Je tiens à préciser que les personnages et les multimédias ne m'appartiennent pas
Mardi, 11 Février. 8h00.
Je suis restée là, figée sur place, à regarder comment mes dessins avaient été détruits...En lambeaux, complètement déchirrés.
Je'n m'attendais pas à ça ce matin.
Et lorsque la sonnerie retentit, je m'empressai de virer ces morceaux de papiers déchirés et de les jetter dans la poubelle la plus proche.
J'inspirai et expirai profondément avant de foncer tête baissée vers ma salle de classe. Me faisant la plus discrète possible.
Arrivée en classe, je ne pus retenir mon émotion. Je posai mes bras sur ma table en y déposant ma tête où je pus regarder l'extérieur par la fenêtre.
Les larmes coulèrent doucement sur mes joues et vinrent dégoulinées mon cahier.
Pendant ces deux heures de cours, je n'ai fait que dormir.
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11h56.
-Dis moi Hinata, quand tu bécotes X, qu'est-ce que tu ressens au plus profond de toi? Me demanda Sakura.
-Comment ça?
-En fait...j'te le demande parce que moi en garçon et en amour, c'est vraiment très compliqué.
-...Sakura c'est très difficile à expliquer. Et j'n'ai pas envie d'en parler. Dis-je doucement en regardant devant moi.
-...ok.
-Avec les évaluatuions de la semaine dernière qui m'ont bien fait stresser, la seule chose dont j'ai envie en ce moment c'est de rentrer chez moi et d'écouter toute les musiques d'Indra Warrior.
Ma foi, avec ma tante souffrante et mon oncle négligent son état, je'n savais pas si j'aurais la tête à me détendre en écoutant de la musique.
-Toi qui garde bien les secrets j'peux t'dire un truc. Murmura-t-elle.
-Je t'écoute.
-...as-tu déjà connu une personne victime de harcèlement?
Quelle question étrange me diriez-vous.
-Ça dépend, il y a plusieurs formes d'harcèlement, ceux qui rabaisse, ceux qui humilie ou les sexuel en fait. Déclarais-je.
-Dis moi en plus.
-À ma connaissance,je'n me souviens pas avoir connu des personnes victimes de tous ça.
Pas du tout.
Je me levai en époussetant ma jupe puis quitta la terminale D pour aller en C.
Quelle fut la surprise que j'ai eut quand je remarquai que mon sac n'était plus à sa place.
