chapitre 1

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                       Tante arame

Le jour s'est enfin levé,comme dans mes habitudes,je me réveille toujours à l'aube pour faire ma prière et aussi prier pour ma défunte cousine.

Alors, après tout ceci,je pris la peine d'aller vérifier si ma petite hiba est revenu a la maison puisque sa fait des mois qu'elle rentre que les matins pour faire sa toilette et continuer à l'école.

J'avoue que son comportement m'inquiète et me dépasse beaucoup... Son père, quand à lui n'y fait plus attention car,il est complètement déprimé depuis la perte de sa femme.

Arrivée devant la porte de sa chambre, j'ouvris légèrement mais remarqua encore une fois qu'elle n'était pas rentrée...

Et donc,je pris la décision de partir faire quelque travaux ménagers attendant son retour parce qu'il était temps que je l'arrête dans ses délires.

              Point de vue externe

En se dirigeant vers la cuisine,elle se rencontra avec Amadou le papa d'Hiba dans le salon qui revenait de la mosquée avec sa barbe négliger, son visage soudainement vieillit et la mine triste tenant son chapelet en main.

Elle:(génuflexion) assalam alykoum tonton Amadou.

Lui:(souriant légèrement) alykoum salam arame comment vas-tu et ta matinée ?

Elle:(rendant son sourire) hamdoullah ça va j'ai très bien dormi !

Lui :(enlevant sa chaussure) et Hiba ? Elle est encore sortie ?

Elle:(baissant la tête)oui tonton ! Franchement ce n'est pas facile avec elle en ce moment. Mais je ferai tout pour l'a raisonner puisqu'elle à l'âge de comprendre.

Lui:(s'asseyant tout triste sur le canapé) depuis qu'on a perdue sokhna ,elle n'arrive toujours pas à se retrouver et j'avoue que de mon côté c'est encore pire.

Elle:(triste) c'était une bonne personne,si ce n'est pas entre nous ici tout le monde pensaient que c'était ma sœur.
Elle avait une âme pure.

Lui: elle me manque énormément.
Ils échangèrent ainsi jusqu'à ce que arame alla faire le ménage.

À 7h du matin,la porte s'ouvrit sur une Hiba à moitié nue entrant en douce et pensant que tout le monde dormait encore...

Arame :(regardant en direction de la porte)hop,hop,hop jeune fille où compte tu aller comme sa?
Et tu peux m'expliquer ce que tu faisais dehors jusqu'au petit matin bon sang!

Elle:(soupirant)je viens d'une soirée entre amis (es)et je n'ai pas vu le temps filé c'est tout tante arame.

Arame :(s'approchant) ma petite hiba,tu es qu'à même consciente que ce que tu fais est mal en plus,tu as un examen à préparer et de surcroît tu as 18ans qui veut dire que tu es majeure et censé dorénavant distingués le bien et le mal.

Elle :(commençant a s'énerver) et bien justement ! C'est parce que je suis majeure que je fais ce que bon me semble et laisse moi tranquille avec sa s'il te plaît tante arame.

Arame :(vexé) tu baisse d'un ton jeune fille!et dit moi tu pense que t'a mère est fière de toi de là où elle se trouve avec toute tes bêtises les une plus horrible que les autres hum...

Elle:(complètement touché, criant et pointant du doigt)tante arame ! Je t'interdit de parler de la manière dont maman se sentirai vis à vis de mon comportement ! Tu sais ce que je ressens moi depuis sa perte(en larme) et bien non! Tu n'en sais rien,sais tu toute les fois où j'avais le plus besoin d'elle est que Dieu me l'avait malheureusement arraché ? Et bien non! Alors ma tante s'il te plaît je n'aimerais pas que tu me dises cela...

Arame :(regrettant)je suis désolé ma chérie je ne voulais pas que tu te sentes blessé!, Mais plutôt que tu ouvres les yeux ! Ont s'inquiète beaucoup pour toi...

Elle:(augmentant ses sanglots)...
Puis,elle lui fit un câlin affectif et pleura à son tour.

                                HIBA

Après avoir fini d'échanger avec tante arame je fis vite ma toilette pour me rendre à l'école. C'est une école privée se trouvant de l'autre côté de la rue.

J'avoue que tante arame malgré tout n'a dit que la vérité dans ses dits et à cause de sa véracité, je me suis sentie blessé.

Bref,une fois que j'eus fini le tout,je pris mon sac et mon portable et sortie.

Papa quand à lui était Assis sur la table à manger entrain de prendre son petit déjeuner qui n'était rien d'autre que son fonio qu'il aimait tant que maman le lui fasse chaque matin.

Moi:(bisou) bonjour pa!

Lui:(souriant) bonjour ma princesse...
Bien dormi ?

Moi:(soupirant) pas mal papa et toi?

Lui:( tristement) ça va aussi ! Je sais que tu es encore rentrée ce matin à la maison ! Tu m'inquiète beaucoup avec cette attitude.

Tu es une jeune et très belle fille et le dehors que tu vois est très dangereux. Je n'aimerais pas que quelques choses de grave t'arrive.

Tu es mon souffle de vie dans ce monde...

Moi:(pleurant) je suis désolé papa ! Je vais arrêter et tante arame et moi avons en parler.

Lui:(tirant la joue) d'accord ma princesse. Je t'aime...

Moi:(souriante) je t'aime aussi baba(papa) chéri et là il faut que je file je suis déjà assez en retard.

Lui:(sortant des liasses d'argent) tient chérie tu en aura besoin.

Moi:(bisous et câlin) merci beaucoup papa...

Une fois que je pris la direction de l'école, je pris aussi mon portable et envoya un message à Albertine ma copine.

Message
Moi : hey chérie ! Dit!le professeur de français est rentrée ?

Après cinq minutes...

Elle : oui chérie il est là tu es trop en retard... Et, je te conseil d'attendre le prochain cours.

Moi : dans tes rêves !tu verra que je suivrais son cours tout à l'heure...

Elle :ok si tu le dis .

                 Point de vue externe

Après cet échange,elle arriva enfin devant la cour et trouva le surveillant avec la mine sévère...

Elle :(sortant un carnet de santé) bonjour monsieur Ayoub !

Lui:(ton sévère) bonjour ! Tu as vu l'heure ?

Elle :(montrant le carnet) j'étais souffrante et je suis passé d'abord à l'hôpital pour une consultation.

Lui:(regardant bizarrement et prenant le carnet)tu va mieux j'espère !

Elle :(d'une petite voix)oui...

Lui:(adoucissant) ok entre !

Une fois à l'intérieur, elle se mit à sourire.

En effet,Hiba avait falsifié la date de sa dernière consultation.c'était la seule option se disait elle.

Et ce fut le cas avec son professeur aussi. Albertine quand à elle, rigolait et demanda à sa copine une fois qu'elle s'était assise.

Albertine :(chuchotant à voix basse) Alors,raconte chérie comment à tu fait ?

Elle :(rigolant) c'était simple (puis lui narra toute l'histoire)

Le professeur :(ton sévère) Mlle Diallo et toupou que je vous attende plus Sinon,je vous mettrai dehors.

Elles :(en chœur) d'accord monsieur !... désolé !

Et c'est ainsi qu'elles suivirent le cours de français...

                         À suivre...

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DE LA CAPITALE AU VILLAGE,J'AI SU ÊTRE FORTE.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant