chapitre 8

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                             ARAME
Cela fait huit mois que je vis seule avec Amadou et il se sent très malade.
J'ai aussi découvert qu'il était atteint d'un diabète au stade élevé...

J'avoue qu'il me fait un peu pitié qu'à même et quelques soit le problème il s'est bien occupé de moi en tout cas.
Donc,le minimum pour moi c'est d'un peu l'assister au moin même s'il à spécialement une infirmière.

Revenant de la boutique,je vis Amadou allongé sur le canapé complètement amaigris puis j'avais remarqué que Anne n'était pas dans les parages.
Moi : bonsoir Amadou comment te sent tu aujourd'hui ? Et Anne ?
Lui:(voix cassée) ça va un peu aujourd'hui et Anne est partie m'acheter des fruits.
Moi:ahok super! Tu veux que je te fasse quelque chose d'épicée où non épicée.
Lui:(fermement)non!merci... Anne va s'en charger.
Moi:je sais que tu ne me fait plus confiance mais au moment où tu te trouves en ce moment,la seule chose pour moi c'est de t'aider.
Lui :je te dis de laisser tomber Arame.
Moi:(soupirant)ok d'accord comme tu voudras...
Ce qui est sûr,qu'il se fasse aider par moi où par quelqu'un je sais qu'il va mourir et, les biens de sokhna et ses biens seront tous à moi...
  
                               Hiba
Huit mois ce sont écroulés et, pendant ses huit longs mois beaucoup de choses ce sont passées...
Je suis devenu la petite villageoise du milieu.

Les cours avait repris et je n'avais toujours pas encore repris.
De toute les façons grand mère n'aimait pas que je lui parle trop de ça elle disait que puisque j'ai étudiée jusqu'au baccalauréat, accéder à la faculté ne serai pas un souci.
Quand à papa, il me dit de toujours écouter grand mère.
Qu'il le dise où pas,je l'aime énormément et j'obéis à tous ce qu'elle me dit.

Elle m'a amené chez oustaz Karim pour que je puisse approfondir le Coran j'avoue que depuis que je suis là bas je me sent proche de Dieu et j'ai une foie complètement absolue en lui.

Ma tante hawa quand à elle à un atelier de couture où elle passe presque toute ses journée.
d'ailleurs, la fois où on a quitté l'hôpital pour la maison est qu'on s'est rencontré avec cette femme du nom de Mati ou je ne sais quoi même. Tante hawa l'avais violemment frappé jusqu'au sang.

Ce jour là,malgré ma douleur j'étais morte de rire puisque avec toutes les injures qu'à dit cette femme elle n'était doté d'aucune force physique...
Et depuis lors,elle n'oses même pas me regarder du coin de l'oeil à plus fort raison laisser une autre personne le faire. En plus, il y'a eu un grand respect entre nous.

D'ailleurs les enfants du village adore tellement m'approcher que j'ai eu la brillante idée de leurs donner quelques cours de bases puisqu'il faut avouer que je suis intelligente(rire).

Perdu dans mes pensées,je n'entendis pas ma grand mère m'appeler il a fallut que kiné viennes me sortir de ma zone de rêverie.
Elle:(me tapant)wa Hiba! Tu n'entends pas que mamie t'appelle...
Moi:(sursautant)ah bon! je n'avais pas entendu...
Elle :ok va lui répondre,elle est assise dans la cour.
Moi: d'accord...

Une fois que j'ai quitter mon magnifique coin préféré qui est sous le grand baobab,je me dirigea en direction de la cour et vis des gens Assis entrain de causer avec mamie.
J'avoue être un peu troublé une fois à l'intérieur.
Moi:(bagayant et saluant en génuflexion)heu! assalam alykoum !
Eux:alaykoum salam!
Moi:(à voix basse) Mame tu m'a fait appelé ?
Elle :(souriante) oui ma fille ! Approche ! Je te présente l'un de tes grands père Moussa c'est l'un de mes frères et lui c'est notre petit fils Abdellah Ndiaye...
Moi:(gardant la tête toujours baisée) bonsoir grand père moussa! Bonsoir Abdellah.
Abdellah :(voix basse) comment tu vas ?
Moi :bien merci!
Papi Moussa :(souriant) Diallo nangadef!ki moy domou sokhna ?(Ndiaye ! comment vas-tu ?c'est elle la fille de sokhna?)
Moi:(timidement)magni fi rek père!
Mamie:(rendant son sourire)wawou Moussa ki leu! Hiba môo magg ni(oui Moussa c'est elle! c'est Hiba qui à grandi comme ça).

Après les multiples salutations, ont me demanda de m'asseoir pour mieux faire la connaissance.
Jusque là je n'avais pas bien regarder Abdellah puisque j'avais honte et grand mère m'avait appris à toujours baisser le regard face à mes aînés et les inconnus.
Mais quand je voulu regarder kiné qui sortait de l'autre côté de la pièce,
mon regard se posa sur lui.
Et là,Mon cœur rata soudainement un battement puissant à cause de ce que je voyais en face de moi.
je n'avais jamais vu un si beau garçon de ma vie je crois.
D'ailleurs,Depuis mon arrivée ici au village, c'était bien la première fois que je voyais ce genre de beauté.
Soudainement,je baissa le regard.
Malgré cela je sentais son regard insistant sur moi...

Je me demandais vraiment pourquoi mon cœur battait a cette vitesse.
Ce qui est sûr, c'était bien la première fois que j'avais des palpitations face à quelqu'un et de surcroît pour un homme...
                      Avis et vote♥️ merci beaucoup...

DE LA CAPITALE AU VILLAGE,J'AI SU ÊTRE FORTE.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant