chapitre 11

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ABDELLAH
Cela fait exactement 1mois qu'on a quitté Thiès. Et depuis qu'on est revenu de là bas,cette fille n'arrête pas de me hanter et franchement,sa m'embrouille finalement.

J'ai tellement envie de l'a revoir une seconde fois mais pour cela,il faudra que je retourne de nouveau à Thiès.
De toute les façons,je vais encore attendre jusqu'à mes petits congés...

Mon fils vient par là! cria ma mère de l'autre côté de la pièce.
D'accord! j'arrive maman...
Une fois que j'eus fini de nouer rapidement ma cravate,je pris la direction du salon.

Elle était assise sur la table à manger avec papa à côté.
Moi:assalam alykoum...
Eux: alykoum salam.
Elle :mon fils je t'ai fait un très bon petit déjeuner des crêpes sucrées t'es préférée.
Père Khalil:(souriant) Raja dit moi pourquoi tu prends toujours Abdellah pour un gamin ?
Elle:(rendant son sourire) mais c'est mon gamin à moi je te signale.
Pendant ce temps j'étais là a sourire bêtement comme un pauvre con.
Ma mère c'est la première femme de ma vie normale je suis aussi son seul garcon.

D'habitude,quand je suis chez moi je n'aime pas déjeuner les matins à part prendre mon petit café.
Et puisqu'elle le sait,elle me bombarde chaque petit matin de pleine de bonne nourriture qui me tienne toute une journée.

J'ai voulu venir rester ici en famille juste pour quelques jours le temps qu'on finisse de repeindre chez moi.
Ma villa est située au sacré cœur.

N'ayant pas de choix, je me mis à manger tout mon repas comme elle me l'a exigée tout en discutant avec eux.

En effet,Mon père est un grand exportateurs d'arachide,de cacao et de coton au Sénégal et autres pays de l'Afrique et Europe.
Il à tellement voulu que je suive ses pas mais moi par contre,j'ai toujours poursuivie mon rêve de travailler dans une banque comme analyste financier et par la grâce de Dieu mon rêve s'est réalisé.
Et Puisqu'il est aussi compréhensible c'est une grande chance pour moi.

J'ai deux sœurs l'une s'appelle Malika l'homonyme de ma grand mère maternelle et fana l'homonyme à la sœur de papa qui est notre tante bien-sûr. Je l'es adore tellement ses deux folles. Malika à 21ans et fana 19ans et, elles étudient en France l'une fait des études en médecine c'est à dire Malika et l'autre études en communication.

Après avoir fini,je pris mes bagages et pris la direction de mon service...
Cette journée promet d'être très longues...

HIBA
Après trois à quatre jours de route, j'arrivais enfin à destination le mot fatigue et bien trop insignifiant pour qualifier ce que je ressens en ce moment.
J'étais complètement casser s'il faut le dire ainsi.
Il faut avouer qu'il y'a certaine zone qui n'ont vraiment pas de bonne route,ni de réseau et c'était bien la première fois que je fasses un très long voyage d'un pays à un autre.

6hdu matin me trouva à la gare de bambeto. Et puisque je connais mieux Conakry qui en passant m'avait énormément manqué,je pris mon sac de voyage et pris un déplacement pour me déposer à la maison.
J'avais prévu qu'une fois à la maison, j'allais rappeler mamie Coumba qui,en passant n'a pas cesser de m'appeler d'ailleurs c'est elle qui à fait en sorte que mon pauvre téléphone s'est décharger.
Moi: chauffeur prends cette ruelle là.
Lui : d'accord...

Une fois que je me mis à l'indiquer, on étaient enfin arrivée devant ma cour qui avait pas changé d'un iota.
Mon cœur se serra fort dans ma poitrine.
Une bouffée de chaleur me parcouru le corps et une larme coula tout au long de ma joue. Beaucoup de souvenirs me traversa soudainement l'esprit.
Ma merveilleuse vie d'avant avec ma famille.
Cette maison qui m'avais vu naître et grandir et aujourd'hui vide et sans ses propriétaires.
La mort est vraiment une triste réalité on y croit plus que lorsqu'on perds un être chers.

Le chauffeur me sortit de mes pensée.
Lui:(me fixant)jeune femme vous m'entendez ?
Moi:(bagayant)heu oui ! excusez moi.
Une fois que je descendis, j'avançais à petit pas puis sonna à la porte...

ARAME
Je suis une boule de nerf ses temps ci, d'abord ses crapule qui refusais de dégager de ma maison, ensuite cet imbécile d'avocat qui dit ne pouvoir rien faire pour moi.

S'il pense que sans lui je ne pourrai pas m'en sortir c'est très mal me connaître.
Comme maintenant sa fait deux semaines, que quand je me réveil,je trouve toujours ses gens autour de moi et que franchement sa me tape sur les ovaires. Je pris la décision d'agir autrement.
En tout cas,Ce qu'ils ne comprennent pas c'est que quoi qu'il fasse,je leurs ferai sortir de gré ou de force de cette maison.

La dernière fois, j'étais aller accompagné d'une amie voir un marabout pour qu'il me fasse un médicament purement mystique qui fera en sorte qu'ils quittent les lieux et ce qu'il m'a donné pour un premier temps m'avait effrayé puisqu'il m'avait expliquer que c'est une poudre que je devrais lancé sur tout les lieux qu'ils fréquentent le plus dans la maison. Et qui fera, qu'ils verront des serpents qui seront tout le temps à leurs trousses.
Bon, honnêtement je n'y croyais pas trop,mais lorsque j'ai finalement décidé d' essayer cela hier c'était la catastrophe je l'es entendaient crier de gauche à droite.
Le plus drôle dans cette histoire ce que lorsqu'ils veulent tuer sa disparaît automatiquement.

Vu qu'ils n'avaient plus trop de choix,je l'ai vis descendre avec leurs bagages et se mirent à m'insulter tout en disant que c'était moi qui était derrière tout ça. Et, elle disait qu'elle avait toujours su que c'était des sorcières qu'avait fait entrée Amadou disait cette tante Astou.
J'étais juste morte de rire. Je l'ai laisser dans son délire.
Vu que pour moi, cette affaire était déjà régler,sa ne reste maintenant que pour ce con d'avocat.

Toujours perdu dans mes longues pensées j'entendis la sonnerie de la porte après des minutes d'instance. Et franchement je me demandais encore qui sa pouvait bien être.
Alors, descendant en vitesse.
Je demandais qui était ce avant tout.
Et quand j'entendis ma tante c'est moi.
Mon cœur rata un battement puissant... Et je refusais d'y croire.
Sa ne pouvait pas qu'à même être cette petite.
Alors, pour confirmer mes doutes, j'ouvris la porte et vis une Hiba arrêté avec son sac de voyage se Jettant dans mes bras en pleurs.
Tellement j'étais choqué je ne put même pas réagir.

La seule chose que je put sortir de ma bouche, c'était "merde encore un autre problème qui se pose"...
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DE LA CAPITALE AU VILLAGE,J'AI SU ÊTRE FORTE.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant