Léonard de Vinci a dit « La force naît par violence et meurt par liberté », cette phrase ayant pourtant un sens si poétique et devenue la devise de ce pays tyrannique.
2200, France, ancien pays démocratique, seule régime semi-présidentiel où les pouvoirs étaient partagés entre le peuple et les dirigeant du pays, enfin d'après ce que j'ai pu lire dans mes livres d'histoire, je n'arrive toujours pas à croire qu’un jour, en France, dans cette France, le pouvoir as été partagé avec nous, du moins avec les femmes. Ce pays est devenu, non seulement un pays de dictature, mais qui plus est un pays où seul les personnes les plus fortes peuvent y survivre. Mon père me dit sans cesse que c'est ce que son père appelait « La loi du plus fort ». Après la colonisation de la France, en 2153, celle-ci avait réussi à prendre son indépendance en 2175 par la force et la violence, depuis ce sont les deux critères qui permettent de survivre dans ce pays, c'est peut-être pour cela que mon père m’a nommé Lou, car il voulait que je sois forte pour pouvoir survivre dans ce monde beaucoup trop cruel. « Nous sommes des femmes et nous n’avons aucune importance », c’est ce que ma tante me répété sans arrêt en rigolant. Nous vivions avec tante Lila depuis 16 ans déjà mais je n’arrivais toujours pas à comprendre si ces phrases étaient ironiques ou si à force de l’entendre elle commençait à y croire elle-même. Moi je n’y croyais pas, même si j’étais trop peureuse pour l’avouer tout haut sous peine de passer au nettoyage. J’avais assisté à mon premier nettoyage en 6ème. Nous étions en classe et un Anti-Patriotiste, qu’on appelait tous simplement AP, avait était arrêté. Le professeur d’histoire nous avez expliqué que nous étions maintenant assez grand pour protéger la patrie et que nous pouvions désormais voir l’évolution du nettoyage du Pays. Nettoyage, c’est comme ça qu’ils appelaient ce que mon père appelait une exécution et ma tante un meurtre. Je ne compris pas tout suite ce qu’il se passait mais certain élèves se réjouissaient de la nouvelle, j’ai d’abord pensée que c’était peut-être à cause du Grand écran plat, qui n’avais rien avoir avec la petite boite qui nous permettaient de regarder les information à la maison, mais je compris bien vite quand je vu sur celui-ci un homme sur une scène en hauteur, mains attachés à l’arrière du dos, genoux au sol et entouré d’un gradins remplis d’hommes tenant des fusils qui faisait bien deux fois la taille de ma petite sœur Sou. J’analysais la scène beaucoup trop tard avant de réaliser que je devais fermer les yeux, les milliers d’homme tirèrent sur l’AP et même après qu’il fut allongé au sol, couvert de rouge. Il appelait la mort d’un homme nettoyage et mes 31 camarades de 11ans enviaient les hommes des gradins. A la récréation ils ne parlaient que de ça. Mon père travaillait dur pour que Sou et Moi étudiions dans une école mixte, qui nous garantissait une meilleure éducation. A moi ça ne me dérangeais pas d’aller dans une école de femmes, tout d’abord parce qu’il y aurait sans doute eu moins de discrimination puisque nous serions tous des êtres« inferieur » mais surtout mon père n’aurait pas à payer 500 euros par mois pour la simple et unique raison qu’il avait eu le malheur d’avoir deux filles. Je détestais ce collège, il n’y avait que trois filles et les garçons étaient stupides. Ils parlaient tous les jours de nettoyage et imitait le corps inerte des AP mort en faisant de bruit idiot.-Mais je me demande comment ils ont fait pour l’attraper ? Demanda un des garçons. Il parait que c’était un des chefs de WHR.
-Oui, chuchota un deuxième. Ma mère a dit que le roi cache des micros dans toutes les maisons de France. Il a dû parler sans se rendre compte qu’il était écouté et les Worriors l’on attrapé. De toute façon mon père a dit que les AP étaient tous des idiots.Après avoir entendu ça je repensais à toutes les fois où nous avion parlé du roi. Si notre maison était sur écoute se serais bientôt notre tour. J’étais donc rentrée en pleurant à la maison. Ma tante m’a toute de suite expliquée que ce n’était que des rumeurs et que si elles avaient été vraies elle ne serrait déjà plus en vie. Elle avait raison si le Roi avait créé un détecteur d’AP, ma tante aurait explosé le compteur. Mais après ce jour et jusqu’à maintenant, j’avais évitée de parler mal du roi en dehors de ma tête. Je ne voulais pas moi aussi me faire attraper par les Worriors.
Les Worriors on était créé juste après l’indépendance de la France. Ce sont les hommes les plus puissants du royaume, ils possèdent d'ailleurs la plus grande richesse après le roi. Les Worriors son entraîner dès leurs plus jeunes âges par des équipe professionnel et son souvent issus de père qui l'était eu même. Il y avait trois sortes de Worriors.
Depuis la dernière colonisation, le peuple entier à mis la faute sur le fait que ce soit une femme qui dirigeais le pays à ce moment-là. D’après eux une femme n’est pas assez forte pour protéger la patrie et n’est encore moins intelligente pour la diriger. La seule fonction de la femme était à présent d’obéir à l’homme en silence.
Les Worriors de 1er rang sont là pour faire respecter ces règles : « la femme ne doit pas travailler, la femme ne doit pas parler en public sans l’autorisation d’un homme, la femme se doit d’obéir à son père, époux, frère et la femme a pour seule responsabilité de porter les générations futures de notre patrie ». C’était les quatre règles que nous devions à tout prix ne pas enfreindre et tante Lila arrivait à résumé ça en une seule phrase : « La femme est une machine à bébé. »
Les Worriors de 2ème rang eux était chargés de trouver les AP, qui avaient la réputation d’avoir un don à cache-cache.
Et enfin ceux du 3ème Rang, qui était d’ailleurs les plus puissant et les plus craint, était ceux qui protégeais réellement notre pays, enfin du moins d’après mon père. Il disait qu’autre fois on les appelait les soldats et que la seule chose qui les empêchait d’être des héros, c’était qu’ils étaient sous le commandement du roi.
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Crazy Hoodie Girl
Novela Juvenil" Comment tout a commencé ? Comment suis-je devenue Hoodie la cinglée ? Était-ce au moment où j'avais décidé de sauter par cette fenêtre ou peut-être au moment où j'avais décidé de ne jamais me séparer de ce Sweat à capuche ? Je ne le serais peut-êt...