DE LA CAPITALE AU VILLAGE,J'AI SU ÊTRE FORTE.

chapitre 10

Ont dit que la mort signifie la fin d'une vie.
Et chaque être vivant devrait s'y attendre puisque tôt ou tard elle finira par arrivée.

Mais perdre ses deux parents est encore une chose bien plus triste qu'on ne puisse l'imaginer. Il y'a quelques années c'était sa mère et aujourd'hui c'est le tour de son père la seule famille proche qui lui restait.

Assise sous son baobab préféré, elle se sentait très vide et seule.
Elle se demandait pourquoi Dieu lui faisait vivre cela.
Elle avait tellement mal qu'elle avait envie de se suicider.
Mais, ce n'est pas ce que l'avais appris son oustaz se disait t'elle.

Depuis une semaine maintenant, la moitié du village était venu lui présenter des condoléances sans oublier sa famille également...
Et la jeune femme, malgré que sa grand mère ne voulait pas, avait déjà prise la décision de coûte au coûte retourner en Guinée Conakry afin de pouvoir mieux faire son deuil.

Noyer dans ses larmes,Mariama sautilla sur elle et remarqua qu'elle pleurait...

Elle :(voulant pleuré aussi) pourquoi pleure tu tata Hiba.?

Hiba :(sourire forcé et essuyant ses larmes) je ne pleure pas petite princesse c'est juste un grain de sable qui est entré dans mes yeux.

Elle :(faisant un câlin) ahok tata! Attend je vais souffler pour toi...
Une fois qu'elle l'ait fait,la jeune femme lui fit un gros bisou.

Hiba :(, souriante)merci ma puce ! Tu es adorable.

Elle :(rendant son sourire)je t'aime beaucoup tata Hiba.

Hiba:(flatté) moi aussi ma chérie je t'aime grand comme le ciel.

Alors là petite se mit à rigoler puis lui fit un gros câlin affectif.

En effet, Mariama est une petite fille de 6ans très intelligente qui à aimait Hiba et s'est carrément attaché à elle dès qu'elle à poser son regard sur elle.

Alors,Toujours Assise à la même place, elles causèrent ainsi jusqu'au coucher du soleil.
Puis,Hiba ramena riama chez elle.

                         ARAME

Une semaine qu'il est décédé et j'ai la maison à ma disposition.
J'ai renvoyé tout le personnel un part un et j'en chercherai d'autres qui ne me connaissent pas du tout.

C'est pas que je me réjouis trop de la mort d'Amadou mais, je suis qu'à même contente d'avoir tout ses biens à ma disposition.

J'ai pris rendez vous avec son avocat Demain.

Toujours là Entrain de regarder chaque recoin de la chambre de Mr et mrs Diallo,je vis dans les tiroirs plusieurs carte bancaire que je pris sans passer par quatre chemin.
J'étais là à fêter ma joie intérieurement, quand j'entendis la sonnerie de la porte sonner...

Je me demande qui pouvait venir me déranger dans mon nouveau chez moi à cette heure.

          POINT DE VUE EXTERNE

Quand elle descendit, elle alla ouvrir la porte et vit tante Asmaou la tante d'Amadou, Binta, Djeneba et Abdoulaye sont ses sœurs et frère.
Alors,Elle s'arrêta et les fixa sans cligner des yeux.

Tante Asmaou :(tchippant) sorcière ! Laisse nous passer.

Elle :(toujours à la même place) pour aller où ?

Les filles Binta et Djeneba :(roulant des yeux)dans la maison qu'à construit notre frère.

Elle :(rire amer) ah! Mon nouveau chez moi vous voulez dire?

Laye:(ton ferme) tu va nous laissez passer où tu perds la tête...

Elle :(ton ferme) pas ici...
Sans se rendre compte,les filles l'a poussèrent de force et rentrèrent à l'intérieur.

Elle reçu tellement d'injures de leurs part mais, langue pendue qu'elle avait, ne se laissa pas faire.

Elle se demandait ce qui les amenait ici mais se disait elle, elle leurs fera déguerpir au plus vite...

                          HIBA

Avec plusieurs négociation avec grand mère, elle décida de me laisser partir en Guinée pour deux semaines.
Franchement je l'a comprends.

En presque 9mois on s'était beaucoup attaché l'une à l'autre.

Et surtout qu'elle s'inquiète beaucoup trop pour moi avec mon état.

Depuis que je suis au courant que j'ai perdu mon père,je ne mange plus et je suis plus maigre qu'avant.

Les gens du village sont tellement triste à l'idée de savoir que je dois retourner à Conakry.

C'était comme si je n'allais plus jamais revenir.

Bref,après avoir fini de boucler mon sac de voyage, je pris mes ablutions et alla prier.

Je suis devenu tellement renfermé d'après ma mamie.

La vérité est que je n'arrive pas à trop exprimer mon mal.

Unne fois le tout terminé,je partis me couché.

Demain, c'est mon grand jour de départ...

Puisque j'ai vraiment besoin de faire mon deuil...

                      A SUIVRE...

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