Chapitre 21

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Pv Toshiro

Je ne sais pas ce qui c'est passé là-bas. Mais en tout cas, Karin et Rukia sont devenues d'un coup très complices. Nous nous levons et nous sortons du parc d'Ichigo et de Yuzu. Karin marche à coté de Rukia. Alors que moi, j'ai pour voisine : Matsumoto. Pfffff. Je regarde Karin sans la quitter des yeux.

Renji : Dis Karin, est ce que ton parc ressemble à un stade de foot ?

Karin (rire) : Non, mais c'était une excellente idée.

Renji : Allez, donne nous un indice.

Karin : Il y a des arbres

Renji : Ah Ah Ah, c'était très très drôle ta blague.

Karin (sourit) : Je sais.

Nous continuons à marcher en essayant de devine la parc de Karin. Pour l'instant, personne n'a trouvé.

Ichigo : Ca vous dis une glace ?

Karin : Ba attends, Toshiro, tu nous en donnes ?

Toshiro (froid) : Ah Ah celle-là aussi était très drôle !

Ichigo (rire) : Bien trouvé Karin. Bon, sérieux, vous en voulez ?

Tous : Oui

Nous achetons les glaces, puis nous reprenons notre chemin tout en les mangeant.

Ichigo : Je suis sur que les filles vont se plaindre à cause de frissons dus à la glace.

Rukia : Oui Oui, c'est cela.

Evidement, Ichigo a raison. Quelques minutes plus tard, Rukia frissonne. Ichigo lui tend sa veste et elle la met. Elle est toute rouge. C'est marrant. Karin n'a toujours pas froid. Mince. Bon, j'ai une idée. J'attends encore un peu. Maintenant. Je relâche mon reiatsu pour que de la fraicheur sorte de mon corps, puis je me rapproche discrètement de Karin. Yesss, elle tremble un peu. J'enlève ma veste et je la lui mets. Elle sourit. Bingo ! Les garçons ont tout vu et tout compris. Ils rigolent mais en restant discret. Heureusement, Matsumoto n'a rien vu. Au bout de cinq bonnes minutes, je stoppe mon reiatsu. D'un coup, Karin s'arrête. Elle ferme les yeux et respire l'odeur qui sortait du parc qui est en face de nous. Cela sent bon. Je me demande ce qui sent aussi bon. Elle ouvre les yeux et elle se tourne vers nous.

Karin : Voilà mon parc !

Whoua ! Il est juste trop beau. Le parc est rempli de saul pleureur, de bambou, de cerisier, d'une rivière et de petit pont en bois. Elle avance et nous dirige une fois que nous sommes à l'intérieur. Puis, nous nous installons dans un endroit où il n'y a personne.

Karin : Alors, vous en pensez quoi ?

Rukia : Il est magnifique.

Karin : Merci.

Rangiku : Vous voulez qu'on fasse action/vérité mais cette fois c'est que des actions ?

Rukia : Ok

Ichigo : Oui

Toshiro : Hors de question.

Rangiku : Allez capitaine !

Karin : Moi, je veux bien.

Toshiro : Vu que tu insistes, d'accord, je joue.

Yuzu : Non merci.

Renji : Moi, je vais dormir

Yumichica : Très peu pour moi.

Ikkaku : Bah moi, je vais rejoinde Renji.

Rangiku : Très bien, je commence. Alors, Karin, tu vas dans les bras de mon capitaine.

Karin (après s'être intallée dans mes bras) : Ichigo, fais un bisous sur la joue de Rukia.

Ichigo (après la bise) : Toshiro, chuchote un mot doux à ma soeur.

Toshiro (rouge et chuchote) : Ma plus belle nuit, c'est celle que j'ai passé avec toi.

Karin (rouge) : . . .

Rangiku : OOOOh ! Vous avez dis quoi mon capitaine ?

Toshiro (froid) : Sa, tu ne le sauras pas. Comme punition pour ta curiosité, tu vas embrasser Ikkaku !

Rangiku (surprise) : Quoi ?!?!

Toshiro (froid) : Allez !

Rangiku (après avoir embrassé Ikkaku) : Très bien ! Karin, . . ., embrasses mon capitaine.

Je sens Karin qui se fige. Roooo Rangiku, tu as osé ?!?!?!! Je vais lui donner une bonne correction à celle-là. Karin. Je ne veux pas qu'elle se force. Si elle veut, tant mieux. Si elle veut pas, tant pis. Elle se retourne vers moi, puis elle se penche. Nos lèvres se rapprochent et nous nous embrassons. Pour moi, c'est magique. Mon coeur bat très vite. Elle se décolle de moi et elle se met face aux autres. Je me sents rougir. Karin. J'essaye de rester neutre. Je vois Ichigo qui me sourit légèrement et qui me sous entend: Tu as de la chance toi.

Karin (rouge) : Frérot, tu porteras Rukia comme une princesse, jusqu'à la maison.

Rukia : Chic, comme cela, je ne serai pas fatiguée.

Ichigo : Okay pas de problème.

Yuzu : Il commence à se faire tard. On rentre ?

Karin : D'accord.

Malgré la différenceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant