi:(souriant) bien papi tout est calme par là j'avoue.

Au faite papi!

Lui: oui fiston!

Moi j'aimerais te demander quelques choses !

Lui:(curieusement)vas y dit moi!

Moi:(hésitant) c'est quoi le nom de la fille qu'on avait vu la dernière fois chez grand mère ?

Lui:(secouant la tête et rigolant) ah tu parle de ta cousine Hiba Diallo...

Moi:(honteux)heu!oui,je crois celle avec qui on étaient Assis.

Lui:mais c'est elle! elle est ta cousine ou tu n'avais pas écouter ta mamie et moi entrain d'en parlée.

Moi: je n'avais pas prêter l'oreille quand vous étiez entrain de parler de ça Alors c'est sûrement ça !.

Lui:(se moquant)et bien j'avais remarqué que tu étais bien occupée à lui lancé les regards de temps en temps tellement elle t'a plu (,rire)

Moi:(rougissant)mais non papi arrêteeee...

Lui:(rigolant) mais si fiston! Avoue...

C'est ainsi comme à chaque fois que je partageaient des meilleurs moments tout en discutant avec mon grand père.

Bref,Tout compte fait,demain on retourne sur Dakar et ce qui est sûr,je reviendrai spécialement revoir Hiba...

              AMADOU DIALLO
Malade,je le suis. Je sais que dans pas longtemps je rejoindrai ma femme mais comme je vous l'avez dit plutôt j'ai fait un testament avec maître Alphonse mettant tout nos biens au nom de ma fille puisqu'avec ses gens ont ne sait jamais.

Je m'inquiète beaucoup pour elle.
Je sais que tôt où tard elle se retrouvera seule un moment et fera face aux obstacles de la vie.

Mais c'est un enfant de Dieu et un jour viendra, elle aura un merveilleux mari qui prendra soin d'elle.

Je me mis à cogiter ainsi jusqu'à ce que Anne entra et me vis en larme.
Elle:(touchant ma main) monsieur garder la foie en Dieu je vous en pries...

Moi:(essuyant ses larmes)ah Anne !je sais une chose c'est que dans peu de temps,je partirai et je sais que la mamy d'Hiba aussi se fait très vieille et ne restera jamais éternellement au près d'elle.

Ce qui m'inquiète c'est comment fera t'elle face à toutes ses embuscade les unes plus compliquée que les autres.

Elle:(tristement)je vous comprends parfaitement monsieur !mais sachez qu'elle se battra dure pour tous vous rendre fière et je vous interdit de dire que vous allez bientôt vous en aller.

Moi:(soupirant)tu ne peux pas comprendre Anne.

Néanmoins merci de m'avoir écouter.

Elle:(souriante)c'est normale monsieur et il n'y a vraiment pas de quoi.

Puis ont se mit à discuter ainsi de plusieurs choses jusqu'a ce que j'eus la force de me rendormir...

         DEUX SEMAINES PLUS TARD

Appel téléphonique 📞 📞 📞

               Point de vue externe

Quand le téléphone de la jeune femme se mit a sonner,elle se demanda qui pouvait l'appeler à cette heure puisqu'il n'était juste que 5h du matin.

En se levant de son tapis comme tous les matins à part ses jours de menstruation,elle alla vers le canari le cœur battant puisque c'était sur le couvercle qu'elle avait déposer son téléphone portable...

Quand elle prit l'appareil elle vit le nom de sa tante arame affiché chose qui était rare puisque depuis qu'elle était venu là, cette dernière ne l'avais jamais appelé et elle parlait avec elle grâce à la vieille que par occasion.
Alors,Dès qu'elle décrocha l'appel...

Elle:(cœur battant) Allô ma tante !

Arame :(criant en pleure) Hiba ton papa aussi !!!!

Elle:(tremblante)papa quoi ma tante ?
Arame:il est mort!

Elle:(Jettant l'appareil)quoi ma tante ce n'est pas vrai.

Mame Coumba sortie en courant de sa chambre avec son chapelet en main dès qu'elle entendit le cris aigus de sa petite fille et un énormément bruit au sol.

Une fois complétement dehors elle vit Hiba assise au sol complètement apeurée.

Elle :(inquiète)wa Hiba lanla(Hiba qui y'a t'il)?

Hiba:...

Elle :(l'a secouant) wakhal !yangue meyi titeul(parle tu me fais peur).
Hiba: c'est papa !

Elle:(paniquée) lanla louko diote (qu'est ce qu'il y'a il à quoi ?)

Hiba:(toujours choqué)tante arame !

Elle:(soupirant d'angoisse)tu va finir par me tuer de peur si tu ne me dis rien.

Hiba :(d'un trait)il est mort.

Elle:(criant)lane(quoiiii)? Kane(qui)???

Hiba: papa est mort!

Elle:(se tenant la tête) Allah Akbar !

                        À suivre...

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