Chapitre 34

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Pv narrateur

Pendant ce temps, Toshiro s'entraîne dans la grande salle du sous-sol avec Ichigo, Renji et Rukia. Il sent toujours les coups que karin reçoit. il s'entraîne pour tuer Grimmjow. Il veut la venger.

Pv Karin

Qui m'a parlé ? J'ai entendu une voix de fille dans ma tête. C'est la première fois que je l'entends. Je suis sure que ce n'est pas Toshiro. Enfin, je crois, sauf s'il me fait une farce. Je ne sais pas.

Karin (hésitante) : Vous êtes qui ?

? (amusée) : Je suis une partie de toi, Karin.

Karin (surprise) : De moi ?

? : Fermes les yeux et tu comprendras. N'ais pas peur.

Je l'écoute et je ferme les yeux. Au bout d'un certain temps, je les ouvre. Mais ?!?! Où suis-je ? Je suis assise en face d'une fille qui semble avoir mon âge. Elle a des yeux et des cheveux rouges très flamboyants. Elle ne bouge pas, elle me sourit. Je suis surprise. Autour de nous, il y a du feu et de la lave ! Nous sommes dans un volcan. Un volcan ?!?! Comment cela est-il possible ? Je suis vêtue d'un kimono de shinigani. Hein ?!?!

? (amusée) : Je comprends ton étonnement.

Karin : Comment cela est possible ?

? (amusée) : Aizen t'a bien dit que tu étais une shinigani, non ?

Karin : Oui

? (avec un grand sourire) : Maintenant, tu en as la preuve sous tes yeux. Tu es une shinigani comme ton Toshiro !

Karin (rouge et surprise) : Comme Toshiro ?

? (amusée) : Oui. Bon, pose moi des questions.

Je réfléchis. Je viens juste de m'appercevoir qu'elle est vêtue d'une robe courte avec des ailes d'oiseaux en feu dans son dos. Qui est-elle ? Un oiseau ?

? : Juste avant, tutoies moi. J'ai horreur d'être vouvoyé.

Karin : D'accord . . . (génée) Es-tu un oiseau ?

? (rire) : Bien trouvé ! Tu as du remarqué mes ailes dans mon dos. Et bien, oui je suis un phénix mais j'aime bien prendre la forme d'une humaine, qui ressemble à l'âge de mon maître ou de ma maîtresse.

Karin : Qui sont-ils ?

? (rire) : C'est toi ma maîtresse !

Karin : D'accord . . . Qui es-tu ?

? (amusée) : Petit question mais grande réponse. Je vois. Bon tout d'abord, je m'appelle Honö no tori et je suis un zanpakuto de feu. Mmmm et sans trop me vanter je fais partie des zanpakutos les plus puissants. Enfin bref, pour mon shikai. Voyons pour m'activer, tu dois prononcer cette phrase "Elève-toi de tes cendres, Honö no tori". Regarde mon zanpakuto.

Karin (en regardant mon zanpakuto)

Honö no tori : Comme tu le vois, ce n'est qu'un simple Katana. Mais en shikai, le manche est rouge et jaune et sur la garde, tu as un phénix gravé. Tu peux l'invoquer en disant " Renaît de tes cendres" lorsque tu es en shikai ou en bankai.

Karin : Je vois, comment est ton bankai ?

Honö no tori : Un peu comme celui de Hyourinmaru. Nous avons des ressemblences, notament sur ce qu'on vous donne. En effet, nous vous donnons notre apparence. Donc tu auras ma tête sur ton bras droit et mes ailes dans ton dos. Par contre, je modifirais un peu ton zanpakuto et je te rajouterais des petit bonus.

Karin : Et pours mes attaques ?

Honö no tori : Tu les connaîtras pendant ton premier combat. Ne t'en fais pas, à nous deux, nous ferons du bon travail.

Karin (sourit) : Oui. Il y a autre chose que je dois savoir ?

Honö no tori : Oui, je suis dure à manipuler, il te faudra un certain temps avant de tout maitriser. Mais, surtout, tu ne supportes pas ni l'eau et ni le froid car je te rappelle, tu as un reiatsu de feu. Et donc, ce n'est pas compatible.

Karin : Je vois

Honö no tori : Par contre, cela ne joue pas sur tes sentiments (rire)

Karin (rouge) : Rooo arrête. Bref donc je fais comment pour régler ses problèmes ?

Honö no tori : Tu te laves avec de l'eau brulante et tu te sèche à fond. Je ne veux pas que tu ais un seule goutte qui reste sur toi, compris !?

Karin : Oui

Honö no tori (sourire) : En tout cas, je suis contente qu'on se soit enfin rencontré, maîtresse. Bon, il est temps d'y aller, j'entends quelqu'un qui arrive. Vite, fermes les yeux !

J'obéis, je ferme les yeux. Lorsque je les ouvre, je me retrouve dans ma chambre. La porte blanche s'ouvre. Ulquiorra entre, me fixe puis s'approche de moi. Il me prend la main et me tire. Je le suits sans rien dire. Cette fois, il marche à mon rythme. Je regarde autours de moi. Des murs et des portes blanches. Tout se ressemble. Je n'arrive pas à me repérer. Les couloirs sont immenses. Malgré cela, Ulquiorra avance et tourne dans les couloirs sans aucune hésitation. Le trajet est long, très long. En plus, Ulquiorra ne dit rien du tout, il reste muet. En face de moi, je vois une porte. On entre. Nous sommes dans une salle d'entraînement. Enfin . . . dans un immense désert qui sert d'espace d'entraînement. AIzen est là. Je ne sens rien de bon. Il me sourit. J'ai peur, je veux retourner dans ma chambre, dans mon petit coin tranquille. Ou tout simplement, rentrer chez moi. Toshiro, viens vite me chercher, s'il te plaît. Aizen me fixe, il sourit toujours. Mais c'est un sourire chaleureux. Je pense qu'il essaye de me rassurer et de me mettre en confiance. Je ne sais pas. Je ne sais pas quoi penser. Il s'approche tranquillement de moi. Il a un bâton dans une de ses mains. Il s'arrête, tend son bras pour qu'il touche mon front avec. Je ne sais pas ce qu'il m'arrive. Je me sens toute bizarre. Je tombe en arrière. Mon corps est en face de moi, par terre. Qui suis-je ? Pourquoi suis-je hors de mon corps ? Je me regarde. Je suis en shinigani !! Comment sait-il que j'ai réussi à connaître mon zanpakuto ? Il me regarde.

Aizen : Bien, vu que ton reiatsu est réveillé, nous allons pouvoir commencer l'entraînement. Ulquiorra va le chercher et ramènne le gigaï de Karin, elle en a plus besoin.

Ulquiorra lâche ma main, prend mon gigaï et part avec . Je prends mon zanpakuto et je le dégaine.

Aizen : Allos-y. Ne t'en fais pas, je serais là pour t'aider, ainsi que l'âme de ton zanpakuto. Tu te batteras contre des hollows.

Karin (concentrée) : bien

Malgré la différenceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant