chapitre 47

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                            ARAME

J'arrive pas a croire tout ce qui m'arrive actuellement.
je viens de réaliser que j'ai gâcher ma vie à cause de mon égoïsme,ma méchanceté et mon hypocrisie.

J'ai naturellement fait souffrir mes proches surtout ma cousine en particulier qui m'a tendu la main comme une sœur de lait.

Je ne ressemble plus à rien maintenant je ne suis que l'ombre de moi même.

Quand je pense que je suis avec un enfant de six mois je ne sais que faire.

Je suis tenu obliger de vendre du riz au coin de la rue pour subvenir au  besoin de mon bébé ainsi qu'à moi même.

Mory Ali doumbouya et sa femme m'ont fait vivre un véritable enfer sur terre.

Il s'est d'abord permis de me rendre follement amoureuse de lui pour ensuite récupérer la boutique et me laisser  avec une grossesse qui a faillit me coûter la vie.
Puisqu'une nuit il y'avait des hommes cagoulés qui s'étaient introduit chez moi et m'ont tellement tabasser que je me croyais morte.

Ils ne cessaient de me dire que si jamais j'ouvrais ma bouche pour harcelé Mory Ali pour cause de paternité,ils vont pas hésiter de nous tuer tout les deux.

Je leurs ai promis de me taire.

Je n'aurai vraiment jamais imaginer que j'avais a faire à un monstre.

Bref, heureusement que j'ai la maison au moins Al hamdoullilah.
Sans oublier mon fils Amadou doumbouya.
J'ai baptiser le petit en lui donnant le prénom de Amadou le défunt mari de ma chère et défunte cousine.

Si je pouvais remonter le temps et tout recoller en me rachetant auprès de toute ses personnes a qui j'ai causer du tort y compris yaye Coumba sans oublier ma nièce Hiba qui avait une confiance absolue en moi, ça allait vraiment me faire plaisir.

Mais bon je vais essayer d'économiser de l'argent pour aller au Sénégal voir yaye Coumba,mes frères et sœurs puis Hiba.

Madame vous m'entendez.

Heu oui excuse moi mon frère tu disais.

Je veux du riz pour cinq milles franc.

D'accord toute de suite installe toi là bas en attendant.

Ok...

En servant du riz a mon client,une voiture venait de se garer et attirait mon attention.

Elle était magnifique et toute blanche.

Je continuais ce que je faisais rapidement et partie remettre le plat au jeune.

Excusez moi! Entendit je quand j'étais de dos.

Cette voix m'étais vraiment très familière en plus le parfum de cette femme avait pris toutes la pièce.

Mon Dieu une grande dame dans mon restaurant apparemment la chance me souriait a nouveau.

C'est qui la gérante ici s'il vous plaît rajouta t'elle.

C'est moi madame fit je en faisant face à...

                            MARIE

Les enfants vous aviez pris le nécessaire j'espère.

Oui maman! Répondit Modou et benty.

Et toi Assi t'a pris ton ordinateur.

Oui mamannnnn répondit elle de l'autre côté de la pièce.

Bien! Bon ont bouges dans 20min

Assi s'il te plaît occupe toi des enfants pour qu'on puissent vite accélérer n'oubliez pas de porter vos baskets.

DE LA CAPITALE AU VILLAGE,J'AI SU ÊTRE FORTE.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant